On peut voir de temps en temps des petits trous par lesquels sortent des poils, parfois en touffes. Le kyste pilonidal ne donne souvent aucun symptôme mais il peut s'infecter et donner un abcès très douloureux. L'infection est souvent causée par la transpiration et la friction constante de la peau sur les vêtements.
Or si le kyste pilonidal est le plus souvent bénin, il ne guérit pas tout seul. Il doit être tôt ou tard opéré...et sa pudeur mise de côté. Tôt ou tard, car mieux vaut éviter d'enlever un kyste infecté en urgence.
Le kyste pilonidal est une pathologie bénigne et fréquente. Bien que le taux de récidive soit faible suite à une opération chirurgicale, soit 5 % des cas, une surveillance régulière permet d'y remédier. Si toutefois des signes d'infection se manifestent, il convient de contacter rapidement un médecin.
Symptômes. "Le plus souvent, le kyste pilonidal ne provoque aucun symptôme" signale le Dr Favreau-Weltzer : seule la présence de petites fossettes au niveau de la raie des fesses peuvent signaler sa présence.
Par ailleurs, le fait de présenter un kyste sur un organe augmente le risque de développer un cancer au niveau de ce même organe. En effet, quoique bénins, les kystes peuvent être le siège de départ de certaines tumeurs malignes, notamment les kystes du pancréas ou de l'ovaire, bien que cela reste rare.
Dans l'immense majorité des cas, le kyste n'est pas dangereux et son préjudice est purement esthétique. Cependant, il est normal de s'inquiéter lorsqu'une bosse ou un renflement apparaît de manière inexpliquée sur la peau, dans les seins ou ailleurs sur le corps.
Le kyste pilonidal peut passer inaperçu pendant des années, sans faire souffrir le patient puis peut s'infecter du jour au lendemain et former un abcès. Bien souvent, un traitement chirurgical complet est nécessaire afin d'éliminer définitivement le kyste.
Plusieurs facteurs peuvent être à l'origine de la formation d'un kyste. Anomalie héréditaire (exemple : polykystose rénale), infection, tumeur, inflammation chronique ou encore usure du tissu corporel sont à titre d'exemple des causes probables récurrentes.
Malheureusement, il n'existe pas de traitement naturel ou de traitement sans opération pour le kyste pilonidal. Il est nécessaire de passer par un traitement médicamenteux pour calmer l'éventuelle douleur insupportable.
Le kyste (aussi appelé sinus) pilonidal (en rapport avec des poils) est une cavité qui se forme sous la peau. Elle est secondaire à l'accumulation de poils ayant pénétré dans le derme le plus souvent par une petite fossette présente chez certains individus au niveau du sillon interfessier.
Des petites bosses lisses de la couleur de la peau ou « jaunes-blancs » apparaissant sur le visage, sur le cou, sur le tronc, sur le dos, sur les membres et parfois dans la région génitale. Elles peuvent atteindre la taille d'une balle de golf. Les kystes de la peau sont habituellement sans douleur.
Le kyste sacro-coccygien ou kyste pilonidal (ou encore maladie pilonidale) correspond à une infection aiguë ou chronique qui survient le plus souvent dans la région sacro-coccygienne (au sommet du pli des fesses). C'est une maladie acquise (qui apparaît au cours de la vie) qui atteint 1% des hommes et 0.1% des femmes.
Faut-il percer un bouton kyste ? Il est plus que tentant de percer un bouton kyste lorsqu'il fait son apparition, mais c'est en général déconseillé ! En effet, en perçant votre kyste sébacé, vous risquez surtout de l'infecter, de l'étendre davantage et d'en garder des cicatrices.
Le kyste sébacé peut se résorber spontanément. Mais souvent la personne qui présente un kyste sébacé est tentée de le percer. “Dans ce cas, il faut se désinfecter les mains avant, appliquer de l'alcool sur la zone à percer avant d'appuyer sur le kyste à l'aide de deux compresses stériles.
A la radio, on ne peut pas diagnostiquer le type de kyste : on voit seulement une tache noire appendue à la racine d'une dent. « Toutefois, si la masse est de petite taille, il s'agit plutôt d'un granulome », précise le chirurgien-dentiste. L'abcès dentaire, lui, est une infection locale remplie de pus.
Le traitement est toujours chirurgical. L'intervention la plus pratiquée est l'excision ouverte qui consiste à réaliser l'excision complète du sinus pilonidal et des trajets fistuleux en se limitant strictement aux tissus malades. La plaie est ensuite laissée en cicatrisation dirigée.
Les kystes fonctionnels
Dans la grande majorité des cas, ils régressent naturellement en 2 à 3 mois et sont toujours bénins.
Ils sont douloureux et ont tendance à retarder les règles. Pendant celles-ci, ils régressent mais peuvent récidiver lors des cycles suivants. Certains kystes ovariens dits organiques sont permanents et ne disparaissent pas avec une contraception orale.
Douchez la région opérée 4 à 6 fois par jour à l'eau tiède (sans savon) pendant 10 minutes. Les douches font partie intégrante du traitement et doivent être effectuées avec soin.
Imperceptible ou infecté, le kyste pilonidal reste une affection relativement fréquente et totalement bénigne. Votre médecin généraliste pourra en faire le diagnostic assez facilement et vous conseillera sur le parcours de soins à suivre en fonction de son l'évolution.
Si beaucoup de pus est collecté, une incision sous anesthésie locale ou son aspiration à l'aide d'une seringue peut s'avérer nécessaire. En revanche, les kystes devenus trop gros, douloureux ou soumis à des frottements réguliers doivent être éradiqués.
Les symptômes caractéristiques du cancer de l'ovaire
Les troubles gynécologiques : perturbation des règles, saignements ou pertes vaginales anormales, tensions dans les seins... ; Les perturbations locales liées à la masse tumorale : les douleurs pelviennes, abdominales, les lombalgies, les envies urgentes d'uriner...
Quels sont les signes d'alerte ? Parfois les femmes ayant un kyste ovarien ont des douleurs dans le bas-ventre. Vous pourrez aussi ressentir une simple gêne ou une pesanteur. Des saignements peuvent survenir entre les règles.
Les principaux symptômes du cancer de l'ovaire
Gonflement abdominal. Douleurs abdominales ou pelviennes. Difficulté à manger ou se sentir rassasié rapidement en mangeant. Sentiment constant de besoin d'uriner.