La dépression non réactionnelle à un événement est bien souvent dûe à des carences alimentaires et une mauvaise hygiène de vie. La dépression peut avoir un effet sur le poids puisque la personne démoralisée aura tendance à mal se nourrir, soit plus du tout soit de manière compensatoire.
LA DÉPRESSION EST-ELLE A L'ORIGINE D'UNE PRISE DE POIDS? La dépression ne s'accompagne pas d'une prise de poids, du moins dans son stade initial. Elle est même, à l'inverse, caractérisée par une triade symptomatique : insomnie, anorexie et perte de poids.
Une fatigue (asthénie), souvent plus marquée le matin. Une perte d'appétit, souvent associée à une perte de poids. Des troubles du sommeil, avec souvent une insomnie en deuxième partie de nuit et un réveil matinal précoce. Des troubles de l'attention, de la concentration et de la mémoire chez la plupart des malades.
L'anxiété incite les réserves du corps à libérer du sucre et met à votre disposition une énergie immédiate afin de parer à l'urgence. Si ce phénomène se répète trop souvent, vous allez prendre du poids : lorsque le taux de glycémie reste élevé, la plus grande partie du sucre finit par se transformer en graisses.
Quand le stress est trop lourd à porter, l'envie de se « remplir » avec des aliments gras et sucrés devient presque une évidence.
Les symptômes physiques de la dépression
Ainsi, les symptômes physiques sont nombreux : Troubles du sommeil : le sommeil est souvent mauvais, moins profond, et peu réparateur avec des réveils précoces.
Elle peut aller de quelques semaines à plusieurs mois, voire plusieurs années. La plupart des épisodes dépressifs durent moins de six mois. Une guérison totale (disparition de tous les symptômes) et durable est possible.
Plusieurs autres symptômes peuvent également être présents : difficultés de concentration, sentiment de culpabilité excessive ou dévalorisation de soi, sentiment de désespoir face à l'avenir, pensées de mort ou de suicide, sommeil perturbé, changements d'appétit ou de poids, et sentiment de grande fatigue ou de manque ...
Le malade dépressif s'isole, son visage se fige et devient moins expressif. Il est ralenti, prostré et s'occupe de moins en moins de son apparence jusqu'à même négliger son hygiène. Il possède de moins en moins d'initiatives ; il parle, d'un ton monocorde et lent, de moins en moins souvent.
Donc, il faut réduire la quantité de calories. Mais augmenter leur qualité afin d'être rassasié (plus de protéines et de fibres). . Changer de modèle alimentaire : et le rendre vivable, donc garder le fromage ou le chocolat selon ce que l'on aime.
En revanche, lors de l'arrêt du traitement, on observe une perte de poids. Il faut également prendre en compte le fait que certains médicaments dépresseurs du système nerveux, tout comme le vieillissement, peuvent conduire à une diminution de l'exercice physique et donc à une diminution de la dépense calorique.
consommer des aliments à densité énergétique élevée : fruits séchés, banane, avocat, maïs, fromage, yaourt etc. augmenter l'apport en calories. ajouter des collations en plus des repas. faire de l'activité physique d'intensité modérée.
"La prise de poids est alors faible ou absente" constate le Docteur Neveux. Les conseils qu'ils prodiguent sont donc liés à la dépression plus qu'au fait de la prise d'antidépresseur : "Il s'agit d'adopter un régime alimentaire équilibré, un rythme de sommeil régulier, de faire de l'exercice.
Pratiquer un sport régulièrement fait aussi partie de l'"arsenal" du bien-être. Comme le rire, cela favorise la sécrétion de l'hormone du plaisir. Des chercheurs américains ont même montré que la course à pied avait, chez les personnes déprimées, autant d'effet que les médicaments.
La dépression sévère mélancolique (niveau le plus élevé de dépression) : forme très douloureuse, avec perte d'intérêt total pour le monde extérieur, incapacité à aimer, perte d'estime de soi, autodépréciation constante…
Ces stratégies pourraient être : écouter un CD, lire un livre, faire du sport, faire une promenade, prendre un bain de soleil ou de luminothérapie, appeler une amie, faire du Yoga, prendre un bain… Chaque personne est différente et a ses préférences. Vous pouvez alors vous créer vos stratégies individuelles.
Les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la norépinéphrine ou noradrénaline (IRSN) Telle que la venlafaxine (Effexor®), Duloxétine (Cymbalta®), Milnacipran chlorhydrate (Ixel®). Ils sont parmi les plus efficaces des antidépresseurs, car ils agissent sur deux types de neurotransmetteurs à la fois.
La dépression ne se guérit pas à force de volonté. C'est une maladie qui nécessite la mise en œuvre d'un traitement spécifique. Les stratégies thérapeutiques existantes sont efficaces dans au moins 70% des cas. Des pistes émergent pour les cas de dépression résistante.
Le cortisol est produit par la glande surrénale (qui se trouve au niveau des reins), avec des pics de sécrétion en réponse au stress, à la peur ou la colère. En outre, le niveau de cortisol subit des fluctuations au cours de la journée avec un pic le matin après le réveil.
1) Suivre un régime trop restrictif. 2) Vouloir maigrir trop vite. 3) Essayer de perdre du poids sans sport. 4) Ne pas suivre le bon programme de sport pour maigrir.
Après plusieurs mois de sport et de restrictions alimentaires, vous commencez à avoir des carences qui empêchent le métabolisme de fonctionner correctement . En conséquence le poids bloque complètement malgré vos efforts. Solution : Il faut assurer un apport en zinc, Vitamines B, C,D,E et K, magnésium, oméga 3.
Pour contre-carrer ces effets et maigrir, Raphaël Gruman conseille un programme alimentaire riche en fibres, à 1 500 kcal par jour. Avec des bons petits plats à mitonner et à partager dans la convivialité. Objectif : zéro frustration à table pour ne pas rajouter au stress.