Moralité, les jeunes ne maîtrisent plus la conjugaison et les règles grammaticales. Les raisons profondes de cette « crise de la lecture» sont à chercher dans les environnements scolaire et même universitaire, le faible niveau des élèves, les programmes dépassés et inadaptés…
Lire stimule le cerveau et améliore la mémoire
La lecture est un excellent moyen pour le faire travailler puisqu'elle participe à une bonne stimulation cognitive. Cela permet aussi à notre cerveau d'augmenter ses capacités de mémorisation, de réflexion, d'analyse ou encore d'imagination.
Cette étude « démontre que lire un bon livre peut augmenter les connexions à l'intérieur du cerveau et créer des changements neurologiques persistants qui correspondent un peu à la mémoire musculaire qui permet de s'adapter aux efforts demandés. »
Des mauvaises habitudes acquises, comme survoler un texte plutôt que lire en profondeur, passer du coq à l'âne, zapper sans arrêt : tout cela mène vers une plus grande intolérance à l'ennui et une réticence à se plonger dans un texte. Heureusement, il est fréquent que le goût pour la lecture renaisse à l'adolescence.
La non-lecture a donc pour conséquence le contraire de l'essor, de liberté de conscience. beaucoup plus dangereuses. « 1° Cette facilité de communiquer ses pensées tend évidemment à dissiper l'ignorance, qui est la gardienne et la sauvegarde des États bien policés ».
« Lire un bon livre, ça redonne envie de vivre. Ça vous donne envie de partir à la recherche du temps perdu », nous dit l'écrivain Pierre Perret. Mais un autre constat est que la génération présente ne puise que rarement dans ce trésor caché. En d'autres termes lire est devenu synonyme de perte de temps.
L'objectif de la lecture est la compréhension d'un texte, objectif qui se trouve donc en dehors de l'activité elle-même. Pour ce faire, le lecteur passe par un double traitement de l'information : le traitement des mots écrits et la compréhension du contenu.
La lecture permet de partager les émotions investies dans les livres. D'après Pierre Sève « la lecture reste une activité intime, réellement subjective » mais elle est en même temps une pratique sociale.
Selon le Rapport national d'évaluation des progrès scolaires, 32 % des élèves de quatrième année et 24 % des élèves de huitième année ne lisent pas à un niveau élémentaire. La pauvreté est l'un des prétextes que les enseignants invoquent depuis longtemps pour expliquer les mauvais résultats en lecture.
La lecture en baisse
Ceux qui lisent autant qu'avant sont 45 %, contre 48 % en 2017. Parmi les raisons invoquées, le manque de temps (72 %) et la préférence donnée à d'autres loisirs (63 %).
Les jeunes lisent moins de livres et, surtout, lisent moins pour le plaisir. La lecture n'est plus considérée comme la porte d'accès privilégiée au savoir et n'est plus synonyme de plaisir.
La dernière limite de la littérature que nous allons aborder, qui est loin d'être la moins importante, est la censure. Les livres n'obtiennent parfois pas l'autorisations d'être publiés ou l'auteur peut subir des pressions qui peuvent aller jusqu'à des menaces de mort.
Premier enseignement : la lecture reste une activité « importante » chez les jeunes, qu'elle soit prescrite dans le cadre scolaire (89%) ou librement choisie dans celui des loisirs (78%). En moyenne, les jeunes lisent six livres par an, dont deux dans le cadre scolaire et quatre dans celui des loisirs.
Quel que soit le but qu'elle poursuit, la littérature contribue à l'amélioration de la société (des individus qui la composent) en développant le sens esthétique, l'esprit critique, la connaissance de soi.
Selon une étude de l'Université du Sussex, la lecture réduit le niveau de stress de 68 %* et fonctionne encore mieux et plus rapidement que d'autres méthodes de relaxation comme écouter de la musique, faire une promenade ou prendre une tasse de thé.
La lecture peut être un excellent moyen d'améliorer le fonctionnement du cerveau. Elle aide à augmenter la concentration et à stimuler l'esprit. La lecture peut également vous aider à apprendre de nouvelles informations, à approfondir vos connaissances, à augmenter votre vocabulaire et à améliorer votre mémoire.
Pourquoi lit-on? Les réponses des bibliothécaires sont presque unanimes à le souligner : on lit pour se distraire, beaucoup plus qu'avec le souci de s'instruire. Ce besoin de distraction correspond également à un besoin d'évasion.
La lecture a pour but de récolter des informations sur tel ou tel sujet. Et via ce passe-temps, la chose est simple à faire. Néanmoins, cela pourrait entrainer une remise en question inutile de votre personnalité et de vos opinions. Il faut dire que les livres et les divers articles peuvent déformer la réalité.
La littérature peut avoir des dangers qui peuvent beaucoup influencer la société. Pour commencer on peut dire qu'on habite dans une société très diverse c´est donc pour sa qu'il peut avoir différentes interprétations lors de la lecture.
Un livre est un document écrit formant unité et conçu comme tel, composé de pages reliées les unes aux autres. Il a pour fonction d'être un support de l'écriture, permettant la diffusion et la conservation de textes de nature variée.
Les enquêteurs ont noté qu'avec l'âge, les gens ont tendance à lire de moins en moins. Le nombre de personnes âgées étant de plus en plus important dans la population, cela concourt à faire diminuer la pratique de la lecture. Les jeunes générations, elles aussi, lisent moins que leurs parents à leur âge.
Senior Member. bibliophobe, mais attesté seulement comme adjectif.
Un bibliophobe est quelqu'un qui déteste les livres.