Un amaigrissement sévère peut aussi être le signe d'une malnutrition. C'est-à-dire d'une carence en certains nutriments (par exemple, chez les personnes âgées ou chez les personnes atteintes de maladie digestive).
Le lipœdème, encore connu sous le nom de la maladie des « jambes poteaux », est un syndrome qui touche une femme sur dix. Il se caractérise par une prolifération inhabituelle et une accumulation particulière de graisses dans les cuisses, les jambes et les hanches.
Le corps médical considère qu'un amaigrissement est pathologique quand on perd 5% de son poids en moins de 6 mois ou 10% de son poids en moins d'un an, soit 5,5 kilos pour une femme de 55 kilos par exemple.
Gras de l'abdomen
Une bonne nouvelle toutefois : le gras du ventre est celui qu'on perd en premier, car les hormones dont le rôle est de brûler les graisses sont davantage présentes dans l'abdomen.
C'est le cas notamment du cancer, de l'hyperthyroïdie et de certaines infections. Une perte de poids peut aussi s'expliquer par une malabsorption des nutriments qu'engendrent notamment la colite ulcéreuse, la maladie de Crohn et la maladie coeliaque.
Stress et perte de poids
Le stress peut également avoir une influence sur le métabolisme : il l'accélère. Ainsi, les individus stressés peuvent brûler davantage de calories, plus vite, et perdent du poids.
C'est dire que le dosage de la TSH doit faire partie systématiquement du bilan de débrouillage d'une perte de poids.
Si aller à selle ne fait pas véritablement maigrir, il est certain qu'un bon transit va de pair avec de bonnes habitudes alimentaires et les effets minceur en découlent. La fréquence doit être régulière, quotidienne et peut aussi se produire avant ou après le sport.
Le visage est une zone du corps qui contient peu de graisses, mais des cellules graisseuses sont tout de même concentrées au niveau des joues, et dans le cou, sous le menton. Lorsque l'on perd du poids, les joues ont tendance à se creuser, et à perdre du volume, ce qui donne immédiatement un aspect lifté à la personne.
L'eau agit sur l'organisme pour vous aider à perdre du poids
Lorsque ce n'est plus une illusion mais que vous avez vraiment faim, l'eau vous permet de réduire cette sensation en réduisant votre envie de manger. Elle agit donc comme un coupe-faim.
La plupart du temps, la perte de poids survient parce que les personnes absorbent moins de calories que nécessaire. Elles peuvent absorber moins de calories parce que leur appétit a diminué ou parce qu'elles sont atteintes d'un trouble qui empêche leur tube digestif d'absorber des nutriments (appelé malabsorption ).
La fatigue ne fait pas perdre du poids
Il est très important de dormir autant qu'on en a besoin pour être en bonne santé. En aucun cas la fatigue n'aide à perdre du poids. Pendant un régime il est conseillé de bien dormir et de surveiller son état de santé général pour ne pas mettre à mal son organisme.
Une baisse d'appétit peut être la cause d'une perte de poids. "C'est notamment le cas chez les personnes présentant des troubles mentaux, comme une dépression sévère, ou des troubles alimentaires importants comme une anorexie mentale restrictive", décrit le médecin.
En cas de cancer, il peut y avoir une augmentation des dépenses, et une diminution des apports énergétiques, pouvant entraîner une perte de poids.
Définition. Le phénomène de "jambes poteaux" n'est pas une maladie mais une entité clinique. Il se traduit par une augmentation du volume d'un ou des membres inférieurs : la jambe se révèle gonflée, parfois douloureuse. "Le point de départ est un œdème des membres inférieurs.
Le grand coupable est tout trouvé : le métabolisme. Autrement dit, la dépense énergétique globale du corps. "Quand on vieillit, celle-ci diminue et fait perdre de la "masse maigre", c'est-à-dire des muscles, à l'organisme. Or, ce sont eux qui nous font dépenser de l'énergie et des calories", explique Alexandra Rétion.
Le rythme de perte de poids conseillé pour rester en bonne santé est de 0,5 à 1 kg par semaine.
Le sel et le sucre encouragent en effet la rétention d'eau, première mise en cause dans le gonflement des zones de la figure. Joues, menton, cou et mêmes les oreilles se retrouvent bouffis à force de manger charcuterie, confiseries et gâteaux, pâtes et pain blanc, aliments riches en sel…
Le chocolat au lait, les frites, toute sorte de charcuteries, les graisses animales, les noix de cajou, les cacahuètes, les fromages industriels, certains jus de fruits et, si vous ne le saviez pas, le maïs soufflé.
La dépression ne s'accompagne pas d'une prise de poids, du moins dans son stade initial. Elle est même, à l'inverse, caractérisée par une triade symptomatique : insomnie, anorexie et perte de poids. Une réduction pondérale d'au moins 5% en un mois est l'un des critères diagnostiques du syndrome dépressif.
Pour arrêter de perdre du poids, augmentez l'apport calorique, modifiez vos séances d'entrainement, faites le choix d'une alimentation saine et contactez un médecin si vous pensez que la perte de poids est due à une maladie sous-jacente.
La perte de poids
Le stress, notamment dans le cadre d'une dépression, peut entraîner une perte de poids importante en raison de deux facteurs majeurs : un appétit diminué ou altéré et un métabolisme accéléré.
Les symptômes physiques se résument surtout à des tensions musculaires, des problèmes digestifs et intestinaux, des troubles du sommeil (insomnies), des manques d'appétit, des migraines, des vertiges et de la fatigue.
L'anxiété est une émotion désagréable qui combine des symptômes physiques (le cœur bat vite et fort, la respiration semble difficile, présence de sueurs, tremblements, étourdissements ou de mains moites, corps crispé, muscles tendus) et des pensées anxieuses (inquiétudes, ruminations, obsessions, doutes, craintes).