En pleine saison sèche doublée d'un déficit de pluie, la préfecture fait état d'une baisse «significative du débit des cours d'eau» provoquant des «difficultés d'irrigation et des baisses de la production d'eau potable».
Accès à l'eau : la situation guadeloupéenne
Ces trois dernières décennies, les problèmes d'accès à l'eau potable n'ont cessé de croître en Guadeloupe jusqu'à atteindre bun seuil critique en 2020 avec l'arrivée de la pandémie de Covid-19. La faute à un réseau mal entretenu, mal géré et vétuste.
Gérald Negraud, directeur général adjoint technique du Syndicat mixte de gestion de l'eau et de l'assainissement en Guadeloupe (SMGEAG), est en mission : « Le syndicat mixte de gestion et d'assainissement de Guadeloupe est récent car il a été créé par loi 29 avril 2021, rénovant la gouvernance des services publics d' ...
La qualité de l'eau potable L'eau distribuée en Guadeloupe est généralement de bonne qualité et ne présente qu'une faible contamination bactériologique dans des conditions météorologiques normales.
Distribuer l'eau au consommateur
Depuis le 1er juin 2008, le SIAEAG a confié à la société Générale des Eaux Guadeloupe l'exploitation des ouvrages de production et d'alimentation en eau potable, par le biais d'un marché de prestations de services.
Pourquoi il y a –t-il des inondation en Guadeloupe? La Guadeloupe reste très concernée par le risque d'inondation en raison du dérèglement climatique. Les pluies diluviennes sont aussi à l'origine d'inondations désastreuses. Le plus souvent, quand il y a des tempetes cyclones ou ouragans en suit des inondations.
La température moyenne de l'eau de mer est de 28 degrés Celsius. Le chaud climat tropical de Guadeloupe est agréablement adouci par les vents alizés assez constants tout au long de l'année.
Par sa situation géographique aussi, l'île de la Guadeloupe présente des caractéristiques qui peuvent vite se révéler gênantes. En effet, le climat tropical a ses inconvénients, notamment les cyclones. Tous les ans, l'île connaît une période au cours de laquelle elle est battue par les eaux et les vents.
L'économie guadeloupéenne repose sur le secteur agricole dont la production de la banane et la filière canne-sucre-rhum sont les principales cultures. La banane reste le premier produit d'exportation en volume.
Qu'il s'agisse de la distribution ou de l'épuration, le réseau d'eau dysfonctionne continuellement sur l'île antillaise. Des tonnes d'eau potable sont gâchées chaque année, quand d'autres, usées, sont rejetées à même les milieux naturels.
En effet, le Code civil [9] affirme que l'eau est une res communis, c'est-à-dire une chose qui n'appartient à personne et dont l'usage est commun à tous. Par ailleurs, la loi sur l'eau du 3 janvier 1992 reconnaît à la ressource en eau la qualité de patrimoine commun de la Nation [10]. En outre, l'article L.
Les débuts de l'eau courante
Plus tard, l'alimentation s'est faite à partir de puits creusés dans la nappe phréatique et ce n'est qu'au XIXe siècle que le nouveau réseau d'eau potable a vu le jour, à Strasbourg, puis progressivement au XXe siècle dans les communes bas-rhinoises.
Faute de débouchés, beaucoup choisissent l'exil. Dans une île où le décrochage scolaire, l'illettrisme et le chômage des jeunes sont légion, tout reste à faire pour offrir un avenir à la jeunesse de Guadeloupe. Les jeunes gens quittent l'île et, malgré des politiques de rattrapage, ont du mal à revenir «au peyi».
Scolopendre : redoutable mille pattes en Guadeloupe. Beaucoup de gens qui séjournent aux Antilles craignent la morsure de scolopendre. Des différentes espèces tropicales qui y vivent, la scolopendre de Guadeloupe, plus communément appelé mille-pattes de Guadeloupe, est parmi les espèces les plus redoutées.
Dans les régions intérieures, l'île de Basse-Terre est plus humide et pluvieuse le long des pentes du volcan la Soufrière (qui mésure 1 467 mètres de haut), où les nuages stationnent souvent, le climat est équatorial, c'est-à-dire pluvieux toute l'année, et une forêt tropicale y pousse.
Ce qui coûte le plus cher est le transport : les coûts de fret, le carburant, la manutention (chargement et déchargement) et les droits de port. Le montant du fret est plus important dans les DOM TOM car la capacité des ports est limitée.
Les températures
Il y a très peu de différence entre les mois les plus chauds (juin, juillet, août, septembre) et les mois les plus froids (décembre, janvier, février, mars).
1. La Pointe des Châteaux. À l'est de Grande-Terre, non loin de la ville de Saint-François et du Gosier, la pointe des Châteaux fait partie des lieux incontournables à ne manquer sur l'archipel. Profitez des dizaines de kilomètres avec vue sur la splendide baie.
1 Hervé Damoiseau, l'homme qui fait couler le rhum à flots.
Il habite encore près de la distillerie, qui fait vivre 25 employés. La production a atteint 2,7 millions de litres en 2009. Et le chiffre d'affaires approche les 7,5 millions d'euros.
Aux Antilles françaises, un béké est un blanc créole descendant des premiers colons. Ce terme concerne principalement les descendants originaires de la Martinique mais aussi ceux de Guadeloupe.
Il faut donc s'armer de patience et de motivation. Pour ma part, j'ai trouvé un poste en un petit plus d'un mois, tout comme mes colocs. C'est un peu plus bouché qu'en métropole où on peut trouver un poste en quelques jours, mais cela reste relativement facile quand même.
Comme vu plus haut, la variation de température sur les deux saisons est assez minimes, avec une moyenne assez constante. Idem pour l'eau de mer, dont la température moyenne est elle aussi de 27 degrés avec des pointes à 30 °C pendant les mois les plus chauds ( août et septembre) .
La meilleure période pour se rendre en Guadeloupe est l'hiver, de janvier à avril. Afin d'éviter les grands flux touristiques, vous choisirez de préférence les mois de janvier et février, hors vacances scolaires de métropole.
LA QUALITE DE L'EAU POTABLE
L'eau distribuée en Guadeloupe est généralement de bonne qualité et ne présente qu'une faible contamination bactériologique dans des conditions météorologiques normales.