Lorsque la température est douce, le niveau d'humidité est plus élevé, ce qui produit de la neige mouillée. Alors les bords des flocons de neige fondent, et c'est pourquoi ils s'agglutinent ensemble, créant de gros flocons lourds (lourd est relatif lorsqu'on parle de flocons de neige).
Pour résumer : plus la neige est humide (donc mouillée) et plus elle est lourde (car elle contient moins d'air et plus d'eau). Une neige très humide sera lourde, pâteuse et collante alors qu'une neige sèche sera légère non collante et moins dense.
La neige poudreuse est la neige « froide » qui n'a subi aucune autre action (vent ou réchauffement) après sa chute. Elle est assez facile à deviner pendant une chute mais plus les jours passent, et plus elle est susceptible de se transformer en un autre type de neige.
Si vous partez sur les pistes, le ski est souvent praticable. Les nouvelles tenues vous mettent à l'abri du froid et de l'humidité. C'est plutôt la visibilité qui est dérangeante. Si les pistes sont tracées en forêt, vous ne risquez pas de sortir de pistes quand il neige.
La méthode consiste à marquer fortement l'appui pendant la phase initiale du virage grâce à une flexion-extension prononcée. L'angle de prise de carre ne doit pas être trop important sous peine de faire déraper le ski, mais suffisant pour assurer l'accroche.
Garder le dos droit et incliner le buste en avant – ceci aura pour effet de transférer le poids du corps sur l'avant des skis ; Plier les genoux et appliquer une pression simultanée sur les carrés intérieurs de vos skis ; Rapprocher progressivement les pointes avant des skis en écartant les talons.
Les météorologues parlent de neige normale lorsqu'elle contient plus de 7% mais moins de 12% d'eau.
Habituellement, la surface naturellement durcie par la pluie est plus agréable à skier que lorsque celle-ci est travaillée mécaniquement. Les machines laissent des traces irréparables dans ces conditions, voilà pourquoi nous laissons l'eau s'écouler de la neige avant de procéder au damage.
Massez-vous les cuisses, aussi bien devant que derrière dans le sens de la longueur du muscle, et si vous êtes nombreux massez-vous les uns les autres ! Rien n'empêche d'étendre votre massage aux mollets, aux fessiers, voire au dos.
Trafolée : Une neige trafoléee est une neige fraiche mais déjà toute tracée. On peut également parler de « trafolle », nom correspondant à la neige trafolée.
Neige mouillée — la neige qui contient beaucoup d'eau liquide. Ainsi, elle se forme à température positive, + 1 degrés Celsius et fond rapidement. On l'appelle aussi neige fondante.
C'est une neige pulvérulente (farinella en italien). Les flocons restent sous leurs formes initiales et emprisonnent beaucoup d'air. On y trouve les flocons en étoile, les plaquettes hexagonales, les aiguilles et colonnes. Souvent ces flocons sont givrés, recouverts de glace ou un peu fondus.
S'il fait +4°C et que le point de rosée est bien au-dessus de 0°C, la neige fond à une vitesse effarante ! S'il fait +4°C, mais que le point de rosée est à -8°C, la neige ne fond presque pas dans ces conditions, malgré les +4°C et le soleil probablement présent !
Nous en avons déduit que la neige, c'est de l'eau gelée. Les gouttes de pluie, quand il fait froid, forment des flocons (solides). La neige fond sous l'effet de la chaleur et se transforme en eau (liquide).
Toutefois, elle peut atteindre 12 km au-dessus du point le plus profond des océans, soit une chute de neige plus haute sous la mer que dans le ciel. Ces flocons sont des agrégats d'autres particules plus petites, biogéniques et minérales, produites en surface par le plancton dans les océans.
Les causes du « syndrome du deuxième jour »
Et comme vous venez à la neige pour « vous reposer », vous vous « éclatez » le premier jour et sollicitez au maximum vos muscles, vos ligaments et vos articulations. Le matin du second jour, les efforts de la veille et la fatigue ne sont pas résorbés.
Les efforts de la veille sont toujours imprimés sur le corps, les muscles et le temps d'attention répondent moins bien, bref, les skieurs sont fatigués. C'est à ce moment-là, précisément, que le risque d'accident est le plus élevé.
Les membres inférieurs sont les premiers sollicités par le ski. Mollets, quadriceps, adducteurs, fessiers... sont autant de muscles qui travaillent avec des missions multiples : stabilité, puissance, équilibre. Dans ce dernier domaine, toutes les articulations de vos jambes sont également impliquées.
Neige humide : Neige qui contient de l'eau liquide. Neige mouillée : Neige qui contient une grosse quantité d'eau liquide. Neige soufflée : Neige étant déplacée ou érodée suite à du vent. Neige généralement très fine et où les zones d'érosion sont souvent caractérisées par une surface irrégulière et/ou dure.
La clé pour skier sur une piste verglacée est de ne pas changer ses appuis brusquement. Essayez autant que faire se peut d'éviter les virages et, quand la courbe s'impose, marquez fortement l'appui au moment de l'initier et prenez un virage d'angle faible.
Pour skier en toute sécurité lorsqu'il y a du brouillard : Repérez les piquets dont le sommet est peint en orange : ils indiquent le bord droit de la piste dans le sens de la descente. Ainsi, vous savez toujours où vous skiez.
La pluie est également efficace pour faire fondre la neige. En effet, la goutte d'eau est plus chaude lorsqu'elle atteint le sol. Elle s'infiltre ainsi dans le couvert neigeux en profondeur. Toutefois, l'efficacité de la pluie pour accélérer la fonte dépend de la température de l'air.
Pour qu'une neige tienne au sol, il est nécessaire qu'il soit froid, c'est-à-dire avec une température proche de 0°C ou négative, ou que les précipitations soient suffisamment intenses pour que la neige parvienne à tenir.
Lorsqu'on s'élève en altitude, la température s'abaisse d'environ un degré pour une dénivellation de 180 mètres. En haute montagne, l'été, la température diurne reste souvent au-dessous de 0 degré. Et, s'il fait plus chaud, la neige accumulée fond tout de même difficilement car les nuits sont glaciales.