Les personnes qui se plaignent tout le temps ont surtout besoin d'attention. Ils peuvent être particulièrement irritants, voire franchement agaçants pour leurs proches. Leur tendance à tout voir en noir semble témoigner d'un irréductible pessimisme et leur constant besoin d'attention peut être difficile à gérer.
« Le proche d'une personne qui se plaint de manière fréquente a sans doute raison de considérer qu'il y a, dans la répétition, une exagération pesante. Il peut aider celui ou celle qui se confie à lui à établir une hiérarchie entre ses maux.
Si, face à quelqu'un qui se plaint, il est important de faire preuve d'empathie, «en prenant le temps de lui demander, seul à seul, ce qui la fait tant souffrir, ce qu'elle a besoin de confier, comment il serait possible de l'aider», il faut également savoir dire stop quand cela nous impacte trop, assure Saverio.
geignarde. Personne qui se plaint tout le temps.
Si l'on est victime d'un Calimero, il ne faut pas hésiter à dire stop, en exprimant que vous pouvez l'écouter, mais que vous ne pouvez pas trouver les solutions à sa place. En lui posant une limite, il est mis face à lui-même : sa plainte ne peut pas être déversée infiniment sur autrui.
Les personnes qui se plaignent tout le temps ont surtout besoin d'attention. Ils peuvent être particulièrement irritants, voire franchement agaçants pour leurs proches. Leur tendance à tout voir en noir semble témoigner d'un irréductible pessimisme et leur constant besoin d'attention peut être difficile à gérer.
Quelques signes présents chez la personne ayant tendance à la victimisation : elle peut avoir tendance à perdre le contrôle de sa vie, à ne pas être capable de se défendre, à laisser les forces extérieures influencer sa vie, ou encore avoir tendance à s'apitoyer.
Le syndrome de Calimero désigne les éternels plaintifs qui passent leurs journées à voir tout en noir. On les redoute, on les fuit. Mais on a peut-être tort. Dans un essai étonnant, Saverio Tomasella explique que leurs plaintes, rarement infondées, peuvent faire écho à une plainte universelle.
Ne pas arrêter de se plaindre : les conséquences
L'habitude de se plaindre tout le temps draine un cortège de conséquences pas agréables. Ces conséquences sont entre autres : Le pessimisme : cela vous empêche d'être positif. Vous ne verrez que le mauvais côté des choses.
Les personnes que vous attirez, ainsi que les relations, sont souvent le reflet de vous-même, des perceptions que vous avez de vous, de votre relation à vous-même, des croyances que vous avez,… Donc, il est toujours intéressant de vous demander ce que cette personne et cette relation vous dit de vous.
D'après Guy Winch, se plaindre a pour principal objectif d'évacuer ses émotions négatives : "C'est un relâchement cathartique de la tension intérieure qu'on cherche à obtenir". En clair, on cherche dans un premier temps à se "purger" de l'irritation, de la colère provoquée par l'insatisfaction.
Quand on se plaint, on libère du cortisol, l'hormone du stress. Et cela nous rend plus vulnérable : système immunitaire défaillant, augmentation des risques de crise cardiaque, de diabète ou d'obésité. "Peu de gens le savent mais le stress est l'un des plus grands maux que peut subir l'organisme.
Vous pouvez même envisager de dire ceci : « Écouter toujours tes pensées négatives est très frustrant pour moi, » au lieu de vous exprimer de la sorte : « Tu es un terrible râleur. » Vous pouvez demander à l'autre personne de reformuler ses plaintes avec des phrases à la première personne du singulier.
Exprimer la peine, la douleur qu'on éprouve, en cherchant auprès d'autrui la compassion, le soulagement, un remède : Se plaindre de maux de tête. 3. Exprimer (à quelqu'un) son mécontentement ou sa protestation au sujet de quelque chose, de quelqu'un : Se plaindre de la vie chère.
Autre question à se poser : pourquoi je me laisse rabaisser ? "Cela peut être par manque de confiance en soi ou par dépendance affective" suggère Chantal Pironi, psychologue. Dans ce dernier cas, le conjoint rabaissé laisse décider l'autre pour lui.
Saverio Tomasella : Nous sommes tous des Calimeros lorsque des évènements de notre vie sont difficiles à vivre, nous font ressentir de la souffrance, de l'incompréhension ou de l'injustice. Lorsqu'elle est ponctuelle, la plainte est positive car elle permet d'attirer l'attention.
Exprimer son mécontentement (au sujet de qqn, qqch.). ➙ protester ; familier râler, rouspéter.
“Pourquoi se plaindre du manque de goût quand on ne fait rien pour éduquer l'Ïil ?” “Ceux qui ne votent pas perdent le droit de se plaindre.” “Ceux qui emploient mal leur temps sont les premiers à se plaindre de sa brièveté.” “Il faut plaindre les riches : leurs biens les environnent et ne les pénètrent pas.”
Le syndrome de Peter Pan ou SPP correspond à un refus de grandir. Non classifié parmi les maladies mentales, il se manifeste par un ensemble de signes liés à l'angoisse d'intégrer le monde des adultes. Ce complexe concerne généralement les jeunes de 20 à 25 ans, âge où commencent les premières responsabilités.
La personne qui souffre du syndrome de l'imposteur dépense trop d'énergie par rapport à la tâche qu'on lui demande de réaliser, elle montre un surinvestissement, ce qui lui permet d'attribuer son succès "éventuel" à une grande quantité de travail et non à ses compétences réelles.
Il désigne la propension des otages ayant partagé longtemps la vie de leur geôlier à sympathiser avec eux et à adopter leur point de vue. L'histoire du syndrome remonte à un hold-up dans une banque commis à Stockholm en 1973 par deux évadés de prison qui prennent en otage quatre employés.
La séduction : le manipulateur commence toujours par séduire sa victime pour mieux la manipuler ensuite. Au départ, il fait tout pour plaire à sa proie pour que celle-ci baisse la garde et se sente en parfaite confiance. Plus on se sent à l'aise avec une personne, moins on s'en méfie.
Une personnalité orgueilleuse aura du mal à reconnaître ses erreurs en se pensant supérieure aux autres, et remettra toujours la faute sur les autres.
Inverser les rôles, jouer de l'ambiguïté, du doute et de l'accusation sont des caractéristiques du manipulateur pervers. En effet, sa victime est alors confuse et embrouillée. Elle ne comprend pas ce qui lui arrive. Elle est démunie face à cette place que le pervers narcissique lui impose.