Le perce-oreille le plus abondant en Amérique du Nord est le forficule commun, une espèce introduite d'Europe et non originaire de nos contrées. En Europe, on le retrouve très souvent dans les jardins : il est une aide précieuse et contribue au recyclage de la matière organique.
Le perce-oreille se nourrit des matières organiques en décomposition et des feuilles fanées. Il est aussi attiré par les pucerons qui errent dans le jardin. De ce fait, ceux qui souhaitent se débarrasser de ces parasites peuvent faire appel aux pince-oreilles.
Pour limiter les perce-oreilles : le pot de fleur
Remplissez un pot de fleur de paille humide ou de papier journal. Retournez-le en veillant à laisser un espace entre le pot et le sol à l'aide d'un caillou par exemple. Placez-le près des plantes préférées des perce-oreilles : ils viendront s'y abriter la journée.
Inoffensif, il est considéré comme un auxiliaire du jardinier puisqu'il se délecte essentiellement des insectes nuisibles comme les pucerons. Le perce-oreille est un insecte de la famille des Forficulidae appartenant aux dermaptères.
Beurre de cacahuète + huile végétale
Mettez un fond d'huile végétale dans le récipient et fermez le récipient. Placez le récipient là où vous avez une invasion de pince-oreilles et laissez agir toute une nuit. Attirés par le beurre de cacahuète, les pince-oreilles vont tomber dans l'huile et seront pris au piège.
Les perce-oreilles passent souvent pour des insectes agressifs qui piquent et qui mordent, ce qui est probablement attribuable à leurs pinces et au nom qui leur est attribué. Pourtant, les perce-oreilles n'attaquent jamais les humains : ils ne sont pas du tout dangereux.
Les perce-oreilles se cachent à l'intérieur de petites cavités dans le sol ou dans des lieux sombres pendant la journée et ils sortent préférentiellement la nuit pour se nourrir. Ils sont très communs dans les jardins et se rencontrent souvent sous les tas de bois ou de pierres et sous les écorces.
Il sont omnivores et vont ingurgiter des quantités de pucerons, de jeunes chenilles, de larves de papillons et d'insectes divers et variés. Finalement, ils font cause commune avec les coccinelles, contre les fourmis qui, elles, protègent les pucerons.
Huile végétale
Les pince-oreilles raffolent de l'huile végétale. L'astuce de grand-mère est donc de faire un piège avec de l'huile. - Récupérez une petite boîte dont le rebord n'est pas très haut. Par exemple, une boîte de sardines, une boîte de thon, le couvercle d'un pot, un pot de yaourt peuvent faire l'affaire.
Le hic, c'est qu'ils sont aussi omnivores: quand il n'y a rien à faire décomposer et aucun insecte à manger, ils mangent les plantes de jardin, notamment les fleurs de dahlia, de rosier, de clématite, de zinnia, de rudbeckie et de tournesol, les feuilles de laitue, de betterave et de céleri et aussi les semis, ...
En dépit de leur aspect redoutable et de leur mauvaise réputation, les perce-oreilles (ou forficules) sont inoffensifs pour les humains. En fait, ils sont souvent bénéfiques, car ils se nourrissent de matière en décomposition et de larves d'insectes, d'œufs de limaces, de pucerons et d'autres ravageurs des jardins.
C'est excessivement rare mais c'est arrivé suffisamment souvent pour que les paysans d'autrefois aient remarqué ce phénomène et aient contribué à donner ce nom-là. Comme ils sont capables de rentrer dans tous types de fente, dont celle formée par notre oreille, ça peut arriver.
Le pince-oreille, ou encore perce-oreille ou forficule, est un insecte de l'ordre des Dermaptères. Une vingtaine d'espèces sont répertoriées en France, et la plus répandue d'entre elles est Forficula auricularia.
Dans une casserole, versez 50 cl de lait, 100 g de sucre roux et 50 g de poivre moulu. Faites frémir le mélange pendant une dizaine de minutes puis versez-le dans votre piège. Attirées par l'odeur, les mouches viendront s'y noyer.
Plusieurs symptômes font suspecter la présence d'un corps étranger dans l'oreille : douleur, écoulement ou saignement d'oreille, démangeaisons, baisse d'audition, mais aussi bourdonnements lorsqu'il s'agit d'insectes.
Un patient qui a un insecte vivant dans l'oreille nécessite une attention rapide. L'intrus devrait être tué ou immobilisé avant de tenter de le retirer de l'oreille. Pour ce faire, le médecin peut verser de l'huile minérale, de la povidone iodée ou de la lidocaïne à 2% dans le conduit auditif externe.
Le dioxyde de carbone conduit le moustique femelle à commencer à chercher un hôte, en faisant des allers-retours pour suivre ce gradient de concentration jusqu'à la source. En d'autres termes, les moustiques bourdonnent autour de nos têtes, car c'est là que nous expulsons le plus de dioxyde de carbone.
Les mouches tentent de récupérer les sels minéraux présents sur notre peau et dans notre sueur. L'un d'entre eux est très prisé : le sodium, qui est présent sur notre peau et dans nos larmes, c'est pourquoi on se retrouve parfois avec une mouche au coin de l'oeil.
"Il permet de nettoyer les oreilles en captant les peaux mortes, mais également de lubrifier le conduit auditif. Enfin, le cérumen peut avoir un rôle de protection mécanique en bloquant des petites bestioles qui pourraient s'infiltrer dans les oreilles."
Le cérumen contient des bactéries qui produisent des acides gras volatiles, des éléments qui émanent également de la viande. « Il est donc possible qu'un cafard entre dans l'oreille attiré par ces acides gras et finisse bloqué, » suggère Schal.
Oreilles engourdies ou fourmillement dans l'oreille
La sensation de fourmillement dans les oreilles, également appelée paresthésie, est le plus souvent due à un engourdissement du conduit auditif.
Les mouches et les moustiques détestent l'odeur des huiles essentielles de citronnelle, de géranium rosat, de basilic, d'eucalyptus et de menthe poivrée. Disposez-en sur des morceaux de tissus ou dans des petites coupelles à placer près de vos portes et fenêtres. Les insectes n'oseront plus entrer chez vous !
Qu'est-ce qui les attire ? Tout simplement le contenu de vos plats ! En effet, ces petites bêtes volantes raffolent des mets sucrés, la viande, ainsi que des matières organiques en décomposition, comme les fruits mous et pourris.
Les moustiques ainsi que les mouches aiment beaucoup les couleurs sombres comme le bleu foncé. Ces insectes sont également attirés par le noir et le marron.