L'épuisement des ressources naturelles a un impact sur la croissance des pays producteurs, mais aussi des pays consommateurs, car la rareté modifie les coûts et donc les prix des produits utilisant les ressources non renouvelables comme intrants.
La croissance économique entraîne l'épuisement du capital naturel. Afin de mieux combattre l'épuisement des ressources et la dégradation de l'environnement, les économistes ont mis en évidence la présence d'un capital nouveau dans la combinaison productive : le capital naturel.
- déforestation liée à l'utilisation du bois mais aussi à l'extension des surfaces agricole ; - concentration de gaz à effet de serre et dérèglements climatiques (canicules, tsunamis, ouragans, …) que cela génère. - catastrophes écologiques telles que des accidents pétroliers, nucléaires ou chimiques.
Ces vingt dernières années, la croissance du capital économique se heurte à des limites écologiques. Que ce soit l'augmentation des gaz à effet de serre, les sécheresses, l'épuisement des ressources naturelles, etc.
L'exploitation non durable des ressources naturelles dégrade des zones de vie des populations humaines et altère leur santé. Elle détruit aussi des écosystèmes entiers et perturbe leur fonctionnement global, ainsi que tous les services écosystémiques qu'ils assurent.
L'exploitation des ressources naturelles a de graves conséquences sur l'environnement, principalement sur l'eau et le climat. Les agrosystèmes utilisés par l'Homme polluent l'eau. En effet, les engrais peuvent être retenus au niveau du sol ou s'enfoncer dans la terre.
En effet, l'exploitation intensive des ressources de la Terre est l'un des 5 facteurs d'érosion de la biodiversité avec la fragmentation des habitats, le changement climatique, les pollutions et l'introduction d'espèces envahissantes.
En augmentant le nombre de biens et services disponibles, la croissance améliore le bien-être des populations, mais elle peut aussi avoir des effets négatifs comme la pollution, la destruction des ressources ou l'augmentation des inégalités.
La croissance économique et la protection environnementale peuvent être complémentaires. L'idée selon laquelle la réduction des émissions de gaz à effet de serre ne pouvait se faire qu'au détriment de la croissance économique a longtemps prévalu dans les milieux d'affaires et décisionnels.
On distingue traditionnellement trois sources de la croissance économique : l'accumulation du facteur travail, l'accumulation du facteur capital physique et les gains de productivité générés principalement par le progrès technique. close : accumulation des facteurs.
La croissance, parce qu'elle est génératrice de pollutions, de déchets, parce qu'elle participe à l'épuisement de ressources non–renouvelables (dégradation des sols, épuisement de ressources minérales...), peut appauvrir tout ou partie de l'humanité en même temps qu'elle enrichit certains.
« La croissance économique est étonnamment gourmande en eau », rappelle le rapport de la Banque mondiale. Là où les réserves vont baisser, les activités seront de manière quasi mécanique en repli, entraînant les pays qui les portent dans une spirale de croissance négative.
⁞ La croissance économique a des limites écologiques car elle provoque des externalités négatives : ↗ GES, pollution de l'air, des sols, de l'eau, épuisement des ressources naturelles non renouvelables (pétrole, gaz...), surexploitation des ressources naturelles renouvelables (déforestation, ressources halieutiques...)
Evidemment, les régulations écologiques n'ont pas qu'un effet négatif sur l'économie : elles permettent aussi de faciliter la transition vers de nouveaux modèles de production, permettant ainsi d'accéder à de nouveaux marchés, donc de créer parfois des emplois.
Donc le développement durable est limité par le changement du mode de vie actuel, caractéristique du système de production dominant. Sans modification du mode de vie et des valeurs actuelles, l'adaptation des gens et les capacités de charges des écosystèmes connaîtront des difficultés.
Les limites de l'action de l'Etat sont de deux ordres : empiriques avec des contraintes de financement, mais aussi théoriques avec l'essor d'une critique libérale virulente. La crise d'efficacité de l'Etat se double donc d'une crise de légitimité de l'action publique.
La croissance économique correspond à l'augmentation de la production de biens et de services d'un ensemble économique sur une période donnée.
Elles reposent essentiellement sur deux facteurs : · Le facteur travail qui dépend du facteur humain et qui permet de déterminer la capacité de travail ; · L'accumulation de capital.
Utilisation d'énergies renouvelables, innovations techniques pour consommer moins, recycler les déchets, ne plus polluer… l'économie qui prend soin de l'environnement est un nouveau modèle qui permet de répondre aux besoins de tous les humains dans l'immédiat, et tout en assurant l'avenir.
approvisionnement énergétique non fiable, réseau routier urbain–rural peu performant et ports inefficients — est l'un des principaux obstacles à la croissance. Elle limite les rendements de l'investissement en capital humain, par exemple dans l'éducation et la santé.
Elle dépend des variables démographiques (taux de natalité, pyramide des âges…). Son accroissement dépend également de facteurs culturels (ex: taux d'activité féminin..). La durée du travail a considérablement diminué au cours du XXe siècle, du fait des évolutions juridiques, sociales et économiques.
Selon l'approche de Solow, le développement économique s'explique par trois facteurs : l'augmentation des deux principaux facteurs de production (travail et capital), et le troisième le progrès technologique, générateur de gains de productivité.
La pression d'une population croissante et la sur-exploitation des sols sont les principales causes.
Avec ses ressources naturelles, la Terre nous offre tout ce qu'il nous faut pour cultiver de la nourriture et avoir une vie saine. Ces ressources, ce sont les sols, l'eau, les animaux et les plantes. Il est impossible de cultiver sans eau et sans sols.
Ainsi, de nombreuses études indiquent que les ressources naturelles ont eu des effets positifs sur le développement économique local à travers l'augmentation des salaires réels, la baisse du chômage et de la pauvreté, et l'augmentation de l'activité économique en dehors de la production minière.