Une autre étude démontre que le fait de craquer ses articulations sur une période prolongée peut provoquer un gonflement des articulations et une réduction de la force de préhension. Augmentation du volume articulaire, craquement tendineux, frottements osseux, main arthrosique, blocage articulaire, entorses…
Est-il dangereux de se faire craquer les doigts ? Des scientifiques se sont posé la question et répondent. Cette pratique, bien qu'agaçante, n'est pas dangereuse.
Nos articulations sont lubrifiées entre elles par le liquide synovial, qui est rempli de petites bulles de gaz. Ce sont ces dernières qui, en explosant lorsque l'on fait craquer ses articulations, émettent le fameux bruit. Il faut alors attendre environ une demi-heure pour qu'elles réapparaissent.
Comme l'explique Scott Weiss dans un article paru sur Byrdie.com, «craquer ses doigts permet de relâcher plusieurs livres de pression de nos articulations».
Il existe aussi une très bonne méthode pour vous forcer à laisser vos doigts tranquilles : celle de l'élastique ! Accrochez le cordon autour de votre poignet, et tirez-le vers vous lorsque vous serez tenté de casser vos pouces. Non seulement ça fait mal, mais en plus ça déstresse !
En faisant craquer son cou, on peut déchirer les artères qui vont vers l'os du cou. Or, la déchirure de ces artères vertébrales peut entraîner un accident vasculaire cérébral. D'ailleurs, la survenue d'une douleur soudaine au niveau du cou peut être un symptôme d'accident vasculaire cérébral.
FAUX. Se faire "craquer le dos" (seul ou avec quelqu'un) est absolument déconseillé : seuls les professionnels peuvent correctement effectuer cette manipulation, et on risque par ailleurs de se faire encore plus mal.
Les craquements des doigts semblent être provoqués par l'apparition soudaine et temporaire d'une cavité gazeuse intra-articulaire, appelée tribonucléation. Les autres recherches sur ces bruits se portent principalement sur les genoux et leurs liens avec l'arthrose, ainsi que sur le rachis.
Automassage des pieds et des orteils
Posez vos deux pouces à plat sous le pied, à l'arrière des orteils et pétrissez la peau comme si vous vouliez séparer les métatarses. Placez vos mains de chaque côté du pied puis frictionnez vigoureusement en faisant des mouvements de va-et-vient et de haut en bas.
Consignes : les bras tendus, on place une main sur les doigts de l'autre main en extension. On tire ensuite doucement vers nous jusqu'à ressentir l'étirement. On maintient cette position pendant 10 secondes, et on relâche. On fait ensuite cet étirement avec la main en flexion.
Votre genou baigne dans une poche remplie de liquide qu'on appelle synovie. Comme dans tout liquide, il s'y forme parfois des petites bulles de gaz lorsque l'on mélange son contenu. Quand ces bulles éclatent, on entend un claquement, on appelle cela la cavitation.
Le doigt à ressaut
Les tendons peuvent être parfois abîmés, de même que leur gaine synoviale. Un traitement chirurgical complémentaire peut alors être nécessaire. Le ressaut peut concerner un ou plusieurs doigts, dont le pouce, sur une ou les 2 mains. Le diagnostic ne nécessite en général aucun examen complémentaire.
Une douleur au niveau de l'os peut être le signe d'une fracture osseuse et dans les cas les plus graves, la cheville peut se déboîter (fracture-luxation). Très rarement, il peut y avoir une lésion vasculaire ou neurologique en plus.
L'INSTABILITE DE CHEVILLE
C'est ce que l'on appelle « l'instabilité de cheville », qui est ressentie comme une sensation d'insécurité, que la cheville lâche, qu'elle se tord lors d'un effort physique important ou parfois simplement en marchant. Une entorse sur trois évolue vers une instabilité de cheville.
L'instabilité est une sensation.
L'instabilité de cheville peut donc être due au déficit de la fonction du ligament. Ce dernier peut être génétiquement trop élastique (ce que l'on appelle l'hyperlaxité constitutionnelle) ou il peut être endommagé par les différents épisodes d'entorse (cause extrinsèque).
Cela peut naître à la suite d'un accident, à cause d'un manque de force ou d'un spasme musculaire, un manque de souplesse articulaire ou musculaire, une mauvaise posture prolongée, comme assis à un poste de travail informatique, de mauvaises postures assises ou de mauvaises techniques de travail.
Les craquements surviennent souvent quand il y a un manque de stabilisation au niveau de l'articulation. On va alors travailler les muscles qui soutiennent l'articulation. Et très souvent, les craquements vont disparaître , explique Julie Graham, kinésiologue et propriétaire de Kinik.
Tendinite de l'épaule : symptômes
Parfois, cette douleur peut s'accompagner d'un gonflement au niveau de l'articulation de l'épaule. Outre cette douleur, le patient peut ressentir une sensation de craquement dans l'articulation, ainsi qu'un enraidissement et une perte de force au niveau du bras.
La position sur le côté est la meilleure si vous souffrez d'un mal de dos, c'est celle qui met le moins de contraintes sur la colonne. Afin d'optimiser cette position, vous pouvez mettre un coussin entre vos deux jambes, au niveau des genoux afin d'éviter une rotation de la colonne lombaire.
Essayez bien de descendre le coccyx vers le sol ; Tenez la position 30 secondes à 1 minute ; Relevez-vous en déroulant lentement le dos, vertèbre après vertèbre ; Renouvelez si nécessaire l'étirement plusieurs fois.
On entrelace ses mains et tend les bras au-dessus de la tête pour s'étirer vers l'arrière puis incliner le tronc vers la gauche et la droite. «S'allonger quelques minutes peut également permettre de libérer la colonne vertébrale du poids du corps.
Un choc provoque la fracture
Ce type de fracture est généralement dû à un choc direct sur le nez, de face ou de côté. Ces chocs peuvent survenir lors d'accidents de la route, d'agressions physiques, de rixes, pendant un combat sportif ou lors de match de jeux de ballons, et plus rarement à cause d'une morsure d'animal.
L'expression “coup du lapin” est employée pour désigner un traumatisme cervical, qui survient le plus souvent lors d'un accident de voiture, typiquement un changement brutal de vitesse ou un choc arrière. La tête vacille, ce qui peut endommager les vertèbres, les muscles, et d'autres éléments du cou.
Tenez-vous droit sur le siège, bras relâchés sur les côtés. Tournez lentement votre buste vers la gauche et passez votre bras gauche devant votre corps. Tenez le côté droit de la chaise avec la main gauche et tirez doucement pour augmenter la rotation de votre tronc. Relâchez-vous lorsque vous sentez votre dos craquer.
L'instabilité de cheville correspond au fait que le ligament ne joue pas son rôle de stabilisateur. Ainsi le patient a la sensation que sa « cheville lâche ou va lâcher ». Ces sensations de dérobement peuvent s'accompagner d'entorses à répétition causées par des mouvements anodins tels que la descente d'escalier.