À fortes doses, les corticoïdes répriment l'activité du système immunitaire (effet immunosuppresseur) et de ce fait peuvent augmenter le risque d'infection.
D'une efficacité redoutable sur les douleurs, les corticoïdes peuvent entraîner, quand ils sont pris au long cours, des effets secondaires non négligeables. L'un des effets secondaires des traitements à base de corticoïdes est une fragilisation des os et le risque de développer une ostéoporose.
des modifications physiques, comme une fonte musculaire ou un gonflement du visage ; des tendances à la dépression ou au contraire à l'agitation, avec notamment des insomnies ; l'aggravation ou l'apparition d'un diabète ou d'une hypertension.
La cortisone a tendance à faire baisser les défenses de l'organisme contre les infections (immunodépression induite). Il faut donc avoir une hygiène corporelle très importante surtout au niveau des dents (infection dentaire), des pieds (ongle incarné, mycose...) et de l'hygiène intime (infection urinaire fréquente).
ostéoporose (décalcification des os), parfois définitive ; troubles hormonaux et métaboliques : diabète (réversible), arrêt de la croissance chez l'enfant, troubles des règles ; troubles digestifs : gastrite, ulcère ; certaines formes de cataracte et de glaucome.
Dans les inflammations cutanées (eczéma, éruptions, etc.), la potentille tormentille (Potentilla erecta) pourrait remplacer la cortisone et éviter ses effets secondaires, selon une récente étude.
Les corticoïdes diminuent les défenses immunitaires et fragilisent la muqueuse buccale ce qui augmente les risques infectieux (comme les aphtes ou l'herpès). Il est recommandé de boire un grand verre d'eau après une bouffée de cortisone pour en éliminer les résidus.
Par ailleurs, les patients traités durant de nombreux mois par corticoïdes ont un risque augmenté d'accident cardio-vasculaire et de phlébite. Fréquence : le diagnostic d'hypertension artérielle est posé chez 10 à 20% des patients traités par corticoïdes, la plupart du temps après plusieurs mois de traitement.
Les corticoïdes, notamment en réduisant l'inflammation, affaiblissent les défenses immunitaires. C'est grâce à cette propriété qu'ils permettent de traiter de nombreuses pathologies. Mais cela entraîne également un plus grand risque d'infections.
Les directives actuelles recommandent dans les nombreux cas de personnes présentant une toux depuis plus de trois semaines, d'administrer des corticostéroïdes inhalés (CSI), qui sont couramment utilisés pour traiter l'asthme et d'autres maladies impliquant l'inflammation des voies respiratoires.
La prednisone fait généralement effet très rapidement — habituellement dans une période de un à quatre jours — si la dose prescrite est suffisante pour réduire le niveau d'inflammation. Certaines personnes ressentent les effets de la prednisone quelques heures seulement après avoir pris la première dose.
Autre inconvénient de l'oméprazole, et plus généralement de tous les inhibiteurs de la pompe à protons, il expose à un risque de baisse importante du taux de magnésium dans le sang, de carence en vitamine B12 et de fracture de la hanche, du poignet et des vertèbres ; quand il est pris pendant plusieurs mois.
Précautions. Attention si vous prenez des corticoïdes en comprimés ou en pommade, en inhalation, vous devez le signaler à votre médecin. Cela fausserait les résultats du test.
Important : la plupart des effets secondaires concernent des prises de corticoïdes au long cours, et disparaissent à l'arrêt du traitement.
Les risques d'ulcère à l'estomac et de pancréatite induits par les corticoïdes sont extrêmement faibles. En revanche, les corticoïdes peuvent aggraver un ulcère à l'estomac préexistant. Sujets à risque : les patients aux antécédents de maladies digestives (notamment d'ulcère) sont plus à risque.
Combien de temps la cortisone reste-t-elle dans le corps? Même si le produit est éliminé après quatre à six semaines, le soulagement peut être beaucoup plus durable, voire permanent.
Les corticoïdes ou cortisone sont utilisés dans l'arthrose lors des poussées douloureuses aigues inflammatoires en infiltrations intra articulaires (genou, epaule, hanche, pied, main etc.).
Non, il n'y a pas lieu d'associer un AINS et du paracétamol. De la même façon, il ne faut jamais associer deux AINS. Si la douleur ou la fièvre persistent après la prise de l'un ou de l'autre, il faut consulter son médecin traitant qui cherchera la cause du problème pour donner le traitement nécessaire.
– Augmenter les apports en potassium (banane, chocolat), et en vitamines en consommant davantage de fruits et légumes. – Veiller à une alimentation riche en vitamine D et en calcium. – Avoir des apports en protéines suffisants pour compenser la fonte musculaire.
Parmi les effets secondaires les plus fréquents, citons les troubles du sommeil, en raison de l'effet excitant des corticoïdes, et une stimulation de l'appétit (grignotages).
Un tel traitement, pris sur le long terme, peut avoir diverses conséquences : une augmentation de la pression interne de l'œil (glaucome) et des dommages ultérieurs au nerf optique peuvent se produire. De même, les préparations à la cortisone peuvent favoriser l'accélération de l'apparition de cataractes.
Indications thérapeutiques : Ce médicament est réservé à l'adulte et à l'enfant de plus de 10 kg. Ce médicament est utilisé dans certaines maladies, où il est utilisé pour son effet anti-inflammatoire. Son action est utile dans le traitement de nombreuses affections inflammatoires ou allergiques.
D´autres effets indésirables peuvent renvoyer à des troubles du cycle chez la femme, une perte de libido, des troubles de l´érection, mais aussi des troubles neuropsychiatriques tels que l´irritabilité, l´agressivité, la dépression ainsi que la fatigue et les troubles du sommeil.
La forme inhalée permet de délivrer de petites doses de corticoïdes afin d'avoir une action locale pour apaiser la muqueuse irritée. Pour éviter les effets indésirables (voix rauque, mycose buccale); il est simplement recommandé de se rincer la bouche après l'inhalation.