L'alopécie due à un stress physique, comme une perte de poids récente, une chirurgie, une maladie grave avec forte fièvre ou un accouchement (effluvium télogène) n'est généralement pas traitée et tend à se résoudre d'elle-même.
L'alopécie universalis est la forme la plus grave de l'alopécie areata, caractérisée par la perte totale des cheveux et des poils du corps. Elle est rare, ne touchant que 1 % des personnes atteintes de pelade.
Stress, sommeil, cigarette, mauvaise alimentation, sont des facteurs qui peuvent rendre vos poils de barbe secs, ce qui les fragilise et fait qu'ils tombent plus rapidement. Veillez à davantage prendre soin de votre corps et de votre santé pour éviter la fatigue et la déshydratation qui fragilisent vos poils.
L'hydratation L'hydratation représente également un élément clé d'une bonne repousse. Il est important d'hydrater votre peau en amont et en aval d'une épilation, voire quotidiennement. Appliquez de l'huile d'amande douce sur toutes les zones à épiler.
Noix du Brésil, levure de bière, œufs, poisson, etc., certains aliments favorisent la production d'hormones responsables de la pousse des poils.
Après la puberté : Le taux d'hormones androgènes augmente à la puberté, ce qui permet de développer la pilosité commune aux deux sexes (aisselles, pubis).
La phase de croissance est d'ailleurs plus longue pour les cheveux, donnant l'impression qu'ils poussent indéfiniment. Pourtant, celle-ci s'arrête elle aussi, au bout de deux à cinq ans. Une fois cette phase achevée, les cellules nécessaires à la pousse du poil cessent de proliférer dans le bulbe, situé sous la peau.
Glabre signifie « sans poils » (et non « pâle, sans couleur »). Un visage glabre, sans barbe, rasé.
Qu'est-ce que la pelade ? La pelade, ou alopécie areata, est une maladie auto-immune qui provoque la chute des cheveux. Cette perte de cheveux est habituellement localisée et irréversible. La pelade n'est pas une maladie contagieuse.
La trichotillomanie est caractérisée par des arrachages récurrents des cheveux entraînant une perte de cheveux. Les patients qui ont une trichotillomanie tirent ou arrachent de manière répétée leurs cheveux pour des raisons non cosmétiques.
L'hypertrichose est une pathologie différente. C'est une simple augmentation de la quantité de poils n'importe où sur le corps. L'hypertrichose peut être généralisée ou localisée. La pilosité des hommes peut fortement varier et n'est que rarement l'objet d'une évaluation médicale.
Caractérisée par une perte de pilosité, la pelade est une pathologie dermatologique touchant prioritairement le cuir chevelu, mais aussi les zones pileuses. Sans danger pour la santé, elle peut s'avérer cependant gênante.
Les symptômes de la pelade
La pelade se manifeste par la perte massive des cheveux, sous forme de touffes, mais aussi des poils (cils, barbe, etc.) et dans des cas extrêmement rares par une fragilisation des ongles qui deviennent rugueux.
Si elle est rarement grave, la pelade est une maladie qui a un fort retentissement sur la qualité de vie des personnes qui en sont atteintes. Pour cette raison, une prise en charge s'impose rapidement.
La croissance pileuse est régulée par les hormones sexuelles masculines (androgènes, dont la testostérone et la dihydrotestostérone), présentes aussi bien chez les hommes que chez les femmes, mais en quantités différentes. La testostérone stimule la croissance des poils du pubis et des aisselles.
Causes de la perte des poils pubiens
Les maladies génétiques et les changements hormonaux peuvent causer la chute soudaine des poils pubiens. La ménopause est par exemple une période de nombreux changements pour le corps de la femme et la chute de poils pubiens est l'un des symptômes.
C'est parce que ton corps perd des œstrogènes. Ce déséquilibre provoque un changement dans la croissance des poils de la même manière qu'il le fait pour les hommes : cela fait pousser plus de poils sur le menton et les lèvres supérieures des femmes.
Malheureusement, l'épilation et le rasage du pubis peuvent constituer un risque important de micro-blessures, qui de par leur emplacement, peuvent entraîner une infection et/ou transmettre des IST (infections sexuellement transmissibles) comme la chlamydia, la gonorrhée et les infections à papillomavirus (HPV).
Est-ce normal? Bien que rien ne soit « normal » quand il s'agit de menstruations, cette situation est très fréquente. Il n'existe aucune règle qui dicte que le poil des aisselles doit apparaître avant les menstruations, ou l'inverse. Et dans certains cas, certaines femmes ont très peu ou pas de poils sous les bras.
Vous avez l'impression d'avoir les pattes un peu plus velues dès qu'il se met à faire chaud ? C'est pas faux. Scoop : nos poils poussent plus vite quand il fait chaud. Pile poil quand on aimerait précisément qu'ils disparaissent, le combo chaleur + lumière booste un peu leur croissance.
En revanche, l'apparition de poils dans des zones masculines doit motiver une consultation auprès d'un dermatologue, d'un gynécologue ou d'un endocrinologue. Le médecin interroge la personne pour préciser l'ancienneté de l'hirsutisme, l'existence de troubles des règles, la prise de médicaments.
Le bilan hormonal est idéalement pratiqué à J-3, ou entre le 2ème (J-2) et le 4ème (J-4) jour du cycle menstruel (le premier jour du cycle étant le premier jour des règles) en ce qui concerne la FSH, LH, 17 Bêta Oestradiol, Progestérone, Inhibine B.
Chez l'homme
La testostérone est produite en duo par les glandes surrénales et les cellules de Leydig, situées dans les testicules. Elle intervient dans le développement des caractéristiques physiques masculines comme la maturation des organes génitaux, la pilosité et la mue de la voix.