Généralement, ces symptômes se déclarent au début des vacances, ou même du week-end, comme une manière pour le corps de se relâcher. Et ce phénomène a même été nommé par un psychologue néerlandais comme le "leisure sickness", explique le journal. Ce phénomène désigne le trop-plein de stress enduré par l'organisme.
Bien qu'elle soit plus rare que la dépression saisonnière d'hiver, la dépression estivale s'explique entre autres par un dérèglement de notre horaire habituel, un état léthargique causé par la chaleur, et une difficulté à dormir en raison d'une surexposition au soleil.
Alors pourquoi a t-on le stress des vacances? Pour différentes raisons. Car elles renvoient très souvent à des souvenirs d'enfance liés à la séparation d'avec les parents. Vacances pas toujours bien préparées ou anticipées, ce temps de rupture peut devenir très inquiétant.
Les vacances représentent souvent une zone de fragilité” explique le psychothérapeute Benjamin Lubszynski à Pourquoi Docteur. Et la lourde pression sociale autour du fait de se sentir bien en vacances - et notamment lors des vacances d'été - n'arrange rien au coup de mou émotionnel qui peut nous envahir.
On n'en sait pas encore grand-chose sur le cafard. Comme le phénomène n'est pas reconnu comme trouble mental, il n'a pas encore été très étudié. Il s'agit d'une réaction naturelle à l'abandon de son environnement familier, où la distance ne joue même pas de rôle. C'est le changement qui perturbe la personne concernée.
Celles de menthe poivrée et de citronnelle constituent de puissants répulsifs à cafard.
Excès de stress : Un sentiment de mal-être peut également survenir lorsque vous faites face à un problème spécifique dans votre vie qui vous stresse plus que vous ne le pensez. Dans ces cas, le fait de subir des niveaux élevés de stress peut entraîner une dérégulation émotionnelle ainsi que des sautes d'humeur.
Cette fatigue chronique est parfois accentuée par des facteurs connexes : l'angoisse de la reprise, une charge de travail intensifiée, la volonté de tout traiter rapidement. Or, physiologiquement le corps et le cerveau n'ont plus l'habitude de ce stress puisqu'il y a, pendant les congés, une mise au repos générale.
Il s'active, vous faisant transpirer, et ça, ça lui fait consommer un paquet d'énergie, Première source de fatigue. Surtout la sensation d'être K.O, quand vous revenez de la plage, elle vient d'une hormone bien précise la mélatonine. La mélatonine, l'hormone du sommeil, c'est celle qui régule notre horloge biologique.
Si l'on dit que l'on n'aime pas les vacances, malgré leur variété, c'est qu'il y a une raison derrière. Cela peut être du à une phobie sociale, par exemple. La personne craint alors de croiser des gens qu'elle ne connait pas et ne veut pas se sentir mal à l'aise à leur contact", explique le spécialiste.
Un petit oubli, un imprévu, un vol retardé, la perte de vos bagages, un enfant malade, un accident, une arnaque, voilà autant de raisons qui peuvent déclencher l'angoisse et venir perturber votre sérénité. Pourtant, avec des mesures simples, il est possible de gérer son stress en voyage !
Pratiquez des activités physiques
En vacances, c'est le moment idéal pour faire de l'exercice physique : natation, surf, vélo, balades, randonnées… Le sport est un excellent remède anti-stress car il permet de diminuer les tensions. Grâce au sport, des hormones appelée endorphines seront libérées par le cerveau.
Causes du trouble de dépersonnalisation/déréalisation
Le trouble de dépersonnalisation/déréalisation apparaît souvent chez des personnes qui ont connu un stress sévère, notamment : Maltraitance affective ou négligence au cours de l'enfance. Maltraitance physique. Vivre ou être témoin de violences domestiques.
La saturation de notre pensée et de notre corps par l'anxiété dérègle nos perceptions et provoque une rupture. Un traumatisme, une exposition prolongée à un stress excessif ou encore une dépression peuvent être les déclencheurs de ces phénomènes. Nos sens nous trahissent, ils ne sont plus fiables.
Le relâchement, porte ouverte aux maladies
Mais au moment où nous sommes censés décompresser, le cerveau se détend et le système immunitaire ralentit. Nous voilà alors plus fragiles et incapables de résister au moindre microbe ou virus.
Vous souffrez sûrement de la “maladie des loisirs” ou “leisure sickness" en anglais. Celle-ci se développerait à cause d'un déséquilibre biochimique : la baisse soudaine de noradrénaline, un neurotransmetteur qui booste le système immunitaire.
Dans la majorité des cas, c'est le stress qui est responsable d'un mauvais sommeil. Si la difficulté à s'endormir persiste, les causes peuvent être multiples telles qu'un trouble d'origine mentale ou psychologique (une dépression par exemple) ou une maladie chronique.
Le relâchement cutané du corps est l'un des principaux signes du vieillissement de la peau. Cette distension inesthétique survient avec le temps. Un mauvais mode de vie peut également l'accentuer. Le relâchement corporel se caractérise par une affectation de l'aspect et de la structure de la peau.
La fatigue résulte : d'un manque de sommeil (couchers tardifs par exemple), d'insomnies à répétition avec d'éventuels épisodes de somnolence dans la journée ; ou d'un sommeil irrégulier en raison de décalages horaires répétés ou de réveils nocturnes d'un enfant.
Être pris d'un coup de fatigue en rentrant d'une journée de farniente à la plage n'a rien d'étonnant. Si votre corps est aussi fatigué, c'est entre autres parce qu'une exposition prolongée au soleil bloque votre sécrétion de mélatonine qui repart à plein régime dès votre retour à l'ombre.
Une souffrance inconsciente qui grandit au quotidien
Le mal-être se traduit dans tous les cas par une souffrance qui peut être : Émotionnelle / Morale : anxiété, déprime, abattement, manque d'estime de soi, susceptibilité, agressivité…
une perte d'appétit ; un sentiment de grande tristesse sans raison apparente et la volonté de rester seule, de se replier sur soi-même ; l'impression d'avoir perdu le contrôle et de ne pas pouvoir prendre de décisions ; des modifications des relations familiales.
Si vous écrasez une blatte, vous risquez de disperser des œufs, et ainsi être envahi de petits cafards qui grandiront à leur tour et se reproduiront par la suite. En écrasant un cafard, il va sécréter des phéromones d'agrégation qui attireront d'autres cafards et ainsi provoquer une invasion.