L'infection urinaire se produisant régulièrement après une relation sexuelle est liée à des microbes naturellement présents au niveau de la peau située entre l'urètre et l'anus. Et ces bactéries remontent parfois dans l'urètre jusqu'à la vessie, peut-être parce qu'elles vont vers la chaleur humide.
De manière générale, en prévention des cystites récidivantes après les rapports sexuels, il est conseillé de : boire beaucoup d'eau, d'uriner tout au long de la journée et pas juste le matin et le soir, d'uriner après les rapports sexuels.
Boire beaucoup d'eau est le premier réflexe à adopter pour éviter les infections urinaires à répétition. En effet, cela permet tout simplement d'aller plus souvent aux toilettes et d'éviter la stagnation de l'urine dans la vessie, ce qui peut favoriser la colonisation et la multiplication des bactéries.
Les cystites à répétition peuvent avoir différentes significations. Cela peut être dû au fait de se retenir souvent d'aller uriner, de mal s'essuyer, de ne pas s'hydrater assez ou encore d'être constipé. Des anomalies anatomiques des voies urinaires peuvent également expliquer ce phénomène.
L'infusion de thym, par exemple, est populaire pour son caractère antibactérien. Infusez quelques branches de thym dans de l'eau frémissante pendant une dizaine de minutes, puis filtrez tout ça pour ensuite boire votre nouvelle concoction.
Les irritations après un rapport sont généralement bénignes et sont souvent dues à une sécheresse vaginale, mais peuvent parfois être le signe d'une vaginite (inflammation causée par la présence d'une bactérie ou d'un champignon), d'une IST ou d'une intolérance à un produit chimique (lubrifiant, préservatif, spermicide ...
L'infection urinaire se produisant régulièrement après une relation sexuelle est liée à des microbes naturellement présents au niveau de la peau située entre l'urètre et l'anus. Et ces bactéries remontent parfois dans l'urètre jusqu'à la vessie, peut-être parce qu'elles vont vers la chaleur humide.
En cas de douleurs pendant un rapport sexuel chez la femme, le terme de vaginisme est parfois employé. Certains spécialistes considèrent le vaginisme comme un type particulier de dyspareunie. Il se traduit par une contraction involontaire de la musculature du périnée, ce qui empêche toute intromission.
vaginite ou vulvo-vaginite (infection par candida, trichomonas, gonocoque, etc.) vulvodynie, qui correspond à un inconfort vulvaire à type de brûlures apparaissant en l'absence d'affection vulvaire. absence de lubrification vaginale. rétrécissement de l'entrée du vagin.
Ils peuvent être cutanés, respiratoires ou cardiovasculaires : cela peut se traduire au début par des brûlures et des démangeaisons vulvaires ou vaginales.
En dehors de la ménopause, différentes causes médicales sont à l'origine d'une diminution de la lubrification. Tout comme pour les problèmes d'érection chez l'homme, les traitements contre l'hypertension, le diabète, la maladie coronaire… influeraient sur la lubrification.
Si tu veux vraiment te nettoyer, avec plus que du simple papier-toilette, tu peux utiliser une lingette que tu auras trempée avec de l'eau chaude et du vinaigre (environ une cuillère à café de vinaigre avec un peu d'eau).
Une infection urinaire de la vessie (cystite) guérit en quelques jours grâce au traitement. En cas de cystite, les symptômes peuvent persister deux à trois jours après le début du traitement, notamment en cas de traitement monodose, puis disparaissent.
Plus encore, l'alcool car il irrite la vessie ! On parlera plutôt de boissons à privilégier comme une eau riche en bicarbonates voire additionnée de pur jus de citron pour alcaliniser le pH des urines. Le citron aura une vertu antibactérienne non négligeable même si la quantité utilisée est faible.
L'eau minérale de la marque Hépar
Il est primordial de boire au minimum 1,5 litre d'eau par jour, surtout si vous êtes particulièrement sensible aux cystites. L'Hépar est généralement recommandée car il s'agit d'une eau composée de minéraux qui réduit les risques de constipation.
La fosfomycine (Monuril°) en traitement rapide unidose est un des antibiotiques les plus souvent utilisés en premier recours contre l'infection urinaire. Il est également possible de recevoir de la pivmécillinam (Selexid°), qu'il faut prendre pendant au moins 5 jours.
Les risques de complication de l'infection urinaire
Lorsqu'une infection urinaire n'est pas traitée à temps ou avec un antibiotique non adapté, les bactéries résistantes peuvent remonter de la vessie vers les reins. La pyélonéphrite est la plus grave des affections touchant le système urinaire.
Quand faut-il consulter un médecin ? Dès l'apparition des symptômes, notamment une brûlure lorsque vous urinez, vous devriez consulter un médecin. Si vos symptômes ne s'améliorent pas en 72h ou si vos symptômes réapparaissent après le traitement, il est recommandé de consulter à nouveau.
Pour soigner la cystite, buvez des tisanes, des jus de fruits, surtout du jus de canneberge, des bouillons, de tout. Plus vous urinez, plus vous éliminez les bactéries responsables de l'infection urinaire. Même lorsque vos symptômes s'estompent, il est important de continuer à boire suffisamment.
Ce qui est certain, c'est que le stress affaiblit les défenses immunitaires et rend le corps plus vulnérable aux infections. Dans tous les cas, il est important de consulter rapidement un médecin en cas d'infection urinaire, profitez en pour lui en parler.
La fosfomycine (Monuril°) en traitement rapide unidose est un des antibiotiques les plus souvent utilisés en premier recours contre l'infection urinaire. Il est également possible de recevoir de la pivmécillinam (Selexid°), qu'il faut prendre pendant au moins 5 jours.
La cystite chez la femme peut se déclencher suite à des rapports sexuels, et notamment l'utilisation de spermicide. Ne pas aller uriner après un rapport est souvent un déclencheur des IVU. Le fait de mal s'essuyer, en commençant par l'arrière vers l'avant, ramène les germes vers la sortie de l'urètre.