En effet, la menace des monarchies étrangères, les premières défaites essuyées par les troupes de la France révolutionnaire et la crainte d'une radicalisation de la contre-révolution conduisent l'Assemblée nationale à déclarer la patrie en danger le 11 juillet 1792.
Le roi Louis XVI s'oppose aux mesures votées par l'Assemblée pour faire face aux difficultés. Le 20 juin, les Sans-Culottes parisiens ont attaqué le Palais des Tuileries afin d'obtenir un changement de la politique du roi.
L'idée de la guerre progresse dans tous les esprits, chez les partisans de la révolution commes chez les opposants. Finalement la France la déclare le 20 avril 1792 à l'empereur d'Autriche. La Prusse n'était pas visée, mais elle veut éviter la contagion révolutionnaire et entre au côté de l'Autriche en juillet 1792.
Les causes de l'insurrection
À partir de 1789, l'Ancien Régime est mis à bas par les députés de l'Assemblée nationale constituante : les privilèges de la noblesse et du clergé sont abolis (4 août 1789) et le roi voit ses pouvoirs limités par une Constitution (septembre 1791).
Le 10 août 1792 marque le début de la seconde Révolution, une révolution populaire organisée et menée par la Commune insurrectionnelle de Paris et les sections parisiennes.
Le 10 août 1792, les Parisiens très mécontents du refus du roi Louis XVI d'accepter les mesures destinées à sauver Paris de l'invasion austro-prusienne, ont attaqué la résidence royale parisienne des Tuileries. Les députés de l'Assemblée législative ont dû voter la suspension des pouvoirs du roi.
Le dernier roi de France est Louis-Philippe Ier qui a régné de 1830 à 1848. Il a été remplacé par Louis Napoléon qui est devenu empereur sous le nom de Napoléon III.
Le 10 août 1792 marque donc la chute de la royauté. A la suite de la réunion des Etats généraux, une vague révolutionnaire met fin à la monarchie absolue et à l'Ancien Régime. Une monarchie constitutionnelle est établie en 1791, mais Louis XVI perd la confiance de ses sujets en organisant sa fuite à l'étranger.
Ce sont des « soldats-citoyens » à la manière des « volontaires », organisés militairement, et formant un bataillon particulièrement actif lors de la prise des Tuileries du 10 août 1792. Révolutionnaires provinciaux, ils mutualisent leurs convictions avec celles des sectionnaires parisiens, bel exemple d'union.
Le 17 juin 1789 les représentants du tiers-état, accompagnés de quelques représentants de la noblesse et du clergé, se retirent de la réunion des États-généraux. Ils forment l'Assemblée Nationale et décident que désormais ce seront les députés qui voteront les impôts. C'est la fin de la monarchie absolue.
Le 20 avril 1792, à Paris, sur une proposition du roi Louis XVI, l'Assemblée législative déclare officiellement la guerre au « roi de Bohême et de Hongrie », en fait l'archiduc d'Autriche François II de Habsbourg.
Destiné à intimider Paris, ce manifeste qui « rendant personnellement responsables de tous les événements, sur leurs têtes, pour être jugés militairement, sans espoir de pardon, tous les membres de l'assemblée nationale, du département, du district, de la municipalité, et de la garde-nationale de Paris, juges de paix, ...
Ces forces se renforceront peu à peu jusqu'à s'établir respectivement à 32.000 et 22.000 hommes. Les canons de Bonaparte reprennent Toulon.
Face à une situation politique et financière catastrophique, Louis XVI se voit contraint de convoquer les États Généraux. Une assemblée des trois ordres – clergé, noblesse et tiers état – qui seuls peuvent décider de la levée de nouveaux impôts et engager la réforme du pays.
Le 9 juillet 1789, les Etats généraux réunis en raison de la crise financière que traverse le royaume se proclament Assemblée constituante. Cette assemblée, composée notamment de Mirabeau, Robespierre, Sieyès, Mounier, etc., fait entrer dans l'organisation de l'Etat la pensée des philosophes des Lumières.
Les conséquences de la prise des tuilleries soit le 10/08/1792 à Paris par les sans culottes qui ont prit ce Palais et ont jeté Louis XVI et toute sa famille en prison a été la fin de la monarchie absolue. Cela a été aussi la naissance du régime républicain....
Marseille ! Le chant est en effet récupéré par les volontaires marseillais qui s'apprêtent à rallier Paris pour prêter main-forte aux révolutionnaires parisiens : c'est ainsi qu'ils entonnent, en entrant dans Paris le 30 juillet 1792, cette chanson qu'ils ont rebaptisée « Chant de guerre des armées aux frontières ».
L'histoire a fait de ce chant de guerre révolutionnaire un hymne national aux accents de liberté, qui accompagne aujourd'hui la plupart des manifestations officielles.
Le texte du décret est très bref : « La convention nationale décrète à l'unanimité que la royauté est abolie en france. » Suivent les signatures de Jérôme Pétion de Villeneuve (1756-1794), président de la Convention, de Jean-Pierre Brissot de Varville (1754-1793) et de Marc David Alba Lasource (1763-1793), secrétaires ...
Clovis est considéré comme le premier roi des Francs.
Le monarque absolu, à la différence du monarque constitutionnel, représente au sens propre du mot la « monarchie » en ce sens que tout le pouvoir repose sur un seul être : le roi, qui regroupe les trois pouvoirs de l'État : législatif, exécutif et judiciaire.
Le roi Louis XVI est obligé de réunir les états généraux pour le mois de mai 1789. Les français réclament plus d'égalité et plus de liberté, alors que la noblesse et l'Eglise veulent garder leurs privilèges. Le roi n'annonce pas les mesures attendues : la Révolution commence. 14 juillet 1789, Prise de la Bastille.
Louis de Bourbon (« Louis XX »), l'actuel prétendant. Voici l'ordre de succession légitimiste (et théorique) au trône de France. L'actuel prétendant est S.A.R. Louis de Bourbon, duc d'Anjou, né en 1974, qui serait appelé « Louis XX » s'il était « roi de France ».
Records de longévité
Le record de longévité de l'histoire contemporaine pour un monarque est détenu par le roi de Thaïlande Bhumibol Adulyadej, couronné sous le nom de Rama IX en juin 1946 et mort en octobre 2016 à l'âge de 88 ans, après un règne de 70 ans et quatre mois.
Louis XIV. Plus jeune roi de France couronné, plus grand roi de tous les temps, plus long règne… celui que l'on surnomme le roi Soleil cumule tous les superlatifs. Son règne commence alors qu'il n'a que 5 ans, sous la régence de sa mère Anne d'Autriche.