Nos jugements justes sur les autres peuvent leur fournir des conseils dont ils ont besoin et, dans certains cas, peuvent nous protéger, nous et notre famille. Nous devons toujours juger avec sollicitude et compassion. Autant que possible, nous devons juger les situations des gens plutôt que les personnes elles-mêmes.
JUGER signifie également Décider en bien ou en mal du mérite d'autrui, de ses pensées, de ses sentiments, du motif de ses actions. Bien juger, mal juger de quelqu'un ou de ses actions. Vous en jugez légèrement, témérairement. Jugez favorablement de lui.
3) Juger, c'est enfermer les autres dans des cases et diminuer notre propre ouverture d'esprit. Le jugement est une sentence qui confine la personne qui la reçoit dans une réalité qui n'est pas la sienne (les enfants qui subissent des jugements ou des étiquettes vont caler leur comportement sur eux).
Jugeant : Définition simple et facile du dictionnaire.
Autrement dit, lorsque nous critiquons les autres, nous projetons nos peurs, nos insécurités, nos défauts et nos failles. Les personnes jalouses et envieuses sont généralement celles qui émettent le plus de critiques. En agissant ainsi, elles détournent leur regard d'elles-mêmes par peur de ce qu'elles pourraient voir.
Parfois, les gens ont l'impression que c'est mal de juger les autres de quelque manière que ce soit. Il est vrai que nous ne devons pas condamner les autres ou les juger de manière injuste, toutefois il faut que nous nous fassions, tout au long de notre vie, une opinion sur les idées, les situations et les gens.
Juger quelqu'un équivaut à ne pas comprendre pourquoi cette personne est telle qu'elle est. On ne sait pas ce qu'a vécu l'autre, ce qui a fait qu'il est tel qu'il est, ni combien il peut souffrir quand il sait qu'on le critique sans raisons justifiées.
A l'aide de scans cérébraux, les chercheurs montrent que lorsque l'on raconte une histoire à un individu, et que celui ci juge que les actions des personnages méritent des reproches, une région du cerveau est activée. Il s'agit de l'amygdale, très fortement liée au contrôle des émotions.
Opération intellectuelle permettant de peser l'importance relative de faits ou d'idées abstraites, d'en évaluer les conséquences par le raisonnement et de conclure par une décision dans laquelle une assertion est posée comme vérité.
La peur du jugement des autres est une phobie sociale qui est souvent associée à la blemmophobie. Elle trouve essentiellement son origine dans le manque de confiance en soi et se nourrit de la peur de l'échec, peur du conflit, peur du ridicule, peur de ne pas être aimé et bien d'autres.
impartiale. impartiaux. Qui fait preuve de justice, d'équité, qui ne prend aucun parti dans son jugement et observe une stricte objectivité. Exemple : Tout juge qui se respecte se doit d'être absolument impartial pour exercer.
La Sainte Ecriture est formelle là-dessus : on ne doit pas juger son prochain (Mt 7,1-5 ; Jc 4,11-12) car le jugement appartient à Dieu, qui scrute les cœurs et les reins et qui connaît parfaitement le cœur de l'homme. Mais il semble que l'homme ne peut s'abstenir de se juger et surtout de juger son semblable.
La tendance à juger à l'excès tient au fait d'avoir été soi-même une cible. Il s'agit donc de retrouver comment, à quelle fréquence et pourquoi des jugements vous ont été imposés. En identifiant ces blessures du passé, on prendra conscience des raisons qui incitent, au présent, à en infliger à soi-même et aux autres.
Comme nous sommes des êtres humains, nous sommes sociables. Et donc, nous ne pouvons pas faire abstraction, ni empêcher le regard et le jugement des autres. Il est donc important de : prendre du recul : respirer par le ventre, laisser passer du temps, élargir sa vision, analyser son émotion.
L'équipe de Jean-Claude Dreher à l'institut des sciences cognitives montre que l'adaptation de notre jugement lors d'une décision collective est réalisée à partir d'un calcul que le cerveau effectue en pondérant la confiance en son propre choix et la crédibilité qu'on accorde à l'information d'autrui.
Il survient généralement au cours d'une intoxication le plus souvent, et lors de crises de démences séniles et pré-séniles, entre autres. Cependant, des délires ou idées de persécution se manifestent également chez les patients atteints de schizophrénie, de paraphrénie, de psychose, et de dépression.
La personne qui critique sans cesse jouit d'une si faible estime d'elle-même qu'elle n'arrive pas à discerner les aspects positifs chez les autres. Au fond, elle projette ses propres faiblesses. Elle vous déprécie pour tenter de se valoriser. Sachant cela, prenez ses critiques avec un grain de sel.
Ceux qu'on aime, on ne les juge pas.
Pourquoi vous devriez immédiatement cesser de critiquer les autres ? Tout simplement parce que quand on est très critique envers les autres, quand on manque d'indulgence, c'est parce qu'on en manque avec soi-même. Ceux qui critiquent le plus sont ceux qui se jugent très durement eux-mêmes.
Les critiques mettent à mal l'ego et sont parfois vécues comme des agressions. Peut-on apprendre à les gérer ? Que ce soit au travail, en famille, entre amis ou de la part d'un inconnu, les critiques pointent du doigt une faiblesse et une remise en cause personnelle.