Si une lampe brille faiblement, c'est qu'elle est en sous-tension : la tension mesurée entre ses bornes est inférieure à sa tension nominale. Si une lampe brille fortement, c'est qu'elle est en surtension : la tension mesurée entre ses bornes est alors supérieure à sa tension nominale.
Observation : plus on ajoute de lampes au circuit, moins les lampes brillent. Interprétation : dans un circuit en série, l'énergie transférée par le générateur est partagée entre les lampes. Donc plus il y a de lampes, moins il y a d'énergie électrique disponible pour chacune. L'éclat des lampes diminue.
Observation : plus on ajoute de lampes au circuit, moins les lampes brillent. Interprétation : dans un circuit en série, la tension électrique de la pile est partagée entre les lampes. Donc plus il y a de lampes, moins la puissance lumineuse de chacune est élevée.
Une différence de tension nominale entre deux lampes se traduit par une différence d'éclat lorsqu'elles fonctionnent dans des conditions nominales: La lampe qui possède la tension nominale la plus élevée est aussi celle qui brille avec l'éclat le plus fort.
Les composants électriques dipolaires : dipôles passifs, dipôles actifs. Les lampes sont placées en série, donc sont parcourues par le même courant électrique. C'est donc la lampe dont la résistance est la plus grande qui reçoit la plus grande puissance et donc brille le plus.
Les LED sont les ampoules avec le rendement lumineux le plus important, il se situe généralement entre 80 et 95 lm/W. Avec une production de lumens suffisante pour éclairer la pièce souhaitée, on choisira donc plutôt l'ampoule qui consomme le moins de Watt.
Pour faire briller l'ampoule, le courant électrique doit passer de la pile à l'ampoule. Pour que le courant passe, il faut mettre en contact les lamelles de la pile avec le culot (+) et le plot (–) de l'ampoule.
pour une valeur donnée de la résistance, l'intensité du courant augmente si la tension augmente (et inversement) ; pour une tension donnée (par exemple 220 V), si la résistance diminue, l'intensité augmente.
L'intensité du courant ne dépend que du générateur. Dans un circuit en série, si l'interrupteur est ouvert, l'intensité du courant est nulle. Dans un circuit en série fermé, l'intensité du courant est la même en tout point, et sa valeur dépend de tous les dipôles, pas seulement du générateur.
Les deux lampes brillent plus faiblement. Les deux lampes brillent normalement car chacune est reliée au générateur directement. Si une lampe est grillée (ou dévissée), l'autre s'éteint car le circuit est ouvert. Si une lampe est grillée (ou dévissée), l'autre fonctionne encore car sa boucle est fermée.
Si l'on ajoute une deuxième lampe dans un circuit comportant une lampe et une pile alors l'éclat diminue. L'éclat diminue encore plus si l'on ajoute une troisième. Le résultat obtenu serait le même en ajoutant un moteur ou une résistance au lieu d'une lampe.
Pour briller, la lampe doit être traversée par le courant électrique produit par la pile. Il existe deux possibilité: – Le culot est en contact avec la borne positive et le plot avec la borne négative. – Le culot est en contact avec la borne négative et le plot en contact avec la borne positive.
Utilistaion du multimètre
Puis placez l'autre pointe de touché sur le cul de l'ampoule. Si sur votre multimètre, les chiffres bougent puis redescendent à 0, alors l'ampoule est bonne. Mais si les chiffres ne bouge aucunement, elle est grillée !
Dans une ampoule électrique classique, le courant électrique arrive et repart par deux points isolés. Entre ces deux points, l'électricité passe par le circuit de l'ampoule et, en particulier, traverse le filament de l'ampoule en tungstène. Le tungstène est un métal qui résiste au passage du courant.
Tout dipôle, ou plus généralement tout conducteur dont la caractéristique est une droite passant par l'origine est un conducteur ohmique.
Pour mesurer des grandeurs électriques, on utilise des multimètres. Peu encombrants, ils permettent de mesurer plusieurs grandeurs : la tension, l'intensité ou la résistance. À chaque type de grandeur mesurée correspond une fonction du multimètre. Ainsi, pour mesurer une intensité, on utilise la fonction ampèremètre .
Les résistances (parfois nommées résistors) remplissent la fonction de résistance dans les circuits imprimés. On les utilise afin de contrôler l'intensité du courant dans les différents segments d'un circuit.
Enoncé de la loi d'OHM
La tension U aux bornes d'un conducteur ohmique est égale au produit de sa résistance R par l'intensité I du courant qui le traverse.
I. Un circuit électrique élémentaire pour faire briller une lampe. La lampe de poche est composée d'une ampoule, d'une pile et d'un interrupteur. Ces éléments sont reliés entre eux par des fils de connexion.
Le sens conventionnel du courant
Le problème s'est posé aux physiciens et comme on ne peut pas voir le courant électrique, un sens arbitraire a été donné : le courant circule de la borne positive vers la borne négative du générateur à l'extérieur de celui-ci. C'est le sens conventionnel du courant électrique.
Le circuit doit être fermé pour qu'il y ait transfert d'énergie. Un interrupteur sert à commander un récepteur (lampe, moteur, ...) Un interrupteur ouvre ou ferme le circuit. L'interrupteur doit être fermé pour qu'un courant circule donc pour qu'une lampe brille ou qu'un moteur tourne.
L'intensité électrique est liée à la quantité d'électricité qui circule dans un circuit et s'exprime en ampères. La tension électrique est liée à la différence d'état électrique entre deux points d'un circuit et s'exprime en volts.
Même si la lampe est éteinte, il reste une tension aux bornes de l'interrupteur (230V dans la maison). Il est donc dangereux d'intervenir sur l'interrupteur.
Définition : l'intensité nominale est la valeur de l'intensité qui traverse un dipôle lorsqu'il est alimenté avec sa tension nominale.