Il est en effet situé sur la ceinture de feu du Pacifique, à la jonction de trois plaques tectoniques (les plaques pacifique, eurasienne et des Philippines). Placé également au-dessus de zones de subduction, l'archipel japonais subit ainsi de nombreux séismes associés quelquefois à des tsunamis.
Un tsunami peut survenir après un séisme, lors d'un mouvement du plancher océanique le long d'une faille. La plupart des tsunamis sont produits par des mouvements de plaques à l'endroit où une plaque océanique et une plaque continentale sont en contact, dans une région qu'on appelle « la frontière de plaques ».
Le tsunami du siècle
L'épicentre était à 30 km des côtes de l'île indonésienne de Sumatra, dans l'océan Indien. C'est le plus long raz-de-marée jamais recensé, 1300 km de longueur. Le résultat est 230.000 morts dont 170.000 sur l'île de Sumatra.
La sismicité au Japon est particulièrement importante du fait des mouvements tectoniques qui se produisent à proximité de l'archipel.
Une situation géographique difficile (territoire montagneux, pluviométrie importante, zone de subduction de plaques tectoniques) couplée à une forte densité de population font du Japon un pays très exposé aux risques naturels, principalement les séismes, les tsunamis, les volcans, les typhons, les crues et les ...
Au grand loto de la tectonique des plaques, l'archipel nippon a en effet tiré un très mauvais numéro : il est situé le long de la « ceinture de feu » du Pacifique, à la rencontre de pas moins de quatre plaques !
De par sa situation géographique, l'archipel nippon est confronté à plusieurs risques naturels : séisme, tsunami, volcanisme, typhon. A ses aléas naturels s'ajoutent des risques liés aux infrastructures et activités humaines : que ce soient les centrales nucléaires ou les barrages.
Un séisme ou tremblement de terre est une secousse du sol résultant de la libération brusque d'énergie accumulée par les contraintes exercées sur les roches. Cette libération d'énergie se fait par rupture le long d'une faille, généralement préexistante.
Un programme de prévention entré dans les moeurs
Au cas où ils se retrouveraient prisonniers des décombres, indique-t-elle, certains achètent des kits de survie pour tenir jusqu'à l'arrivée des secours, et les écoliers disposent d'un casque de protection dans leur casier.
Une alerte enclenchée en avril 2021
La dernière alerte tsunami en France remonte en avril 2021.
En août 2004, la baie de Marseille a été touchée par un faible tsunami d'intensité 2 sur 6 sur l'échelle de Sieberg, de même que la côte du Var en juin 1909, mais la côte méditerranéenne française a encore été concernée en juillet 1899, en septembre 1860, en 1843, et en 1817, entre autres.
Grimpez sur le toit d'une habitation ou la cime d'un arbre solide ; en dernier recours, accrochez-vous à un objet flottant que le tsunami charrie. Ne prenez la mer sous aucun prétexte. Ne téléphonez qu'en cas d'urgence vitale, pour laisser les secours disposer au mieux des réseaux téléphoniques.
La France compte également plus de 12.000 km de côtes Outre-mer, dans tous les océans du globe. Le risque de tsunami existe particulièrement à La Réunion, dans le Pacifique et aux Antilles.
Un tsunami n'est pas constitué d'une seule vague mais de plusieurs, qui peuvent traverser l'océan à une vitesse de plus de 800 km/h. Au large, plusieurs centaines de kilomètres peuvent séparer deux vagues géantes.
Lorsque l'activité sismique a une magnitude supérieure à 7,5, nous utilisons habituellement le terme de tremblement de terre, tandis que lorsque l'activité sismique a une magnitude comprise entre 4 et 7 environ, nous utilisons habituellement le terme de séisme.
Pyrénées, Côte d'Azur, Alpes, bassin du Rhône, les principales zones à risque. La région Provence-Alpes-Côte d'Azur est probablement la région de France métropolitaine la plus à risque, à cause du rapprochement entre le bloc Corse-Sardaigne d'un côté et le continent de l'autre.
Restez à l'intérieur. Abritez-vous sous un meuble lourd, comme une table, un bureau, un lit ou tout meuble solide. Couvrez votre tête et votre torse afin de vous protéger de tout objet qui pourrait vous tomber dessus. Agrippez-vous à l'objet sous lequel vous êtes réfugié afin de rester couvert.
Ainsi, on estime que le salaire moyen s'élève à environ 2 633 euros par mois. Néanmoins, ce salaire moyen est également très différent selon les villes japonaises. Il est de 2 644 euros à Tokyo, de 2 270 euros à Osaka et de 3 383 euros à Nagasaki. Le coût de la vie au Japon est bien supérieur à celui de la France.
Langue officielle
Le japonais (de facto).
1. Le dinar koweïtien. Connu comme la monnaie la plus puissante du monde, le dinar koweïtien ou KWD a été introduit en 1960 et était initialement équivalent à une livre sterling.
Tsunami, tremblements de terre, typhons et séismes sont les risques naturels les plus fréquents au Japon. Ce pays est situé dans une zone à risque exposées aux perturbations naturelles.
Situé sur une zone de subduction, le Japon est secoué en moyenne par 30 séismes de magnitude supérieure à 7 par siècle. Il est également actif d'un point de vue volcanique. S'est ainsi développée une culture du « shikata ga nai » (signifiant « c'est ainsi ») : la catastrophe naturelle est acceptée, voire accueillie.
Les séismes peuvent avoir des conséquences sur la vie humaine, l'économie et l'environnement. Le séisme est le risque naturel majeur le plus meurtrier, tant par ses effets directs (chutes d'objets, effondrements de bâtiments) que par les phénomènes induits (mouvements de terrain, tsunamis, etc.).