Toutes les formes de discrimination sont le fruit de préjugés fondés sur une conception de l'identité et reposent sur le besoin de s'identifier à un certain groupe. Cela peut entraîner des divisions, de la haine, voire la déshumanisation d'autres personnes en raison de leur identité différente.
L'âge, le sexe, l'origine ethnique, la religion ou encore l'orientation sexuelle en sont les principaux motifs, rappelle l'étude. En Europe, le motif de discrimination le plus répandu reste l'âge, de l'avis des personnes interrogées, qui sont 9% à le considérer (et 12% en France).
Si l'on discrimine, c'est aussi parfois pour affirmer notre identité ou celle de notre communauté. Les humains ont besoin, pour se sentir bien, d'avoir une idée plus ou moins claire de qui ils sont. J'imagine que t'as déjà ressenti ça, non ? Pour cela, on peut s'appuyer sur les différences entre nous.
Il est lié à une organisation du monde. Nous discriminons tous, à différentes mesures, au sens où nous interagissons avec le monde en fonction de perceptions et de catégories. Sur base d'un ensemble d'informations, en un instant, nous nous forgeons une représentation de la situation sur base de laquelle nous agissons.
La discrimination est une action ou une décision qui a pour effet de traiter de manière négative une personne en raison, par exemple, de sa race, de son âge ou de sa déficience. De telles raisons sont des motifs de discrimination et sont protégés par la loi.
La discrimination est une injustice dans laquelle on se sent souvent impuissant. e. Cela entraine régulièrement un sentiment de honte et de culpabilité, et évidemment une profonde colère, qui peut se retourner contre les autres ou même contre soi.
Le handicap reste, pour la sixième année consécutive, le premier motif de discriminations, devant l'origine et l'état de santé. Principaux obstacles pour les 12 millions de Français concernés ? L'emploi et les biens et services privés (litige commercial, assurance, banque, consommation, transport...).
Les conséquences de la discrimination
La discrimination existe dans tous les pays et tous les secteurs économiques du monde. Elle réduit les opportunités pour les personnes, gâche les talents et ralentit le progrès économique. Elle augmente les tensions et renforce les inégalités.
assurer une égalité de traitement, peu importe l'orientation ou l'identité sexuelle de chacun ; soutenir les collaborateurs qui subiraient des discriminations ; partager les bons réflexes pour faire évoluer de façon positive l'environnement de travail et la tolérance.
Le critère de l'origine, tel que prévu par l'article 225-1 du code pénal, renvoie à la projection de stéréotypes et de mises à l'écart à partir de diverses caractéristiques qui font l'objet d'une essentialisation, notamment la couleur de peau ou le patronyme.
En droit, une discrimination est un traitement défavorable qui doit généralement remplir deux conditions cumulatives : être fondé sur un critère défini par la loi (sexe, âge, handicap…) ET relever d'une situation visée par la loi (accès à un emploi, un service, un logement…).
« la discrimination est en général alimentée par des stéréotypes et des préjugés, conscients ou non, qui, en l'espèce, disqualifient ou stigmatisent des individus en raison de leur couleur, de leur apparence ou de leur appartenance, réelle ou présumée, à un groupe » 1.
La discrimination sociale est un processus lié au fait d'opérer une distinction concernant une personne ou une catégorie sociale en créant des frontières dites « discriminantes », c'est-à-dire produisant un rejet visant à l'exclusion sociale sur des critères tels que l'origine sociale ou ethnique, la religion, le genre ...
Voici les critères dont l'usage sélectif est a priori prohibé par le droit pénal : origine, sexe, situation de famille, grossesse, apparence physique, patronyme, état de santé, handicap, caractéristiques génétiques, mœurs, orientation sexuelle, identité sexuelle, âge, opinions politiques, activités syndicales, et « ...
Le motif sexiste est devenu la principale source de discrimination pour les femmes : 47 % pensent avoir été discriminées en raison de leur sexe, contre 28 % en 2008-2009, où elles citaient ce motif après l'origine, la nationalité ou la couleur de peau (figure 2).
L'inégalité des chances qu'engendre la discrimination à l'école a également des répercussions sur la société. Elle exacerbe les divisions sociales, alimente la xénophobie, l'intolérance et met à mal la cohésion sociale.
Le Code Pénal français définit la discrimination comme « toute distinction opérée entre les personnes physiques à raison de leur origine, de leur sexe, de leur situation de famille, de leur grossesse, de leur apparence physique, de leur patronyme, de leur lieu de résidence, de leur état de santé, de leur handicap, de ...
La lutte contre les discriminations à l'école peut être menée avec succès si des mesures sont prises. La première est d'encourager la diversité. Les écoles devraient encourager les élèves à s'ouvrir aux cultures différentes et à accepter la différence. La deuxième mesure est de promouvoir l'éducation.
Pour réduire les inégalités, commençons par faire respecter l'égalité des droits. Luttons pour plus de justice à l'école et dans l'entreprise. Modernisons les services publics. Redistribuons mieux, en réformant la protection sociale et les impôts.
L'employeur, lui, aura à prouver que sa décision est justifiée par des éléments objectifs, lesquels sont étrangers à toute discrimination.
Établir une différence entre des personnes ou des choses en se fondant sur des critères distinctifs.
La discrimination selon l'apparence physique, porte sur les caractéristiques visibles d'un individu modifiable ou non qu'il s'agisse de son physique proprement dit (taille, poids, visage, cheveux, couleur de peau), de sa vêture, de ses tatouages, piercing et maquillage.