La pathologie sadomasochiste résulte souvent de différents traumatismes de l'enfance qui entraînent une intensification de l'angoisse de l'anéantissement ou de la castration.
Freud nous dit : « Le caractère dangereux (du masochisme) provient du fait qu'il a son origine dans la pulsion de mort, qui correspond à la partie de celle-ci qui a évité d'être tournée vers l'extérieur sous forme de destruction ».
Non, l'excentricité sexuelle n'est pas une maladie mentale.
Les personnes masochistes vivent constamment dans la peur, l'insécurité et sont très dépendantes des autres, dans le sens où elles ont besoin que quelqu'un soit témoin de leurs sacrifices. En réalité, ces personnes croient qu'elles doivent vivre leur vie comme un martyre.
Le soumis dévoile facilement ses complexes et ses points faibles, le dominant peut exercer des formes d'intimidation, de chantage, de prédation (symbolique ou réelle), et isoler sa proie. Le soumis peut avoir tendance à se soucier davantage des autres que de lui-même, à céder sa place à autrui ou à s'en croire indigne.
Le masochisme sexuel est traité par une thérapie comportementale et cognitive. Celle-ci consiste notamment en une analyse des pensées dysfonctionnelles et une restrucuration cognitive. L'intérêt de cette approche est qu'elle permet au patient de trouver un soulagement rapide.
Le sadisme c'est prendre du plaisir à voir les gens souffrir. Si tu ne prends plus de plaisir en faisant le bien alors tu finis par faire du mal. Car l'humain aime le plaisir. Donc pour devenir sadique il faut être mis dans des conditions où l'on te dégoûte de ce qui est normalement et moralement bien.
Le sadique moral, quant à lui, prend un plaisir extrême à torturer moralement sa victime. Il est manipulateur, égocentrique, lunatique et profondément narcissique.
Définit de manière familière une personne masochiste, c'est à dire trouvant un certain plaisir dans des pratiques sexuelles incluant la douleur, l'humiliation, la domination. Par extension, désigne une personne trouvant du plaisir dans la souffrance.
Humilie et dégrade les gens en présence d'autrui. A maltraité ou puni de manière particulièrement dure une personne qui était sous ses ordres (enfant, prisonnier...) s'amuse ou prend plaisir aux souffrances physiques ou psychologiques d'autrui (y compris les animaux)
Un sadique va ressentir une grande excitation sexuelle en voyant l'autre souffrir devant lui. "Ils sont souvent nourris de la perception violente qu'ont pu avoir certains enfants des relations sexuelles des relations sexuelles de leurs parents ou proches", explique Renaud Da, psychologue clinicien.
Amour et souffrance sont liés parce que personne n'est parfait, parce qu'on ne maîtrise pas l'autre, et que cela peut induire une forme de souffrance, mais le but demeure le bien-être et le fait de grandir, d'évoluer. Même en couple il ne faut jamais se sacrifier pour l'autre.
Luxure, lubricité mêlée de cruauté.
Le masochisme moral est, des trois masochismes décrits par Freud, celui qui donne l'illusion d'être le plus civilisé, le plus éloigné de la notion de perversion qui reste attachée au masochisme ; la pulsion sexuelle y paraît tellement réprimée, quelle semble désexualisée.
Pour résorber une blessure de l'humiliation, il faut essayer de rétablir la vérité et remettre au centre de sa vie ses réalisations et ses accomplissements positifs.
Origine du terme
Le terme est issu du nom de l'écrivain français Donatien Alphonse François, marquis de Sade (1740-1814). La première définition apparait dans le Dictionnaire Universel de Boiste, huitième édition,1834, revu et augmenté par Charles Nodier, 20 ans à peine après la mort du Marquis de Sade.
Krafft-Ebing considère le masochisme comme une forme de perversion qu'il définit comme une recherche du plaisir dans la douleur. De même, le sadisme désigne pour lui une perversion sexuelle dans laquelle la satisfaction est liée à la souffrance ou à l'humiliation infligée à autrui.
(Personne) qui a tendance à exercer sur autrui des violences morales ou physiques, qui prend plaisir à faire souffrir les autres, hors de toute satisfaction sexuelle. Bourreau, tortionnaire sadique.
La personne souffrant de la blessure d'humiliation va fabriquer LE MASQUE DU MASOCHISTE. Le masochiste va rechercher la douleur et l'humiliation de façon inconsciente et va s'organiser pour se faire du mal ou se punir avant que quelqu'un d'autre ne le fasse.
C'est un acte de dénigrement, de critique, par une action physique, par un comportement. Cela blesse profondément en portant atteinte à la dignité, à notre amour intérieur. La personne humiliée se sent alors rabaissée, dévalorisée, et sa confiance en elle est remise en cause, parfois même détruite partiellement.
Fouiller dans le téléphone ou l'ordinateur de quelqu'un est une violation de la confiance établie entre deux personnes en couple, une invasion de la vie privée et un sacré manque de respect. Si vos faits et gestes sont étudiés, surveillés et vérifiés, c'est que vous êtes dans une relation malsaine.
L'amour fou se distinguerait de l'amour tout court par son intensité et par la profondeur des sentiments qu'il fait naître chez les deux partenaires. Car c'est un fait : pour être fou, l'amour doit être partagé !
Parfois, le silence d'une femme n'est pas toujours lié à votre relation amoureuse. Oui, cela arrive. En effet, elle a peut-être choisi de passer plus de temps avec ses amies, de se mettre au sport ou de lancer un business.
En d'autres termes, cela génère deux genres de pervers : celui que j'appellerai le « pervers honnête » qui, dépassé par ses propres mécanismes, cause des souffrances à son entourage de manière involontaire et inconsciente ; et le pervers sadique qui, au contraire, prend un véritable plaisir à faire du mal.