En général, il s'agit là de personnalités très réfléchies et casanières. 2) Timidité, anxiété, manque de confiance : Il y a des personnes réservées qui se sentent mal dans les conversations de groupe pour des questions de timidité, d'anxiété ou de manque de confiance.
Comme pour les autres troubles anxieux, les causes de la peur de parler en public sont « multifactorielles » : des participations génétiques, congénitales, éducatives et sociales sont évoquées. Dans certains cas on retrouve des événements traumatisants dans les antécédents, dans la vie familiale ou scolaire.
Arrêtez de préjuger de ce que pensent les autres. Invitez-les à parler d'eux. Développez l'écoute active, par des mouvements de la tête, en reformulant le discours de votre interlocuteur, en rebondissant sur ce qu'il est en train de vous dire plutôt que de penser à votre prochain monologue.
4/ Laissez des silences pour avoir des idées de discussion ou laisser l'autre relancer. Dans une discussion, on a l'impression qu'il faut tout le temps relancer et ne jamais laisser de silence. C'est une erreur : ça fait du bien de temps en temps d'arrêter de parler pendant quelques secondes.
Lorsque tu commences à te dire « Je ne sais pas quoi dire« , c'est le moment de te recentrer sur le moment présent. Comment faire cela ? En pratiquant l'écoute active, c'est-à-dire prêter attention à ce que ton interlocuteur est en train de te raconter.
Démontrez de la curiosité. Une conversation difficile est un échange. Vous ne savez pas ce qui se passe chez l'autre. Vous avez peut-être une idée mais restez curieux, ce sera un avantage pour mieux connecter avec votre interlocuteur et arrivez à votre intention.
Pour toujours avoir quelque chose à dire, c'est important de garder à l'esprit les deux dimensions d'une conversation. Soit vous pouvez parler d'un nouveau sujet avec votre interlocuteur. Soit vous approfondissez un sujet déjà mentionné. La difficulté est de trouver l'équilibre entre ces deux axes.
Assurez-vous de le regarder dans les yeux pendant la conversation. Essayez aussi de hocher de la tête ou d'acquiescer de la tête aux moments appropriés. Vous pouvez aussi lui montrer que vous l'écoutez grâce aux mots que vous utilisez.
La meilleure chose à faire est d'éviter de se focaliser sur soi et se concentrer sur d'autres détails. Effectivement, le souci avec les pensées, c'est qu'on a tendance à chercher des preuves allant dans leur sens. Ce qui amène l'anxieux social à mal interpréter des gestes ou certains commentaires.
Concentrez-vous sur les membres du groupe.
Ne concentrez pas volontairement toute l'attention sur un membre de votre groupe devant les autres, car cette personne pourrait alors être mal à l'aise. Préférez centrer la conversation sur l'autre personne lorsque vous parlez avec elle en tête-à-tête.
Pendant un entretien : Se focaliser sur son rythme et son débit de parole, penser à sa position : Ouvrir le thorax et mettre les épaules en arrière, se tenir droit, respirer lentement. Porter son attention sur le contact avec le sol dans ses chaussures.
Exemple de phrases assertives
Oui, j'ai du temps la semaine prochaine, mais pas assez pour prendre ce projet. Peux-tu m'expliciter ton propos pour que je comprenne vraiment ce que tu essaies de dire ? Je comprends ce que tu veux dire, mais je ne suis pas d'accord.
consciencieuse. Qui remplit ses obligations avec soin.
- Et si on n'aime pas quelque chose, du moins négatif ou plus négatif, on va dire… ? - Oui, on va dire : « je n'aime pas ». Après, on va dire : « je n'aime pas du tout ». Et après, on va dire : « je déteste ». - Et évidemment, on peut aussi utiliser des adjectifs : « c'est minable » ; « c'est horrible »…
Lorsque vous commencez une conversation avec quelqu'un qui vous plait, la façon dont vous dites quelque chose est plus importante que ce que vous dites. Regardez votre interlocuteur dans les yeux et tournez votre corps vers lui, pour lui montrer que vous êtes attentif à ce qu'il dit.
Continuer la discussion
Essayez d'éviter les questions qui se répondent par “oui” ou par “non”, essayez de faire parler votre partenaire de discussion. Au lieu de lui poser une question directe, comme par exemple, concernant son emploi, proposez-lui de le deviner!
Le stress d'avoir à parler, d'avoir à dire quelque chose d'intéressant. Le stress de ne pas parler, et que les autres pensent que nous n'avons rien à dire. Le stress de n'avoir pas parlé, et de se rendre compte après la situation de tout ce qu'on aurait pu dire. C'est ce stress qui nous bloque.