Épidémiologie. Il s'agit d'un symptôme parmi d'autres, associé chez l'homme aux affections bénignes de la prostate, à la prostatite aiguë, à une maladie du col vésical ou à une sténose de l'urèthre. Chez la femme, un prolapsus, une sténose du méat, une tumeur pelvienne sont des causes possibles.
Un léger rétrécissement de l'urètre entraîne généralement un jet urinaire moins puissant ou un double jet. Les sténoses sévères peuvent obstruer complètement le flux d'urine.
Le symptôme le plus évocateur du cancer de la vessie est la présence de sang dans les urines ou hématurie, qui peut toutefois être présente dans d'autres maladies. Le cancer est détecté par des analyses d'urine et des examens d'imagerie médicale.
Le principal symptôme de rétention urinaire est une difficulté à uriner. Le jet d'urine est très faible, et vous êtes parfois amené à appuyer sur votre vessie pour évacuer l'urine. Après la miction, la vessie donne l'impression de ne pas être complètement vidée. Les douleurs dans le bas ventre sont fréquentes.
Les infections des voies urinaires sont la cause la plus courante de la fréquence urinaire chez les femmes et les enfants. Un diabète sucré non contrôlé est la cause la plus fréquente de la polyurie. L'hyperplasie bénigne de la prostate est une cause fréquente chez les hommes de plus de 50 ans.
La polyurie se caractérise par des urines anormalement abondantes. Ce symptôme peut être le signe d'un diabète et doit faire l'objet d'une prise en charge médicale.
En temps normal, les intervalles entre deux mictions sont supérieurs à deux heures. Si on urine fréquemment avec des intervalles plus courts, cela est considéré comme pathologique", explique le docteur Ala Chebbi, urologue qui précise que "la pollakiurie est fréquente chez les femmes".
Ne pas pousser : la vidange de la vessie doit se faire en douceur pour ne pas abîmer le périnée ; Vider complètement la vessie : lorsqu'une vessie ne se vide pas complètement, les germes présents dans la région peuvent proliférer et entraîner une infection urinaire.
La consommation de bière, et d'alcool en règle générale, diminue la libération d'ADH, l'hormone qui permet de conserver plus longtemps les liquides dans le corps afin que certaines de leurs substances bénéfiques pour l'organisme se libèrent, explique Gentside.
Plus encore, l'alcool car il irrite la vessie ! On parlera plutôt de boissons à privilégier comme une eau riche en bicarbonates voire additionnée de pur jus de citron pour alcaliniser le pH des urines. Le citron aura une vertu antibactérienne non négligeable même si la quantité utilisée est faible.
Se lever plus de deux fois la nuit pour aller uriner, est considéré comme un peu excessif. En effet, à partir de plus de 2 réveils on parle de nycturie. Cela peut révéler un mode de vie non adéquat, voire un problème médical.
Il s'agit d'une descente de la vessie dans le vagin, la paroi du vagin s'étire pour laisser la place à la vessie. Les principaux symptômes sont : impression de masse ou de pression dans le vagin, sensation d'irritation dans le vagin, impression de ne pas bien vider sa vessie.
Normalement uriner est facile, il suffit de laisser votre vessie se détendre et l'urine s'évacue facilement et rapidement. En cas de dysurie, l'urine ne sort plus aussi facilement. L'acte d'uriner (la miction) devient dysfonctionnel, d'où le nom de dysurie.
La sténose de l'urètre est une pathologie qui touche près de 0,5 % des hommes. Les causes sont multiples : traumatisme du périné, interventions chirurgicales endoscopiques, sondage traumatique, lichen scléroatrophique, séquelle d'hypospade, mais dans plus de la moitié des cas aucune cause n'est retrouvée.
Durant le sommeil, notre cerveau secrète une hormone anti-diurétique qui ralentit le travail des reins afin que nous ne soyons pas réveillés pendant la nuit par une envie d'uriner. Mais boire trop d'eau avant le coucher (même 2 à 3 verres), perturbe ou annule cette fonction.
Le stress et l'anxiété en cause
Elles présentent en premier lieu un besoin trop fréquent d'uriner. Ces personnes ressentent la moindre tension de la vessie et dès qu'elle se remplit, la tension devient insupportable. Elles perçoivent cela comme un besoin pressant d'uriner alors que la vessie n'est pas pleine.
Non seulement ce la ne permet pas de maigrir, de prévenir les problèmes rénaux ou d'améliorer la concentration, mais cela peut provoquer l'inverse. Boire trop d'eau ne coupe pas l'appétit, peut entraîner des dommages aux reins et altérer la concentration, rapporte le Daily Mail ce mardi.
Épidémiologie. Il s'agit d'un symptôme parmi d'autres, associé chez l'homme aux affections bénignes de la prostate, à la prostatite aiguë, à une maladie du col vésical ou à une sténose de l'urèthre. Chez la femme, un prolapsus, une sténose du méat, une tumeur pelvienne sont des causes possibles.
S'il existe une obstruction (par exemple des calculs rénaux), l'urine ne peut pas s'écouler librement par la voie urinaire. Les causes non obstructives comprennent un affaiblissement du muscle de la vessie et des problèmes nerveux qui nuisent aux signaux entre le cerveau et la vessie.
Pour cela, placez votre index de la main qui ne vous sert pas lorsque vous uriner, en arrière des bourses, entre le scrotum et l'anus et chercher la vibration du jet qui s'écoule sous votre doigt. Pressez et vous pourrez presque stopper le jet d'urine.
Tout le monde émet autant d'urine que ce que l'on boit. C'est la stabilité de la composition du corps. On a une quantité d'urine qui est exactement dépendante du fait d'avoir une quantité d'eau fixe dans l'organisme. Il est impossible d'uriner plus que ce que l'on boit."
Pour les éliminer, optez pour une eau type Contrex, Vittel, Volvic ou Perrier, dont la composition minérale favorise le drainage et la diurèse.
Après 18 heures, il est préférable de réduire autant que possible sa consommation d'eau et autres liquides. L'absorption de boissons irritantes pour la vessie, comme l'alcool, le café et les sodas, est déconseillée plusieurs heures avant le coucher. Les tisanes, fortement diurétiques, sont également à éviter le soir.