Pour répondre à la question posée, le fait de bâiller souvent n'est pas pathologique, il y a des grands et des petits bâilleurs, mais il existe quand même des maladies neurologiques ou des tumeurs du tronc cérébral qui peuvent augmenter la fréquence des bâillements.
"Quand le bâillement devient excessif et se répète à l'envi, il peut signaler une dette de sommeil, voire un syndrome d'apnée du sommeil", indique le spécialiste. "Le bâillement peut aussi accompagner une migraine, un AVC, une hypertension intracrânienne, parfois une tumeur au cerveau.
Parfois, nous la justifions par une suite de variations de la pression atmosphérique, un sommeil insuffisant et, dans la plupart des cas, par trop de travail et de stress.
Souvent associé à la fatigue ou à l'ennui, le bâillement aiderait surtout à retrouver son calme et sa vigilance avant et après un effort ou un stress. S'il se déclenche spontanément, il peut aussi être provoqué volontairement pour se détendre.
Le bâillement est bénéfique pour notre corps. Il nous permet de prendre une grande bouffée d'air ou d'oxygène et comme on dit, de recharger les batteries. Bâiller n'est pas simplement un réflexe de la bouche, c'est aussi un mouvement qui étire nos muscles de la tête et même davantage.
On a longtemps cru qu'on bâillait pour alimenter notre cerveau en oxygène. Logiquement, si une personne manque d'oxygène dans une pièce, les autres personnes présentes dans la même pièce vont elles aussi manquer d'oxygène. Résultat : tout le monde bâille pour compenser !
État de fatigue, d'abattement accompagné généralement de tristesse, d'angoisse et parfois de troubles physiques tels que fatigue, insomnie, douleurs plus ou moins localisées et diffuses. Synon. vx langueur. Crise de neurasthénie; faire de la neurasthénie; être atteint de neurasthénie.
Retenir ses bâillements
Et pour une meilleure oxygénation, respirez profondément deux ou trois fois (en laissant un peu d'espace entre chaque inspiration), le tout, en levant les bras et en expulsant l'air progressivement.
La spasmophilie est une trop grande sensibilité émotionnelle qui se manifeste par une crise subite, regroupant un ensemble de symptômes (vertiges, contracture des doigts, par exemple) qui inquiètent celle ou celui qui en est victime. Pour les psychiatres, la spasmophilie est une manifestation des troubles anxieux.
L'hypersomnie idiopathique
Elle est caractérisée par une somnolence diurne excessive constante entrecoupée de siestes peu reposantes et accompagnée d'un sommeil nocturne de durée normale ou accrue mais non reposant.
Concrètement, tout se passe dans le cerveau. Physiologiquement, ce sont les neurones miroirs - ces neurones qui permettent de se voir agir à la place de l'autre, comme dans un miroir - qui entrent en jeu lorsque le bâillement d'un inconnu vous fait vous aussi bâiller. C'est le principe de l'empathie.
On sait aussi que la faim déclenche des baillements, tout comme les repas repas trop copieux ou alcoolisés. Plus la ration calorique est élevée au cours d'un repas, et plus on a envie de bailler ensuite. Le baillement est lié à la régulation des rythmes de veille, de sommeil et d'alimentation.
Les causes sont diverses. Sur le plan somatique, l'insomnie peut s'expliquer en cas de douleurs, du fait de divers symptômes associés à des maladies chroniques comme l'asthme ou l'insuffisance cardiaque par exemple, ou encore de perturbations du cycle circadien pour les maladies d'Alzheimer ou de Parkinson.
Les girafes ne bâillent jamais.
S'étirer au réveil est un moyen tout simple et absolument instinctif, de chasser les contractures, d'apaiser son mental, et de mettre son corps et son cerveau en position «ON». C'est facile, agréable, utile, et ça permet de démarrer la journée du bon pied !
1 / 10 Le bâillement, c'est quoi ? Le bâillement est un phénomène physiologique qui se produit plusieurs fois dans la journée : on ouvre la bouche, on inspire une grande quantité d'air, on expire rapidement ensuite. Vient ensuite une sensation de bien-être.
Inspirer par le nez puis expirer par la bouche
Les bâillements seraient en partie dus à un manque d'oxygène dans le cerveau, et inspirer par le nez puis expirer par la bouche est la technique la plus efficace pour le réoxygéner, ce petit sacripant.
Les bâillements contagieux seraient ainsi un signe d'empathie profonde entre deux personnes, causés par le besoin de partager et de comprendre les émotions de l'autre. Les scientifiques expliquent que ces bâillements en série renforceraient ainsi le lien social en créant «un pont émotionnel».
sentiment de bonheur et de plaisir très intense ou, au contraire, d'irritabilité excessive; hyperactivité, agitation et énergie débordantes; estime de soi démesurée ou idées de grandeur.
La lypémanie, que Esquirol voulait distinguer de tous ces usages allégoriques et qui signifie en grec "éprouver du chagrin et de l'anxiété", décrit, elle, précisément, une passion triste pouvant se définir par un état dépressif de mélancolie profonde, qui va évoluer en obsession morbide.
La girafe, le seul animal qui ne baille pas
Mais alors pourquoi ? Selon certains scientifiques la raison viendrait du cycle du sommeil particulier de la girafe et du fait que qu'elle dort très peu et en pointillé tout au long de la journée et que le bâillement ne lui serait pas nécessaire.
Contractez les muscles à l'arrière de votre gorge.
Ces muscles se contractent naturellement un peu quand vous bâillez. Les contracter peut stimuler votre corps à former un vrai bâillement. Votre cerveau fera le lien entre la sensation de ces muscles en train de se contracter et le fait de bâiller.
On dit souvent qu'un bon bâilleur en fait bailler sept. Ce qui veut dire que le bâillement serait contagieux entre humains.