Cette interdiction a aussi été étendue à la volaille, de crainte qu'un païen ou un Juif ignorant, voyant un Juif instruit consommer de la volaille à la crème, ne vienne à penser qu'il consomme un mélange lacté/carné ; il est même interdit de tirer profit de ces mélanges, en les cuisinant pour un client non juif.
Un interdit central de la cacherout
Elles établissent notamment les règles pour préparer la viande, de façon à éviter la consommation de sang, et imposent la séparation entre viande et produits laitiers.
Le porc, le lapin, le cheval, etc., sont interdits. Par ailleurs, les poissons ne comportant ni nageoires ni écailles (anguilles, raies?), les reptiles, les mollusques sont exclus. L'animal, abattu rituellement, doit être vidé de son sang - porteur du principe vital, l'âme de la chair.
Le chiffre de 613 provient du raisonnement suivant : selon la Torah (Deutéronome 33:4), Moïse a transmis la Torah qu'il avait reçue de Dieu aux fils de Jacob (le texte porte bien « Jacob », et non « Israël »). La valeur numérique du mot « TORaH » (תורה) est 611 (ת vaut 400, ו vaut 6, ר vaut 200 et ה vaut 5).
Pendant le Shabbat il est interdit de produire ou de transformer de la matière ou de l'énergie. Il est interdit de cuire les aliments. Pour les juifs les plus religieux il est aussi interdit de conduire un véhicule, de faire la cuisine (en général) et même d'allumer l'électricité.
La lecture se fait en présence d'un minyan, un quorum de dix personnes. Chez les Juifs orthodoxes, il s'agit de dix hommes ; dans le Judaïsme réformé, il n'y a pas cette même notion de minyan qui de plus peut être de composition mixte.
Manger la viande de cet animal est interdit par le judaïsme et l'islam comme celle de quasiment tous les ongulés non-ruminants.
Sikhisme. Le refus de consommation de viande halal est un des interdits que tous les sikhs doivent suivre.
Selon les lois de la cacherout, et notamment le passage du Lévitique, chapitre 11, verset 9, qui indique les espèces aquatiques autorisées, seuls peuvent être consommés les poissons « pourvus de nageoires et d'écailles ». Ainsi, les crustacés et fruits de mer ne sont pas autorisées par la Torah.
Tout ce qui a nageoires et écailles et vit dans l'eau, mers ou fleuves, vous en pourrez manger.
Voici les 7 règles de base de la cuisine casher
Les animaux doivent avoir des sabots fendus et être des ruminants. Le porc ne fait pas partie de ce groupe et n'est donc pas casher. 2. Les poissons doivent avoir des écailles et des nageoires.
Aliments non-permis :
Porc, reptiles, amphibiens et insectes. Fruits de mer (homard, crabe, crevettes, pétoncles, huitres, moules) et mammifères marin. Tout produit animal ou dérivés d'un produit animal en provenance d'un animal Non-Certifié
La viande halal correspond à l'abattage de l'animal par le musulman, tandis que la viande kasher correspond à l'abattage de l'animal par le juif. Certaines personnes pensent que kasher signifie tué par un couteau, mais cela signifie en fait tué par une prière.
Au-delà du repas de funérailles, l'œuf occupe une place importante dans le judaïsme. La forme ronde évoque le cycle de vie, mais également de façon plus générale, les cycles de liberté et de servitude, de joie et de souffrance, qui sont intimement liés dans le judaïsme.
Il est interdit de consommer ensemble viande et produits lactés.
A La Réunion, deux interdits alimentaires majeurs - et le plus souvent permanents - concernent les populations hindoues : celui de la viande du bœuf et celui de la viande de porc. Le premier fait référence à la pureté de la vache, le second à la saleté du cochon.
Les animaux qui ne possèdent pas ces caractéristiques ou qui n'en possèdent qu'une : ainsi, le chameau qui est ruminant mais qui n'a pas de sabot fendu, le porc qui n'est pas ruminant mais qui a un sabot fendu, le lièvre qui rumine mais qui n'a pas de sabot, sont-ils interdits.
Les hindous, pour qui la vache est sacrée, ne mangent pas de bœuf. Il y a aussi des végétariens qui choisissent de ne pas manger d'animaux, ni viande ni poisson.
Les uns et les autres consomment du porc et des volailles; dans bien des régions, ni les uns ni les autres ne mangent du cheval. Souvent, les mêmes mets sont consommés, mais des différences culinaires subtiles sont maintenues intentionnellement. Un jeu de singularités analogue est établi entre les Tsiganes.
Néanmoins, l'école de jurisprudence hanafi interdit la consommation de fruits de mer autres que le « poisson ». Les théologiens hanafi sont en désaccord sur le point de savoir si les crevettes sont des « poissons », mais conviennent que les crocodiles, les crabes, les homards et les mollusques ne le sont pas.
1Selon la jurisprudence chiite duodécimaine, les poissons dépourvus d'écailles sont harâm. Ainsi considère-t-on l'esturgeon et ses œufs, le précieux caviar.
VIDÉO. La Torah est l'un des piliers du judaïsme, mais quel est son rôle exact ? Explications de Jean-Christophe Attias, historien et philosophe du judaïsme. Ses rouleaux, pieusement conservés dans le tabernacle de la synagogue, sont l'un des symboles les plus importants du judaisme.
Dans le judaïsme, nom hébreu (de yaroh, « guider », « enseigner ») donné par la tradition juive à la Loi mosaïque. En son sens premier, la Torah désigne les cinq premiers livres de la Bible hébraïque : la Genèse, l'Exode, le Lévitique, les Nombres et le Deutéronome.
Il n'y a pas une langue juive, l'hébreu parlé en Israël mais des langues, dont le yiddish, le judéo-arabe, le judéo-espagnol sont les plus visibles et sont le plus souvent parlées par des personnes multilingues pour lesquelles ce sont des langues issues de la culture juive dans des pays de diaspora.