En effet, pour satisfaire son appétit féroce -- et pour donner plus de chance à la reproduction --, la mante religieuse ne recule devant rien. Elle s'adonne ainsi sans retenue à ce que les chercheurs appellent le cannibalisme sexuel et dévore généralement en entier les mâles un peu trop légers.
La mante religieuse dévore le mâle durant l'accouplement.
Si elle est connue et réputée pour le fait de dévorer ses proies en les broyant littéralement, ce qui lui permet d'engloutir parfois des insectes plus gros qu'elle, cette pratique de prédatrice sexuelle prend tout de même son sens.
L'hypothèse de la famine. Lorsqu'une femelle est en risque de famine, il peut être avantageux de s'attaquer aux mâles qu'elle attire, pour économiser ses forces et produire une descendance viable. Elle se reproduira plus tard, lorsqu'elle aura assez mangé.
La femelle mante, assoiffée de sang, arrache sans pitié la tête du pauvre mâle lors de l'accouplement. Oui, oui. C'est documenté, ça arrive. Ça s'appelle du cannibalisme sexuel, et la mante n'est pas la seule affamée à faire ça.
La toxicité de son venin fait de la veuve noire l'une des araignées les plus dangereuses du monde, et elle doit son nom à sa propension à tuer son partenaire après l'accouplement. La femelle veuve noire possède des glandes et crochets à venin plus développées que le mâle.
Les semelpares sont souvent des insectes, par exemple les éphémères et les abeilles mâles. Il y a aussi quelques espèces de calamars et des saumons d'Atlantique. Ces espèces pratiquent une reproduction dite suicidaire parce que la plupart du temps, les individus de ces espèces meurent après l'acte de reproduction.
La pieuvre est incontestablement une mère dévouée. Des chercheurs ont observé une femelle veillant sur ses petits pendant près de quatre ans et demi. Elle meurt après l'éclosion. Une pieuvre femelle défend ses œufs jusqu'à la mort – au sens strict.
Et pourtant, comme l'araignée, cet insecte qui peuple nos jardins est un précieux allié pour lutter contre les insectes. La mante peut parfois être difficile à repérer, car elle est capable de changer de couleur pour s'adapter à la végétation. Elle peut vivre de 6 à 9 mois, et ne vole pas bien.
Encore plus rare, il existe des araignées-loups ou des Argyronètes mâles qui cannibalisent leurs homologues de sexe féminin (plus fréquemment des femelles non vierges). la mante religieuse dévore parfois le mâle durant l'accouplement, particulièrement lorsqu'elle est affamée.
En réalité, cet insecte est attiré par une hormone, la hCG (l'hormone chorio-gonadotrophique humaine) produites par les femmes enceintes, et éliminée dans les urines. Cette même hormone rend réactifs les tests de grossesse achetés en pharmacies.
Les mantes religieuses sont des insectes qui aiment la chaleur et ne supportent pas le froid. Ils meurent en général en automne aux premières gelées après avoir pondu leurs œufs. Ce sont les œufs qui vont passer l'hiver protégés dans un cocon fait par la femelle.
Le mâle poursuit la femelle, lui mord la tête, les membres, l'immobilise contre un obstacle puis la féconde.
Voir une mante religieuse peut être considéré comme une chance ou une malchance, selon votre culture. En raison des mains «priantes», certains chrétiens disent que la mante religieuse représente le spiritisme ou la piété, et si elle se trouve dans votre maison, cela peut signifier que des anges veillent sur vous.
Les bébés mantes deviendront des adultes à la fin de l'été. La période de reproduction se produit à partir du mois d'août jusqu'à la fin septembre. La femelle produira alors un ou plusieurs oothèques et les petites mantes passeront l'hiver sous cette forme. Les adultes meurent à la fin de l'été.
Locution nominale
(Par extension) Femme cruelle et dangereuse (parce que la femelle de l'insecte dévore le mâle après l'accouplement).
La mante religieuse (Mantis religiosa) appartient à l'ordre des mantoptères (Mantodea) : il s'agit d'un insecte diurne de couleur verte, brune voire même beige, mesurant 6 à 8 centimètres de long (le mâle est plus petit que la femelle de 2 à 3 cm) avec la particularité d'avoir de longues pattes repliées munies de ...
Bien que les êtres humains puissent être attaqués par toutes sortes d'animaux, les mangeurs d'hommes sont ceux qui ont incorporé la chair humaine dans leur régime alimentaire habituel. La plupart des cas rapportés de mangeurs d'hommes sont des tigres, des léopards, des lions et des loups, ainsi que des crocodiliens.
Certains animaux comme le requin sont anthropophages, et d'autres comme la mante religieuse sont cannibales. Il n'y a donc que des humains qui peuvent être qualifiés simultanément des deux termes.
Les prédateurs de la Mante religieuse sont les oiseaux et les reptiles (lézards, serpents, caméléons). Pour intimider ses ennemis elle se redresse en ouvrant ses ailes laissant apparaître trois ocelles. Elle peut également émettre un bruit en faisant vibrer son ventre contre ses ailes.
En effet, cet insecte branche (il est capable de changer de couleur pour se camoufler dans la végétation, dont les branches des arbres) se nourrit essentiellement d'insectes. La nourriture de la mante religieuse se compose généralement de criquets, sauterelles, papillons, abeilles, mouches, etc.
Les mantes religieuses n'ont pas besoin de boire, mais il peut être utile de placer un petit bol d'eau au fond de son habitat pour garder l'air suffisamment humide.
La forte pression de sélection exercée par les prédateurs et, peut être, des préférences innées des mantes pour un milieu dont la couleur de fond colle avec la leur, conduisent à cette évolution.
Le requin-lézard, aussi appelé requin à tunique ou requin à collerettes, est le titulaire du record de la plus longue gestation chez les vertébrés, à savoir 42 mois ! Il vit généralement dans les grandes profondeurs des océans Atlantique et Pacifique, jusqu'à -1570 m, et n'est par conséquent que rarement observé.
Une ratte peut se reproduire toute l'année et avoir 4 à 7 portées de 6 à 12 petits.
Une araignée femelle Pisaurina mira et un sac d'oeufs. L'araignée mâle Pisaurina mira a trouvé une solution pour survivre au cannibalisme sexuel qui prévaut chez de nombreuses espèces d'araignées. Pour empêcher la femelle de le dévorer pendant ou après l'accouplement, le mâle lui attache les pattes.