La cérémonie débute par les louanges envers Allah lors de la Khoutbah. Lorsque l'Imam récite la prière, femmes et hommes sont séparés. La cérémonie se poursuit par la lecture de quelques versets du Coran puis est mentionnée la dot dans le cadre des échanges de vœux entre la femme et son futur époux.
Si en grande majorité c'est l'homme qui fait la demande, comme chaque demande en mariage, la khotba de mariage peut également être faite par la femme.
Le nikah est la cérémonie traditionnelle du mariage islamique. Il repose sur trois composants principaux : un couple désireux de s'engager, des témoins et un mahr ou cadeau offert par le marié à sa promise. Si ces éléments sont rassemblés, il vous faudra ensuite trouver un imam qui mènera la cérémonie.
Le fatḥa (فتحة en arabe, littéralement « ouverture ») est un signe diacritique de l'écriture arabe indiquant la vocalisation brève [a] de la lettre qu'il modifie. Il est composé d'un trait placé au-dessus de la lettre.
Le mariage peut être célébré à la mosquée, dans une mairie (mariage civil) ou au domicile de l'un des futurs mariés, ou de leurs parents ce qui est le cas le plus fréquent. Un imam ou prédicateur peut être invité pour venir faire un rappel lors de la cérémonie, mais ce n'est pas une obligation.
Dans les pays musulmans, le mariage est organisé généralement le jeudi et le vendredi. Mais en France pour des questions pratiques, on préfère le faire le samedi et le dimanche. De cette manière, toute la famille peut se libérer pour participer aux festivités.
L'islam, considérant le mariage comme un contrat privé, accepte sa dissolution par le divorce. En principe, le divorce n'est pas sollicité par la communauté musulmane, sauf pour des raisons valables émises par l'une des parties. Les relations de couple en Islam sont basées sur l'harmonie et l'amour.
Le terme “Hlal” tel qu'il est utilisé aujourd'hui pour décrire le mariage religieux ne peut être valable dans la mesure où rien ne peut légalement le garantir. Rien ne garantit non plus les droits de la femme en cas de litige, ni la reconnaissance des éventuels enfants ou les droits de succession.
Avant de procéder au mariage musulman, les époux doivent, pour que celui-ci soit reconnu, être mariés en mairie. Aussi, ils auront dû publier les bans (ce qui participe à l'annonce du mariage, selon les recommandations du prophète).
Tout commence par la rencontre entre le tuteur de la femme et le prétendant. L'homme va se rendre dans la demeure familiale pour adresser au père, son désir d'épouser et de se marier avec sa fille. Bien évidemment, le père connait déjà l'existence du futur marié, et généralement, la visite est plus ou moins planifiée.
Comme pour la mariée, la famille de l'époux prend en charge les frais pour sa tenue et celle des témoins. C'est elle qui paie aussi les alliances, les frais administratifs, le bouquet de la mariée, les frais de réception des invités du marié, l'enveloppe pour le prêtre et sa paroisse en cas de mariage à l'église.
Il serait une déclinaison du mot halal, traduisible en “licite”, et désigne un mariage religieux, réalisé en présence d'un Imam ou à la Mosquée et répondant aux préceptes de l'Islam.
La cérémonie du mariage musulman débute bien souvent par la récitation d'une « khoutbah » qui est une courte allocution en arabe intégrant des formules de louange d'Allah. L'Imam lit les versets du Coran puis procédera à l'échange des alliances devant la famille, les témoins et les amis.
La fatiha est utilisée comme talisman de guérison, comme défense contre le mal, comme bénédiction...
Le mariage dans l'islam
Procéder à un mariage uniquement avec une procédure religieuse, par «la fatiha», sans acte légal écrit devant un maire ou un juge, peut facilement se retourner contre les épouses et les enfants issus de ces unions non-officielles d'un point de vue légal.
1 L'état de zina' désigne une relation extraconjugale entre un homme et une femme, que celle-ci se déroule avant le mariage ou pendant le mariage avec un autre conjoint. Elle est considérée comme un des plus grands péchés de l'islam.
L'imam débute généralement la cérémonie par des louanges à Allah puis par la récitation de 3 versets du Coran (par exemple : sourate III, verset 102 ; sourate IV, verset 1 ; sourate XXXIII, verset 71-72) puis les époux échangent leurs consentements ainsi que les alliances.
La cérémonie se déroule de la manière suivante : Il demande l'accord de la future mariée que l'union puisse avoir lieu. L'imam fait un discours sur les conditions du mariage ainsi que l'importance de l'amour. Les mariés récitent le premier chapitre du Coran.
Règles gouvernant l'usage du talâq
Les hommes comme les femmes ont la possibilité de divorcer en islam. L'islam reconnaît la répudiation des femmes par les hommes mais aussi, si les conditions requises sont remplies, le divorce à l'initiative de la femme.
De plus, il vous faudra proscrire les jours fériés liés à des fêtes familiales tel que Noël, le 1er janvier ou encore le lundi de Pâques.
Le mahr (arabe : مهر) est le don, selon les prescriptions de l'islam, que l'époux doit faire à l'épouse. Ce don serait une forme d'appréciation et permettrait d'offrir certaines garanties à la femme.
Parfois, les familles aident, il n'y a plus de règle absolue de nos jours. Dans le En général, une femme achètera son propre bijou, mais l'anneau de mariage est le cadeau du futur mari. Si l'alliance est chère, le couple s'arrangera.
Les musulmans portent souvent l'alliance à la main droite, sans exclure d'office la main gauche. La culture et le lieu de résidence peuvent aussi avoir une influence sur le choix de la main pour l'alliance et la bague de fiançailles.
Le mariage civil se déroule toujours ou presque dans la salle des mariages de votre mairie ou de son annexe. Les invités s'installent, suivis de près des mariés qui se placent tout devant, face au maire ou à un de ses adjoints. Chacun des mariés est accompagné par ses témoins, assis non loin.
La cérémonie doit se dérouler devant deux témoins au minimum. Parmi eux, des hommes obligatoirement, on comptera le père ou le frère de la mariée.