Cela résulte généralement d'une accumulation de difficultés auxquelles on fait face, par exemple : Être confronté·e à une ou plusieurs situations de vie difficiles (ex. : problèmes financiers, problèmes relationnels, problèmes légaux, rupture amoureuse, solitude, etc.)
Le sentiment de dévalorisation est très fréquent chez les personnes dépressives. Elles se pensent aussi responsables de leur mal-être et se culpabilisent. C'est pour cette raison qu'il leur est parfois difficile de demander une aide extérieure.
Laisser filer les pensées négatives
Pour cela, la méditation active apporte une aide intéressante. "Observez vos pensées sans les juger ni vous y accrocher. Laissez-les passer comme des nuages au-dessus de votre tête sans qu'elles puissent prendre le pouvoir", conseille Latifa Gallo.
Les idées noires liées à soi-même
La personne se sent dévalorisée, elle a l'impression qu'elle ne vaut rien, qu'elle ne fait que déranger les autres ce qui l'amène à culpabiliser. La tristesse s'y ajoute. La personne pense que la vie n'a plus de sens.
La tristesse sans raison apparente peut être déroutante, surtout lorsque tout semble aller bien dans votre vie. Parfois, cette tristesse peut être le signe d'un trouble anxieux ou d'un stress chronique. L'anxiété peut se dissimuler derrière d'autres symptômes, tant mentaux que physiques.
Les idées envahissantes sont des pensées qui s'imposent à la personne, généralement à la faveur d'un moment chargé d'émotion, positive ou négative. Elles peuvent apparaître en cas d'angoisse, de tristesse, de frustration… mais parfois aussi, spontanément.
Distraire son esprit en discutant, entretenir le scepticisme et se donner une limite de temps comptent parmi les méthodes efficaces pour lutter contre la rumination, un réflexe susceptible d'augmenter le stress et les risques de dépression, selon Sonia Lupien.
Le premier signe de la dépression est bien sur une profonde tristesse, elle est particulièrement douloureuse, incompréhensible et envahissante. Elle peut s'accompagner de pleurs inexpliqués et d'un sentiment de désespoir, de l'impression que tout va mal, que tout est noir, et que rien de positif ne peut nous advenir.
C'est une "pensée involontaire" et répétitive, qui serait une tentative, mise en échec, de réponse à une détresse psychologique, à une douleur morale. Elle se traduit par une lamentation répétitive focalisée sur les symptômes de la détresse et/ou sur ses causes et conséquences possibles ou supposées.
La réflexion excessive peut avoir pour origine le doute de soi ou un manque d'estime de soi, elle peut être liée au stress et à l'anxiété, ou encore être le résultat de traumatismes passés ou d'expériences négatives dans la vie.
Sur le long terme, ressasser le passé est un trouble qui peut mener à une dépression ou à une angoisse chronique (qui revient sans cesse, régulièrement). Cette tornade d'émotions ne peut être expliquée que par la tristesse ou l'anxiété.
La méditation guidée peut vous aider à trouver le calme intérieur en se concentrant sur la respiration qui est le support de base et permet à l'esprit de se détacher de ses ruminations. Un entrainement quotidien de 5/10 mn est excellent.
Rester à l'écoute de ses émotions (positives).
Et lorsqu'on va les écouter, on sait qu'il se passe quelque chose en nous. Une fois qu'elles ont fait leur rôle, qu'on les a écoutées, elles vont se calmer naturellement. Et si une émotion se calme, les ruminations, les pensées liées vont également se passer.
Cela peut venir par exemple d'un climat d'anxiété. Vous pouvez aussi avoir développé cette fonction de la psyché au détriment d'autres fonctions telle la fonction intuitive. Il faudrait donc creuser pour comprendre comment cela s'est organisé historiquement en vous.
Une pathologie psychiatrique méconnue. La phobie d'impulsion est une maladie psychique issue de la famille des troubles obsessionnels compulsifs (TOC). Elle est caractérisée par des obsessions, c'est-à-dire des pensées envahissantes, gênantes et très désagréables, générant une forte anxiété.
Une souffrance inconsciente qui grandit au quotidien. Le mal-être se traduit dans tous les cas par une souffrance qui peut être : Émotionnelle / Morale : anxiété, déprime, abattement, manque d'estime de soi, susceptibilité, agressivité…
Pour éviter que la situation ne s'envenime, un seul mot d'ordre : ne pas rester seul. Plusieurs structures peuvent vous aider à sortir de cette mauvaise période. Bouleversements physiques et hormonaux, choix d'orientation, quête d'indépendance, nouveaux rapports à l'autre, découvertes des injustices du monde …
Une tristesse inhabituelle, mêlant un sentiment d'angoisse et de " fatalité " Une perte d'intérêt et de plaisir qui touche tous les domaines de la vie quotidienne (amis, familles, loisirs, travail) Des symptômes qui durent dans le temps (plus de 15 jours) et perturbent beaucoup le quotidien de la personne.