Interrogée par: Arnaude Bernier | Dernière mise à
jour: 6. Oktober 2022 Notation: 4.5 sur 5
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La dysmorphophobie
dysmorphophobie
La dysmorphophobie, dysmorphobie ou trouble dysmorphique corporel (TDC) (BDD, Body dysmorphia disorder en anglais) est un trouble mental caractérisé par une idée obsessive qu'une partie de son corps, voire son corps au complet, est rempli de défauts.
est un trouble de l'image de soi où la personne qui en souffre, a une vision déformée de son corps et/ou de son visage. Elle va avoir des préoccupations obsédantes par rapport à un aspect de son physique perçu comme un défaut.
La première étape consiste donc à reprendre confiance en soi et à mettre fin à cette focalisation corporelle. Car plus on porte notre attention sur ces «défauts», plus on les accentue.
On perd confiance en soi. Les complexes se créent lorsqu'on focalise des pensées sur une partie de son corps et qu'on la juge disgracieuse. Ce mal-être peut aussi donner lieu à l'obésité ou des comportements addictifs comme des troubles alimentaires.
Il peut s'agir d'une déprime ou bien d'une dépression. La première est un mal-être passager ; la seconde est une maladie qui nécessite une prise en charge médicale et psychothérapeutique.
J'ai perdu du poids mais je n'accepte pas mon corps
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Pourquoi je me déteste ?
Un sentiment de haine de soi peut également être le résultat d'un problème de santé mentale comme la dépression ou l'anxiété. La dépression, par exemple, peut provoquer des symptômes tels que le désespoir, la culpabilité et la honte, qui peuvent vous donner l'impression que vous n'êtes pas assez bien.
Ont une peur exagérée de se tromper. Pensent qu'elles sont incapables, qu'elles ne savent rien. N'ont pas conscience de leur talent. Ont peur de la nouveauté et évitent de prendre des risques.
La honte est une émotion mixte, à la base un mélange de peur et de colère, que l'on ressent lorsque l'on ne se sent pas suffisamment à la hauteur de ce que les autres attendent de nous. Elle fait partie des émotions les plus destructrices car elle peut anéantir complètement la confiance en soi.
“Accepter son physique“, c'est accepter que le temps passe ou qu'aucune chirurgie ne peut donner de longues jambes... Mais c'est aussi dans un sens positif, lutter contre ses complexes, essayer de se regarder autrement, de voir aussi ses atouts et se reconnaître un pouvoir de séduction.
Prenez l'habitude de mettre l'accent sur les qualités de votre moitié plutôt que sur ses défauts, cela vous aidera à accepter ses mauvais côtés plus facilement. En effet, si vous focalisez sans cesse sur ses défauts, des tensions vont naître et vous ne parviendrez pas à l'accepter tel qu'il est.
À une extrémité se trouve la honte saine, qui permet la socialisation et l'intégration de limites propices à la vie en société. À l'autre extrémité se trouve la honte toxique, qui condamne la personne à vivre avec un sentiment d'infériorité ou d'inadéquation (Zupancic et Kreidler, 1998).
Cependant, si nous creusons un peu le sujet, nous nous rendons compte que la honte implique un manque de respect et de tolérance vis-à-vis de soi-même. En définitive, une faible estime de soi.
Nous éprouvons de la honte quand nous ressentons la douloureuse sensation de ne pas être à la hauteur ou bien d'être imparfait ou indigne. La honte est le contraire de la fierté, mais elle ressemble beaucoup à la culpabilité : ces deux émotions comprennent une estime de soi négative.
Car lorsque l'on est en surpoids et qu'on le vit mal, pratiquer une activité sportive peut véritablement aider à aller mieux. Bouger peut en effet vous aider à sentir votre corps et à vous reconnecter à lui.
Cet état de dépendance à l'égard de l'autre est symptomatique d'un manque de confiance en soi : « Celui qui a été suffisamment soutenu et valorisé par ses parents n'aura pas besoin des autres pour se construire, affirme Maud Lehanne.
Certains humains manifestent du mépris envers cet autre, inconnu ou différent. Ils le dévaluent, discriminent, négligent, voire haïssent. Le sujet stigmatisé peut alors s'identifier à celui qui le rejette en attaquant son moi. C'est la haine de soi.
Pour surmonter la haine de soi, il est important d'en reconnaître les signes et les symptômes, d'en comprendre les causes sous-jacentes et les éléments déclencheurs, de prendre conscience des effets puissants qu'elle a sur votre vie et, enfin, d'élaborer un plan pour surmonter cette haine de soi et développer des ...
Considérée comme particulièrement toxique sur le plan psychique, la culpabilité chronique participe en effet à une détérioration progressive de l'humeur, à une fragilisation narcissique et à l'épuisement des ressources nerveuses.