En temps normal, tout nous pousse à avoir des relations calmes avec les autres. « Si on est méchant, ça veut dire que l'on est toujours sur le qui-vive [en alerte], explique Nicole Catheline. On pense que l'autre nous veut du mal, donc il faut se défendre. »
Cette volonté de faire du mal peut être due à des traumatismes liés au passé, à une volonté de revanche, ou au fait de vouloir montrer qu'on a l'ascendant sur l'autre. Il y a toujours une raison derrière un acte de méchanceté, aussi saugrenue ou incompréhensible soit-elle.
La méchanceté réactive est la plus répandue, résultat de déceptions, de chagrins et de rancunes, qui ébranle et modifie momentanément la personnalité jusqu'à parfois amener certaines personnes à être incapables de résister à l'emprise du mal.
La cause de son comportement se cache peut-être dans une difficulté à assumer ses sentiments amoureux. Vous lui plaisez mais, pour une raison ou pour une autre, il sait que vous ne pourrez jamais être ensemble. Et vouloir quelque chose qu'on ne peut pas avoir est très frustrant.
Une deuxième raison pour laquelle nous blessons celui que nous aimons le plus est que cette personne est là, tout simplement. Son énergie est disponible et nous nous en servons selon nos besoins. En lui prenant son énergie, nous le faisons souffrir. Voler l'énergie à quelqu'un revient à le blesser.
Se sentir en permanence en colère peut également être le signe d'un mal être que l'on ne reconnait pas ou que l'on ne veut pas reconnaitre. Comme il faut bien que cela s'exprime à un moment, cela passe par une émotion vive et forte.
L'agressivité est un comportement courant chez les personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer. L'entourage en est souvent ébranlé. Que faut-il savoir sur ce mode d'expression agressif ?
Souvent, les personnes qui ont une faible estime de soi se replient sur elles-mêmes et repoussent les autres, car elles croient qu'elles ne méritent pas d'avoir des relations constructives.
Aucun enfant ne naît « méchant ». Mais aucun ne naît non plus civilisé. Car tous ont, au début de leur vie, un fonctionnement psychique qui est à mille lieues des règles de la vie en société.
L'irritabilité peut avoir de nombreuses causes, les principales étant : Le stress : vivre une période stressante, comme perdre un emploi ou une rupture de couple, peut rendre une personne plus irritable que la normale.
Qui fait intentionnellement du mal à autrui, qui cherche à nuire : Un méchant homme. Il est méchant avec les animaux. 2. Qui manifeste la volonté de nuire, la malveillance : Une remarque méchante.
En effet, l'agressivité et la colère proviennent souvent des frustrations et des insatisfactions que vous rencontrez dans votre vie. C'est souvent sur celles-ci que vous devrez travailler, pour régler votre problème d'agressivité et mieux contrôler ses humeurs.
-Prendre le temps de respirer profondément et de se calmer en cas d'énervement et s'isoler, si nécessaire, jusqu'à ce que la tension baisse. -Contrôler le ton de sa voix et se forcer à parler moins fort, fait qui ramènera le vis à vis à s'ajuster au volume sonore adopté, sans même y penser.
La violence fait partie de notre condition animale. Elle est d'ailleurs, au départ, un des trois réflexes de survie. En effet, face à un danger, les mécanismes biologiques du corps te poussent à trois réactions différentes : la sidération (ne plus pouvoir bouger car tu es pétrifié(e) de peur), la fuite, ou l'attaque.
"Lorsqu'elle est ressentie fréquemment, violemment et de manière non adaptée, la colère peut développer des hernies, de l'urticaire, du psoriasis, de l'asthme et des douleurs dans le bas du dos", explique Christophe Haag.
Les psychoses notamment, comme la schizophrénie, la paranoïa ou les troubles bipolaires peuvent engendrer de grosses crises d'énervement. Diverses maladies neurodégénératives, dont l'Alzheimer, sont aussi souvent responsables. Enfin, il peut être lié à un dérèglement hormonal.
Le trouble explosif intermittent (TEI) est un trouble comportemental caractérisé par des expressions extrêmes de colère, souvent au point de violence, disproportionnées par rapport à la situation qui survient (voir aussi à la définition de Seb Bouyer).
Quand elle est blessée, la femme forte regarde son partenaire droit dans les yeux et sourit. Une mauvaise décision ne signifie pas que sa vie est foutue et elle le sait très bien. Une femme forte va aller de l'avant car elle est consciente de tout ce qu'elle apporte à une relation amoureuse. Elle connaît sa valeur.