"Le non désir d'enfant prend ses racines au fin fond de l'inconscient et ne peut faire l'objet de généralités", répond la psychanalyste Catherine Vanier. "Il peut trouver sa source dans la façon dont les relations avec le père ou la mère ont été vécues, dans une histoire familiale.
Qu'on les appelle Childfree ou S'envol (Sans enfant volontaires), ils sont de plus en plus nombreux à être sûrs et certains de ne jamais enfanter. Aujourd'hui, en Occident, une femme sur 5 mourra sans avoir eu d'enfant. Ceux pour qui c'est un choix nous expliquent pourquoi. Pourquoi ne souhaites-tu pas d'enfant ?
ANDROPHOBIE : Définition de ANDROPHOBIE.
Certaines femmes ne conçoivent pas l'idée d'être mère un jour, par peur de recréer un schéma familial qu'elles ont déjà vu ou vécu. Des parents absents, insouciants ou violents… La peur d'échouer dans l'éducation d'un enfant peut être un facteur important dans la décision de ne pas en avoir.
Selon une étude de l'Ined, 5% des femmes et des hommes en France ne veulent pas d'enfant. Leurs raisons sont multiples : indépendance, éthique, ambition, absence de désir de maternité… Certains couples font aussi le choix de ne pas avoir d'enfant. Cette décision est souvent mal perçue par leur entourage.
Il n'existe pas d'âge ni de moment idéal pour avoir un enfant, mais devenir parent ne s'improvise pas. Entre hésitation et excitation, une foule d'interrogations peuvent voir le jour.
Transmettre des valeurs et une histoire
Plus nombreux, 69% des Français affirment pour leur part faire des enfants par devoir et par désir de transmission. « Faire un enfant, c'est laisser son empreinte sur Terre. Cela permet de faire perdurer sa famille et de transmettre son histoire », confie Arnaud, 36 ans.
Un épuisement profond, physique et émotionnel, qui n'est pas ou peu soulagé par un repos. Une distanciation progressive avec les enfants. Le parent ressent de moins en moins d'affect pour ses enfants et agit au quotidien comme un automate.
6,3% des hommes et 4,3% des femmes ne souhaitent pas d'enfants. Les raisons sont multiples, mais bien souvent, la première est simplement le fait de ne pas en avoir envie. 8 milliards d'humains sur Terre d'ici novembre 2022.
Puis, c'est au moment de la naissance de leur bébé, dès qu'ils l'aperçoivent et à la seconde même où ils le prennent dans leurs bras, que les parents ressentent de l'amour pour lui. Cependant, il arrive que certaines mères ne ressentent pas d'amour pour leur enfant et le rejette à la naissance.
La psy soutient que mépriser son enfant est acceptable: une relation intense aura toujours un côté négatif, l'amour et la haine sont liées et tous les deux sont des signes d'attachement. "Peu importe à quel point les mères aiment leurs enfants, ça ne peut jamais être à 100% et ça ne devrait d'ailleurs pas l'être.
Mais c'est finalement une situation assez courante, dont on ne parle pas assez. Pris par la fatigue, le stress du boulot, la charge mentale, le manque de temps pour soi, on a vite fait de rentrer dans un cercle vicieux où la relation à notre enfant se dégrade.
Ces jeunes qui refusent d'avoir des enfants, entre acte écologique et angoisse de l'avenir. S'il peut s'expliquer par des raisons environnementales, le choix de ne pas procréer recouvre souvent des considérations diverses.
Mais le désir d'une transmission génétique, d'avoir une descendance, est un fondement de l'évolution biologique. Sans reproduction, toute forme d'évolution est impossible. Maximiser son succès en matière de reproduction, c'est-à-dire produire des jeunes et assurer leur survie, est la raison d'être des organismes.
L'insuffisance ovarienne est une des causes importantes, qui est de plus en plus fréquente. Ensuite, il y a les problèmes de trompes bouchées, la première cause en étant les infections génitales de type Chlamydia non traitées. Enfin, on trouve l'endométriose, qui touche à peu prés 10 % des femmes.
des vertiges, des maux de tête ou des palpitations liées à l'anxiété des tensions musculaires, voire des douleurs dorsales. des troubles alimentaires liés au stress (perte de poids importante, anorexie, boulimie, etc.) des douleurs gastriques (ulcères à l'estomac, troubles digestifs, etc)
Etre au bout du rouleau signifie ne plus avoir de ressources, tant physiquement que psychiquement. Ce n'est pas un état qui s'installe d'un seul coup. Il arrive progressivement, nous fait sentir une fatigue, un stress et un ras-le-bol de plus en plus présents, avant d'arriver au stade où on n'en peut vraiment plus.
Faire un enfant n'est pas un acte égoïste . Un enfant n'est ni un clone , ni une propriété . C'est une personne à part entière. Et sa vie lui appartient.
Encore tabou et peu étudiée, la tocophobie, ou phobie de la grossesse, touche pourtant une à deux femmes sur dix. Les scientifiques commencent peu à peu à s'intéresser à ce phénomène pouvant entraver un désir d'enfant. «La tocophobie recouvre en fait plusieurs craintes intenses, qui peuvent se superposer (...)
Ils se sont particulièrement intéressés aux déclarations de 12.000 parents sur la gestion de leur temps libre et leur état émotionnel général. Il en ressort de manière très claire que les enfants sont sources de joie pour les pères, quand ils procurent du stress aux mères.
Pendant deux jours consécutifs, faites comme si vous poursuiviez la grossesse. Vous pouvez restreindre certaines sorties, surveiller votre alimentation, boire et fumer moins s'il y a lieu, régler le réveil matin aux deux heures et rester réveillé une demi-heure à chaque fois...
L'examen consiste à prélever de la glaire cervicale au cours d'un examen gynécologique réalisé dans les six à douze heures qui suivent un rapport sexuel. L'objectif de cet examen est de s'assurer de : la qualité de la glaire cervicale de la femme, la présence et la mobilité des spermatozoïdes de l'homme dans celle-ci.
Selon le modèle le risque de ne pas parvenir à avoir de grossesse est de 8 % à 30 ans, 15 % à 35 ans, puis 36 % à 40 ans. Le taux de fausse-couche augmente lui aussi sensiblement avec l'âge : il est de 12 à 15% avant 30 ans, il atteint presque 30% entre 40 et 44 ans (3).