L'hydrogène qui s'échappe s'échauffe, ce qui peut être suffisant pour qu'il s'enflamme spontanément. Cette faible valeur de l'énergie minimale d'ignition pour le mélange hydrogène-air augmente donc considérablement le risque d'explosion.
L'hydrogène réagit avec l'oxygène pour former de l'eau et cette réaction est extraordinairement lente à température ambiante; mais si elle est accélérée par un catalyseur, comme le platine, ou une étincelle électrique, elle est produite avec une violente explosion.
Certes, comme tout combustible, l'hydrogène peut s'enflammer et/ou exploser en cas de fuite.
Le corps simple H2 est mis en évidence à l'état gazeux par Cavendish en 1766, qui l'appelle « air inflammable » parce qu'il brûle ou explose en présence d'oxygène, produisant de la vapeur d'eau.
L'hydrogène est un gaz extrêmement inflammable et réactif. Il brûle avec une flamme légèrement bleue qui devient pratiquement invisible à haute température.
Couper l'alimentation; en cas d'impossibilité et en l'absence de risque à proximité, laisser le feu s'éteindre. Sinon, l'éteindre avec de l'eau pulvérisée, de la poudre, du dioxyde de carbone. En cas d'incendie: maintenir les bouteilles à basse température en les arrosant d'eau.
Enfin, l'hydrogène aboutit aussi à la formation d'ozone troposphérique, un autre gaz à effet de serre très puissant. « Aujourd'hui, on avance que le passage à l'hydrogène éliminerait l'impact climatique des énergies fossiles, mais quand on prend en compte ces fuites potentielles, ce n'est pas le cas », met-il en garde.
Il existe différents gaz, qui en s'embrasant, provoque une flamme invisible à l'œil nu. Par exemple, le méthanol, l'éthanol ou encore le vecteur d'énergie du futur, l'hydrogène, émettent des gaz incolores.
L'hydrogène produit par électrolyse de l'eau peut atteindre après une purification éventuelle une pureté de l'ordre de 99,999%. 2. Le craquage de l'eau. Le craquage de l'eau par le procédé thermochimique nécessite une chaleur d'environ 850°C fournie par des réacteurs nucléaires à haute température.
L'un des inconvénients de la voiture hydrogène vient de la production de l'hydrogène. Quelle que soit la méthode utilisée, d'importantes quantités d'énergie sont nécessaires pour produire ce gaz.
Mais l'hydrogène n'est pas une solution miracle du point de vue écologique. Il génère des pollutions, et son faible rendement le rend peu avantageux pour les usages où l'électricité peut déjà remplacer les énergies fossiles.
L'hydrogène est un gaz qui est difficile à stocker car il est tellement petit et léger qu'il se faufile partout et il nécessite d'importants moyens techniques pour le stocker à température basse et à très haute pression.
Vers 2024, la production de ce gaz permettra de générer près de 6 gigawatts d'énergie et environ 40 gigawatts en 2030. Ce plan européen évoquant entre 180 et 470 milliards d'euros d'investissements jusqu'en 2050 devrait donc participer à une rapide expansion des voitures à hydrogène dans les années à venir.
Même s'il s'agit du gaz le plus abondant de l'Univers, on n'en trouve à peu près pas sur Terre, parce qu'il est trop léger pour y être retenu par la gravité. Il faut le fabriquer, à partir de matières qui contiennent des atomes d'hydrogène.
La nomenclature chimique a évolué. On emploie hydrogène" pour l'élément et "dihydrogène" pour le gaz. Il en est de même pour l'oxygène.
Zirconium ; Rubidium et césium ; Uranium : utilisé comme pénétrateurs à base d'uranium appauvri dont la poussière et les débris lors de l'impact sur la cible s'enflamment et propagent l'incendie.
L'Agence internationale de l'énergie (AIE) a assuré dans un rapport qui date déjà de 2019 que l'hydrogène est une énergie d'avenir. En effet, grâce à son faible rejet de CO2 cette énergie paraît être une alternative crédible. Effectivement associée à une pile à combustible, cette énergie ne rejette pas de CO2.
L'hydrogène permet de n'émettre aucune pollution au moment de son utilisation dans les voitures ou les trains. Il rejette, pour seul déchet, de l'eau. En revanche, ce type d'énergie est moins vertueux quand il s'agit d'en produire.
Pour réduire la pollution de ce secteur, une solution miracle est avancée : l'hydrogène. Parfois présenté comme l'or noir du XXIème siècle, ce gaz permet, transformé en carburant grâce à la pile à combustible, de faire rouler les véhicules et voler les avions en ne rejetant que de l'eau.
De manière générale, la couleur d'un corps incandescent donne une bonne idée de la température du corps : du moins chaud, qui est rouge, au plus chaud, qui est bleu, en passant par le jaune.
En tant que combustible, l'hydrogène est hautement inflammable et les fuites d'hydrogène présentent donc un risque sérieux d'incendie. Toutefois, les incendies d'hydrogène sont sensiblement différents des incendies impliquant d'autres combustibles.
Ce que les chercheurs appellent une tornade de feu bleue, c'est une petite flamme stable et tournante qu'ils espèrent pouvoir être utile, notamment, à lutter contre les marées noires.
Le prix d'un plein d'hydrogène +
Quant au plein d'hydrogène, le kilo est actuellement facturé entre 10 € et 15 €. Les véhicules à hydrogène actuels en embarquent 6 kg environ.
Risques supplémentaires. Ce réservoir à forte pression présente également un risque supplémentaire en cas de choc sur le véhicule. D'autant que l'hydrogène est très volatil et hautement inflammable.
Comme on le voit, le moteur à eau existe bien, sous la forme de moteur à injection d'eau chez les constructeurs historiques, et plus artisanalement et loufoquement sous forme de kits à installer par des apprentis-sorciers nous promettant monts et merveilles (moteur Pantone ou kit d'injection Vix par exemple).