Pourquoi une trop grande consommation de poisson peut-elle être néfaste ? Les poissons peuvent être contaminés par des polluants présents dans l'environnement dont les dioxines, les PCB ou le méthylmercure, qui peuvent avoir des effets néfastes sur la santé en cas de surexposition.
Conclusion. Les nombreux nutriments essentiels (dont les acides gras oméga-3, la vitamine D et les protéines) qu'ils contiennent font que le poisson est très bon pour la santé.
Les poissons les plus pollués sont : espadon, marlin, requin, lamproie, brochet, anguille… Les poissons moyennement contaminés sont : lotte, bonite, flétan, dorade, bar, saumon, thon… Les poissons les moins contaminés sont : colin, merlan, sole, cabillaud, hareng, truite, anchois, maquereau, sardine…
Les experts disent que le saumon sauvage du Pacifique est votre meilleur choix. «Sauvage signifie une moins grande accumulation de mercure, moins d'antibiotiques et d'hormones, et aussi que le poisson peut nager librement», explique la diététiste-nutritionniste Monica Auslander Moreno chez Essence Nutrition.
Il recommande donc les poissons gras : le saumon mais aussi la sardine, le maquereau ou encore le hareng et « conseille de manger du poisson maigre et du poisson gras entre 2 et 4 fois par semaine ».
Sardine, hareng et raie sont les plus riches en vitamine B12. Les poissons se distinguent encore par leur contenu en vitamine E antioxydante, ainsi qu'en vitamine D, laquelle participe à la solidité du squelette et à la vigueur du système immunitaire. Saumon, bar, limande et rouget en sont les mieux pourvus.
Ceux-ci comprennent le thon frais/congelé, le requin, l'espadon, le marlin, l'hoplostète orange et l'escolier (des renseignements supplémentaires sur la santé sur l'escolier sont présentés dans la feuille d'information de Santé Canada sur l'escolier et la feuille d'information de l'ACIA.
Il faut éviter de manger des gros poissons le soir parce qu'ils sont riches en protéines, elles-mêmes excitantes. "Il faut privilégier les petits poissons comme les sardines, les petits maquereaux, les harengs et saumons" conseille la nutritionniste Alexandra Dalu.
Ils sont également riches en micronutriments essentiels à la santé, mais ils présentent des caractéristiques distinctes. Le poisson délivre de la vitamine D, de l'iode - nécessaire au fonctionnement de la thyroïde -, ainsi que du zinc, un antioxydant très protecteur, qui n'existent pas dans la viande.
Oui, le poisson peut très bien remplacer la viande pour ce qui est des vitamines du groupe B et des protéines ; le poisson contient en effet entre 15 et 20% de protéines (un beau filet vous apporte 25% des protéines de la journée), pratiquement comme la viande.
Elle aide également votre corps à absorber le calcium que vous absorbez, favorisant le bon fonctionnement des nerfs du cerveau. Le poisson est également riche en phosphore (environ 100 à 200 mg pour 100 g selon les poissons). Ce minéral est essentiel au métabolisme, et par conséquent au fonctionnement du cerveau.
Riche en minéraux : une boîte de sardines contient l'équivalent de 35 % de l'apport quotidien recommandé en calcium. 15 % en fer, 10 % en potassium et 45 % en phosphore. Alliée des sportifs. Grâce à son aide précieuse dans la santé musculaire avec ses protéines de qualité.
Pour éviter tout risque de toxi-infections, les femmes enceintes jeunes enfants et les personnes dont le système immunitaire est affaibli doivent éviter d'en consommer. Pour ne pas aggraver leurs symptômes (douleurs articulaires), les personnes atteintes de goutte doivent consommer la sardine avec précaution.
Les poissons ingèrent ces toxiques qui, très peu éliminés par leur organisme, se stockent mois après mois dans leurs graisses. C'est pourquoi plus un poisson vit vieux, plus il peut présenter des niveaux de PCB élevés.
Il est riche en phosphore et en vitamine D, deux éléments essentiels qui contribuent au maintien d'une ossature normale. Donc, en plus des muscles, le thon contribue à la bonne santé des os. Il est riche en sélénium, un oligoélément au pouvoir anti oxydant qui protège les cellules contre le stress oxydatif.
Le mercure inorganique peut provoquer de l'insuffisance rénale et des lésions gastro-intestinales. Les sels de mercure sont irritants et peuvent provoquer des cloques et des ulcères sur les lèvres et la langue.
Le thon en boîte contient du poison, selon «60 Millions de consommateurs» H. B. L'association de consommateurs a analysé près de 130 produits à base de poisson consommés régulièrement, et le résultat n'est pas ragoûtant… Mercure, arsenic, fragments de cœur et d'ovocytes…
Le poisson est une source privilégiée en acides gras oméga-3 dont certains sont indispensables au développement et fonctionnement du système nerveux et contribuent à la prévention des maladies cardio-vasculaires.
Poissons maigres (moins de 5 % de lipides) : bar, brochet, cabillaud, colin, daurade, églefin, flétan, lieu, lotte, merlan, merlu, mérou, raie, sole, limande, saint-pierre, sébaste, truite, turbot. Poissons mi-gras (5 à 10 % de lipides) : daurade grise et royale, anchois, carpe, espadon, gardon, thon.
Une consommation élevée de poisson est associée à un risque accru de développer la maladie de Charcot. Le mercure est le suspect principal de ce lien. A consommer avec modération. Les bienfaits du poisson pour l'organisme ne sont plus à démontrer.
Le poisson peut en fait être consommé à tout moment de la journée, au petit-déjeuner, au déjeuner et au dîner. Mais en raison du risque d'absorber trop de mercure, il est préférable de limiter la consommation à un ou deux repas dans la journée.
C'est pourquoi le corps humain est relativement peu dépendant des apports alimentaires de cholestérol”. Bonne nouvelle : vous pouvez donc manger un à 2 œufs par jour, en remplacement de la viande ou du poisson, sans risque pour votre santé.
Le soir, évitez les aliments qui se digèrent mal, les aliments trop gras ou les gros repas. Mettez des aliments riches en tryptophane, un acide aminé essentiel qu'on retrouve dans les œufs, la volaille, le poisson, les légumineuses, le riz complet etc. Le tryptophane a une action favorable sur l'endormissement.