Encore peu documenté, le sex blues serait lié aux hormones. Lors d'un rapport sexuel ou d'un orgasme, le corps libère l'hormone ocytocine, surtout chez les femmes, qui facilite l'attachement et la connexion.
Un véritable lâcher-prise
Pendant l'acte sexuel, notre corps se relâche, notre esprit s'apaise. Autrement dit, on s'allège d'un poids. "Les larmes en sont la démonstration. On pleure parce qu'on dépressurise et pleurer continue de nous libérer" poursuit Laurence Siroit, psychologue et sexologue.
Du grec 'dysphoros' (qui supporte difficilement), la dysphorie correspond à un « état psychique généralement durable, marqué par la présence de sentiments d'insatisfaction, d'ennui, de mal-être diffus, de goût amer de la vie et de dépression », décrit l'Académie nationale de médecine.
Pour la femme, après l'amour, il faut absolument aller uriner. En effet, le rapport sexuel entraîne toujours une petite remontée de microbes dans l'urètre. Une fois présents, ces microbes ont tendance à remonter jusque dans la vessie, pouvant entraîner des infections urinaires récidivantes.
Dans ce cas, Caroline Michel conseille : « Il suffit simplement d'expliquer à l'autre qu'on a besoin d'être encouragée. A priori, s'il nous remercie à chaque fois qu'on se dépasse, on se dépassera les prochaines fois avec plaisir. » C'est une véritable déclaration d'amour, d'où notre pudeur à le lâcher parfois.
Pleurer plus souvent ou sans savoir pourquoi peut évoquer une affection mentale telle qu'une dépression, de l'anxiété, une dépression post-partum ou un trouble bipolaire. Si vous pensez que vos pleurs sont liés à un problème de santé mentale, il est nécessaire de consulter votre médecin généraliste.
Dans tous les cas, la dysphorie post-coïtale peut arriver à chacun d'entre nous. La communication, au moins avec son partenaire, reste la clé de la guérison.
Pénétration en profondeur
L'une des raisons les plus courantes pour lesquelles vous pourriez vous sentir malade après une relation sexuelle est la pénétration qui va bien au-delà de vos limites de confort. Une pénétration trop profonde peut avoir un effet sur les organes pelviens, comme l'utérus et le col de l'utérus.
La dysphorie désigne habituellement une perturbation de l'humeur, accompagnée d'anxiété, de malaises, et même de réactions coléreuses.
L'hypersensibilité peut être aussi en soi une cause à des pleurs très réguliers : plus enclins à exprimer leurs émotions, les hypersensibles communiquent avec les autres de cette manière, et ce n'est pas pour autant une faiblesse.
Définition de pleureur
nom vieilli (Personne) qui pleure facilement. Enfant pleureur. Par extension Air, ton pleureur. ➙ pleurard, ➙ pleurnicheur.
Vous sentez-vous presque tout le temps fatigué, sans énergie ? Manquez-vous de confiance en vous-même, ou vous sentez-vous sans valeur, voire inférieur aux autres ? Vous êtes-vous fait des reproches ou vous êtes-vous senti coupable ? Avez-vous du mal à vous concentrer, ou à prendre des décisions ?
S'il ose vous toucher, mettre une main sur votre genou ou toucher votre taille par exemple, il sent le sexe ! À moins qu'il ne soit quelqu'un de très accessible avec tout le monde, ses petites touches signifient qu'il a envie de vous.
1. Quand il cherche vraiment à vous connaître et s'intéresse à VOUS ! Savoir quelle est votre histoire et tous les détails qui vous définissent, comme votre film préféré, voire même vos friandises favorites, est pour lui de la plus haute importance ! Il vous écoute avec intérêt et passion.
Les signes moteurs
Un ralentissement moteur : tout est plus ralenti, on parle plus lentement, on perd de l'énergie, la fatigue se fait sentir. La concentration est également affectée : prendre une décision devient compliqué, l'imagination s'en ressent.
Qu'est-ce que la dépression souriante ? Une dépression souriante, par définition, est une dépression qui est imperceptible pour votre entourage parce que vous semblez heureux. Toutefois, elle peut être très douloureuse car vous souffrez intérieurement en luttant pour cacher vos symptômes dépressifs.
« Pleurer n'est pas un mal en soi, même dans une dépression car les sentiments sont encore exprimés. A l'inverse, un patient atteint de dépression sèche, sans larmes, rend la communication plus difficile car il n'arrive plus à extérioriser ses sentiments », explique le Dr Lemoine.
Vous pouvez tout à fait pleurer, crier, taper dans un coussin, écrire, sortir courir, trouvez ce qui vous fait du bien pour gérer vos émotions. Et quand la crise est là, prenez une grande inspiration et respirer calmement pour tenter de retrouver le calme", recommande Valérie Sengler.
On peut également se détendre les sourcils, car lorsque l'on est triste, ceux-ci ont tendance à se resserrer. Se pincer la peau entre le pouce et l'index stoppe également immédiatement les larmes. Si vous voulez cacher votre tristesse face à quelqu'un, pensez à pincer votre main dans votre dos, c'est plus discret.
Donnant des conseils pour rester en bonne santé, un médecin a affirmé à la télévision que les femmes ne devaient pas pleurer devant un homme, sous peine d'altérer sa libido.
La cisidentité, ou cissexualité, est un néologisme désignant un type d'identité de genre où le genre ressenti d'une personne correspond au genre assigné à sa naissance, la personne est alors cisgenre ou cissexuelle (abrégé en cis). Le mot est construit par opposition à celui de transgenre.