L'oxygène et l'azote, qui constituent l'air que nous respirons, ont chacun une masse qui est un peu supérieure à un kilo pour un mètre cube, à pression ordinaire. Comme tout corps qui a une masse, l'air subit l'effet de l'attraction terrestre et reste donc prisonnier de notre planète.
L'atmosphère protège la vie sur Terre en filtrant le rayonnement solaire ultraviolet, en réchauffant la surface par la rétention de chaleur (effet de serre) et en réduisant partiellement les écarts de température entre le jour et la nuit.
L'atmosphère est si mince qu'on peut se représenter son épaisseur relativement à la Terre comme la pelure d'une pomme relativement à l'ensemble du fruit. C'est la force d'attraction de la Terre qui retient l'atmosphère autour du globe.
Une fois sorti de l'atmosphère, donc dans l'espace, on est presque dans le vide, donc il n'y a quasiment plus rien donc plus d'oxygène du tout. Des organismes comme les tardigrades, capables de survivre longtemps sans respirer, peuvent supporter une exposition prolongée au vide de l'espace, mais pas nous.
La production d'oxygène débute probablement à l'Archéen il y a 3,5 milliard d'années avec l'apparition de procaryotes autotrophes, des cyanobactéries dont les communautés sont à l'origine d'immenses dépôts de carbonates fossiles, les stromatolithes.
Presque tout l'oxygène libre de l'air a donc été produit par la photosynthèse. Environ un tiers de la photosynthèse terrestre brute se produit dans les forêts tropicales, dont la plus grande partie se trouve dans le bassin amazonien.
Ce sont les océans. Pour deux raisons : c'est là que vit le phytoplancton, ou plancton végétal, formé de minuscules algues. Celui-ci constitue une biomasse bien plus importante que celle des forêts. C'est lui le premier producteur d'O2 et recycleur de CO2.
Sur Mars, l'atmosphère est très hostile pour les organismes qui ont besoin de dioxygène pour pouvoir vivre : la pression est environ 170 fois plus faible que sur Terre, car il y a très peu de molécules gazeuses présentes.
Dans l'espace, il n'y a rien du tout, ni atmosphère ni oxygène. Personne ne peut donc y respirer. C'est pourquoi les astronautes qui travaillent à l'extérieur de la Station Spatiale Internationale doivent revêtir un scaphandre dans lequel ils reçoivent de l'air. Sur la Lune, il n'y a pas d'atmosphère.
Leurs poumons captent de l'oxygène (appelé plus justement dioxygène) quand il est sous sa forme gazeuse. Mais les humains ne peuvent pas utiliser ce même dioxygène quand il est dissout dans l'eau.
La magnétosphère protège la Terre
La Terre est protégée contre ce rayonnement corpusculaire par son champ magnétique intrinsèque. Les interactions entre le vent solaire et la magnétosphère entrainent des phénomènes divers, tels que: les manifestations aurorales.
L'atmosphère est une couche de gaz qui entoure la Terre sur une épaisseur de 500 km environ (l'épaisseur est approximative car il est difficile de dire là où finit l'atmosphère et là où commence l'espace). La composition de l'atmosphère varie en fonction de l'altitude.
Composition de l'atmosphère terrestre
L'atmosphère terrestre correspond à la couche de gaz et de particules qui entoure notre planète. L'air se compose très majoritairement de diazote (78 %), de dioxygène (21 %) et d'autres gaz, dont l'argon et le dioxyde de carbonedioxyde de carbone.
Vous êtes-vous déjà demandé ce qui se passerait si la Terre perdait subitement son atmosphère ? Selon les scientifiques d'ailleurs, l'atmosphère terrestre se dissipe gentiment, peu à peu.
Éliminons tout de suite la première question : non, la Terre ne s'éloigne pas du Soleil. Pour cela, selon les lois de la physique, il faudrait que sa vitesse de révolution augmente, donc qu'on lui applique une force extérieure.
La Fédération aéronautique internationale (FAI), qui catalogue les standards et les données en matière d'astronautique et d'aéronautique, considère également que l'espace débute à 100 km au-dessus du niveau de la mer. Après tout, il s'agit d'un chiffre rond.
Cette course à l'espace culmine en 1969 avec les premiers humains posant le pied sur la Lune lors de la mission Apollo 11 emportant Neil Armstrong et Buzz Aldrin. Dix autres astronautes de la NASA foulent ensuite le sol lunaire jusqu'à Apollo 17 en 1972.
Mars est plus petite que la Terre. La circonférence et le diamètre équatoriaux de Mars sont deux fois plus petits que ceux de la Terre. Le volume de Mars représente 15 % celui de la Terre. Si on pouvait ouvrir la Terre et la vider comme une coquille d'œuf, on pourrait y faire entrer environ 6,5 fois la planète Mars.
En effet, la Lune est souvent considérée comme dépourvue d'atmosphère, car elle n'absorbe pas de quantité mesurable de radiations, elle ne se décompose pas en couches et ne circule pas à la surface de la Lune.
Les bactéries (aéro)anaérobies peuvent respirer d'autres molécules que le dioxygène. En effet, leurs chaines respiratoires peuvent utiliser d'autres molécules (en tant qu'accepteur terminal d'électrons). Certaines bactéries peuvent ainsi respirer du fer (Fe3+), des nitrates (NO3-) ou diverses molécules organiques.
Contrairement à ce que vous pouvez penser, il y a bien de l'air dans l'espace! Mais cet air est extraordinairement dilué. Ainsi, dans l'air que nous respirons, il y a environ 30 milliards de milliards de molécules d'air (azote + oxygène) par centimètre cube.
L'air n'est rien d'autre qu'un mélange de divers gaz. L'air dans l'atmosphère se compose d'azote, d'oxygène, qui est une substance indispensable à la survie des animaux et des hommes, de dioxyde de carbone, de vapeur d'eau et de petites quantités d'autres éléments (argon, néon, etc.).
Son plus grand super-pouvoir, c'est la photosynthèse. Ce processus chimique permet à l'arbre de transformer le gaz carbonique de l'air en oxygène. Le gaz carbonique, ou CO2, émis par les activités humaines, est l'un des grands responsables du changement climatique. Grâce à la photosynthèse, les arbres piègent le CO2.
Son plus grand superpouvoir, c'est la photosynthèse. Ce processus chimique permet à l'arbre de transformer le gaz carbonique de l'air en oxygène. Le gaz carbonique, ou CO2, émis par les activités humaines, est l'un des grands responsables du changement climatique. Grâce à la photosynthèse, les arbres piègent le CO2.