Il s'agit de l'hypertension artérielle, du tabagisme, d'un rapport taille-tour de hanche élevé, de la sédentarité, d'une alimentation défavorable à la santé, du cholestérol, des facteurs psychosociaux (stress, dépression, événements de la vie), des causes cardiaques, de la consommation d'alcool excessive (plus de 14 ...
Les causes peuvent être de deux ordres : une hémorragie ou la thrombose d'une artère cérébrale. Dans 80 % des cas, l'AVC est causé par une baisse de l'apport de sang en raison d'un obstacle à l'intérieur d'une artère cérébrale. On parle alors d'accidents ischémiques. Il en existe de deux types.
Pour les personnes les plus modestes, les AVC sont plus fréquents et le risque de séquelles plus important. Ainsi, la probabilité qu'un AVC entraîne une paralysie est 22 % plus élevée chez celles-ci que chez les plus aisés. De même, le risque de troubles du langage augmente de 11 %.
Le stress peut parfois être utile. Mais trop de stress peut nuire à votre santé et augmenter votre risque de maladies du cœur et d'AVC.
"Le déterminant le plus important de la survie à long terme était l'âge au moment de l'AVC", indiquent les auteurs. "Dans le groupe d'âge de 65 à 72 ans, 11 % ont survécu 15 ans après l'AVC. Dans le groupe d'âge moins de 65 ans, 28% ont survécu 15 ans".
Ceux qui mangeaient au moins 200g de fruits et légumes (agrumes, pommes, avocat, concombre, courgette,…) présentaient également un risque moindre d'AVC ischémique. À l'inverse, le risque était plus élevé avec une consommation importante de viande rouge (plus de 50g par jour).
Le problème, c'est qu'environ un AVC sur quatre survient pendant le sommeil. Les médecins n'ont donc aucun moyen de savoir quand les signes de l'AVC ont débuté. C'est le cas pour des milliers de victimes d'AVC chaque année.
Parmi les facteurs de risque relevés, l'hypertension est en tête de liste, avec 34 % de risque de souffrir d'un AVC. Viennent ensuite la sédentarité, le tour de taille élevé, le taux de cholestérol, la mauvaise alimentation et le tabagisme (voir tableau).
L'AVC peut survenir à tout âge : si l'âge moyen de survenue d'un AVC est de 74 ans, 25% des patients ont moins de 65 ans et 10% moins de 45 ans. Ces dernières années le nombre d'AVC affectant des personnes jeunes a augmenté de manière significative.
On estime à environ 150 000 par an (incidence) le nombre de nouveaux cas d'AVC, soit 1 AVC toutes les 4 minutes. Une personne sur 5 aura un AVC dans sa vie. Le quart des AVC concerne des personnes de moins de 65 ans, la moitié des personnes de 65 à 84 ans et un autre quart, des personnes d'au moins 85 ans.
Les siestes de plus d'une heure et demie augmenteraient les risques d'AVC de 25% par rapport à celles de moins de 30 minutes. La qualité du sommeil, lorsqu'elle est mauvaise, influe, elle aussi, négativement sur notre santé. Elle augmenterait de 29% les risques d'accident vasculaire cérébral.
Trois raisons sont généralement avancées pour expliquer l'élévation du risque de mort subite le matin, entre 6h et 9h. L'augmentation physiologique à cette période la journée de la tension artérielle, celle de la fréquence cardiaque et la libération dans le sang d'hormones comme le cortisol.
Les personnes à risque d'un accident vasculaire cérébral (AVC) sont les personnes ayant déjà eu un accident ischémique transitoire (mini-AVC), les personnes atteintes d'un trouble cardiaque, les personnes diabétiques, les personnes souffrant de migraine...
De nombreux survivants d'AVC subissent un mémoire faible et, heureusement, suivant qu'il s'agit d'un effet cognitif, la récupération de la mémoire est souvent possible par la rééducation cognitive.
Bref, oui, on peut guérir quelqu'un d'un AVC dans deux étapes : en premier lieu, les médecins administrent des traitements spécifiques pour restaurer le flux sanguin dans le cerveau ; en deuxième, le patient assiste à la rééducation pour guérir les effets secondaires.
Le risque de récidive après un AVC reste élevé, près de 13% à 5 ans. Après un infarctus cérébral ou un accident ischémique transitoire d'origine athéroscléreuse, il est recommandé de prescrire un traitement par statine à forte dose pour diminuer le taux de LDL cholestérol dans le sang (mauvais cholestérol).
La pratique amoncelée des exercices de physiothérapie peut améliorer le mouvement après un AVC. Les patients qui subissent une paralysie du côté gauche peuvent s'en servir, si nécessaire, du bras droit pour aider le corps à compléter les exercices.
L'hémorragie cérébrale (20 % des cas) ; c'est la plus dangereuse en termes de mortalité et de séquelles. Le plus souvent, elle provient d'un anévrisme (section dilatée d'une artère) qui prive le cerveau d'oxygène et provoque une compression sur les tissus environnants.
Au total, 22,5 % des personnes ont présenté un AVC ischémique aigu ou un accident ischémique transitoire malgré un traitement par anticoagulants oraux. La prise d'anticoagulants oraux avant l'AVC initial a été associée à un risque accru d'AVC (hazard ratio [HR] de 1,6 ; p = 0,005).
Les micro-AVC se manifestent comme les AVC: paralysie ou anesthésie d'un membre, trouble de la vision, de l'équilibre ou encore perte de la parole. Mais ces troubles durent peu, à peine quelques secondes ou minutes.
Vitamine D. Supplémenter en vitamine D s'est avéré « une amélioration signifiante selon les résultats lors de 3 mois après un AVC » Probiotiques. Prendre des probiotiques pour amender la santé de l'estomac peut servir aussi à améliorer le cerveau via le lien estomac-cerveau.