Notre réponse
Tout d'abord, la nicotine contenue dans la fumée de cigarette est absorbée par vos poumons, passe directement dans le sang et atteint votre cerveau au moins de 7 secondes. Cela s'apparente à un phénomène de "shoot", et cette sensation peut être ressentie sous forme de vertige à la tête.
Impression d'étourdissements, de désorientation ou de vertiges. C'est en grande partie dû à la présence d'une quantité plus importante d'oxygène dans votre sang. Le monoxyde de carbone présent dans les cigarettes limitait la quantité d'oxygène disponible.
Notre réponse. Bonjour, Cela signifie juste que votre corps n'est pas habitué à recevoir des produits toxiques et vous le signale. Si vous ressentez encore une envie de fumer, pour goûter ou pour faire comme vos amis, dites-vous que ce sera infiniment plus facile de ne pas commencer que de devoir arrêter par la suite.
- Mettre en place des stratégies comportementales pour changer ses habitudes et éviter les envies réflexes. - Mettre en place des compensations dans le domaine du plaisir (profiter de l'argent du tabac pour prendre soin de soi, se détendre, faire du sport, avoir des loisirs...) pour éviter la frustration.
Dans une étude publiée le 9 septembre dans le Journal de la gérontologie, des chercheurs ont étudié le patrimoine génétique des fumeurs «longue durée» et constaté que leur survie est peut-être dûe à une résilience innée de leur organisme.
Pour un fumeur régulier, la cigarette peut ainsi être une source directe de stress et d'anxiété, à l'origine de crises d'angoisses difficiles à contrôler.
Le tabagisme s'est avéré être le paramètre augmentant le plus la probabilité de développer une dépression. Les fumeurs auraient ainsi quatre fois plus de chances de souffrir de dépression, selon les chercheurs. Des résultats depuis approuvés par d'autres études.
Le mal de tête peut s'expliquer par la fin de la contraction des vaisseaux sanguins à cause de la nicotine de cigarette, ils reprennent leur taille initiale et doivent "pousser" les neurones voisins, ce qui chez certains occasionne des douleurs. Le mal de tête peut être aussi lié au surdosage en nicotine.
Dire stop au tabac, c'est lutter efficacement contre l'hypertension, risque majeur de maladies cardio-vasculaires. De nombreuses études ont prouvé que réduire même d'un point la pression artérielle diminue de 20 à 25% le risque de pathologies cardiovasculaires même sur les HTA légères…
La fatigue chronique, appelée aussi asthénie, est un des nombreux méfaits du tabac. Le métabolisme et le sommeil subissent les effets délétères de cette substance toxique bien connue de tous.
Les tremblements, eux, sont dus à la nicotine, qui, arrivant très rapidement dans votre cerveau, y provoque l'accélération du rythme cardiaque et la contraction de l'ensemble de votre réseaux vasculaire. Si vous allumez ces cigarettes, c'est sans doute en pensant comme c'était bien....
De l'eau. Boire assez d'eau est essentiel pour arrêter de fumer. Il faut éviter au maximum l'alcool et le café qui améliorent le goût de la cigarette mais qui peuvent aussi provoquer une envie spontanée de fumer. Il est plus sage de consommer des tisanes ou du thé.
Comme l'alcool, la nicotine est un faux-ami du sommeil. "Fumer une cigarette peut avoir un effet anxiolytique, cela calme sur le plan psychologique. Mais il y a un effet rebond", met en garde le Dr Joëlle Adrien, neurobiologiste.
La spasmophilie est une trop grande sensibilité émotionnelle qui se manifeste par une crise subite, regroupant un ensemble de symptômes (vertiges, contracture des doigts, par exemple) qui inquiètent celle ou celui qui en est victime. Pour les psychiatres, la spasmophilie est une manifestation des troubles anxieux.
Selon les autorités scientifiques, un gros fumeur est une personne fumant plus de 25 cigarettes par jour. Les gros fumeurs constituent 26,7 % des fumeurs de cigarettes.
En moyenne, fumer réduit l'espérance de vie des fumeurs de 10 ans. Les personnes qui ont commencé à fumer à l'adolescence et qui continuent de le faire à l'âge adulte sont plus à risque que les autres : 50 % d'entre eux mourront entre 35 et 69 ans, ce qui représente 22 ans de vie en moins.
En moyenne, les fumeurs doivent ainsi s'attendre à vivre 6,8 ans de moins en bonne santé (c'est-à-dire sans incapacité) que les non-fumeurs. Pour les fumeuses, c'est 6,25 ans de moins. Ce chiffre diminue en moyenne chez les ex-fumeurs à 3,02 ans de moins et à 2,9 ans de moins chez les ex-fumeuses.
Au sein de la population masculine, les Indonésiens sont les plus gros fumeurs (76%), suivis des Jordaniens (70%), des Chinois (47%) et enfin des Russes (59%). Selon l'OMS, plus de 5 millions de personnes meurent chaque année du tabac (1,5 million de femmes).