Psychologie : pourquoi est-ce si difficile de reconnaître ses torts ? "Le mauvais orgueil est de croire qu'on ne peut avoir tort, et c'est une faiblesse de n'oser reculer quand on fait fausse route" écrivait Fénelon. Il nous arrive à tous de nous tromper, de ne pas prendre la bonne décision.
On a pu voir que les narcissiques sont des personnes obsédées par la publication quasiment constant de leurs réussites, objectifs atteints, vertus apparentes et compétences élevées. Cependant, ce type de personnalité caractérisé par une vision élevé de soi-même n'admet jamais ses propres erreurs.
Avoir du mal à présenter des excuses a très souvent un lien avec une haute estime de soi anormale. Tout en voulant conserver leur dignité sans s'abaisser à dire qu'ils ont tort, les personnes qui ont du mal à présenter des excuses ne veulent en réalité pas avouer leur faiblesse.
C'est un flatteur et un énorme séducteur. Il va dire : "Je t'aime, mais..." et citer toute une liste de raisons pour ne pas vous aimer. Il n'a pas d'empathie et ne reconnaît jamais ses torts. Il passe son temps à dénigrer sa victime.
Ils ne ressentent aucune empathie. Ils exigent toujours de l'attention. Ils ne sont jamais satisfaits, en veulent de plus en plus. Comme ce sont des gens assez compliqués, vivre avec un narcissique est souvent épuisant, surtout pour ceux qui sont émotionnellement dépendants ou qui ont des problèmes d'estime de soi.
Le vrai pervers narcissique ne s'excuse pas, c'est pour lui une règle absolue. Il souffle alternativement le chaud et le froid. Il est impossible de repérer quand il ment. Quand vous lui exprimez une émotion, il s'en sert.
Le terme psychorigide est employé de façon fréquente et souvent abusive. La personnalité psychorigide est complexe. C'est un problème psychologique.
Une personnalité orgueilleuse aura du mal à reconnaître ses erreurs en se pensant supérieure aux autres, et remettra toujours la faute sur les autres.
Le trouble de la personnalité narcissique est caractérisé par un sentiment constant de supériorité (mégalomanie), un besoin d'être admiré et un manque d'empathie.
“S'excuser, c'est une forme d'aveu de faiblesse dans l'esprit de certains, c'est se rabaisser à l'autre et reconnaître d'une certaine manière sa propre impuissance”, décrypte Maïté Tranzer*, psychologue clinicienne à Paris. Ne pas s'excuser est alors un moyen de montrer de l'assurance, de se sentir fort.
rancunière. Enclin à la rancoeur, incapable de pardonner quelqu'un pour une action considérée comme un tort personnel.
Se remettre en question nous permet de progresser dans la vie. Celui ou celle qui ne se remet jamais en question s'empêche de se découvrir et de se comprendre lui-même. Or, l'homme a besoin d'apprendre sur lui-même et sur les autres, sur ses émotions, réactions mais aussi sur ses erreurs, afin de s'améliorer.
Cela s'explique par le fait que notre esprit cherche en permanence à déformer la réalité à sa faveur et à se détacher des problèmes. Généralement, ce phénomène émane d'un sentiment inconscient d'insécurité. Accuser l'autre est beaucoup plus facile que de se remettre en question.
Il ne se remet jamais en question, mais peut très bien jouer la comédie. Il est vide intérieurement, évoluant uniquement dans l'intellect et le calcul. Il instrumentalise l'autre qui n'est pour lui qu'un objet à exploiter, puis à jeter. Quand il a épuisé sa proie, il en choisit une autre.
Quelques signes présents chez la personne ayant tendance à la victimisation : elle peut avoir tendance à perdre le contrôle de sa vie, à ne pas être capable de se défendre, à laisser les forces extérieures influencer sa vie, ou encore avoir tendance à s'apitoyer.
Une des manières de gérer quelqu'un qui croit toujours avoir raison est de commencer par être d'accord avec lui ou au moins d'admettre que vous comprenez ce qu'il dit. Ensuite, vous pouvez présenter votre contreargument. Par exemple, vous pourriez lui dire : « je comprends ce que tu dis.
Mais c'est généralement la première cause qui est observée, l'hypégiaphobe craignant d'assumer la moindre responsabilité qu'on pourrait lui donner : il manifeste ainsi des signes de stress et d'angoisse, au point de se retrouver prostré quand la tâche qu'on lui avait confiée était parfaitement à sa portée.
Maniaques du contrôle selon leur entourage, parfois appelées control freaks, elles sont décrites par des termes comme « rigidité, froideur, intransigeance, critique inlassable ». Avec elles, il est souvent difficile de garder patience au fil des ans.
Les signes de la perversion narcissique
Il cherche à plaire à tout prix, donc il se montre charmeur et sait trouver les mots que son auditoire veut entendre. Ce qui invariablement l'amènera à changer souvent d'avis ou d'idée voire de personnalité, à mentir.