L'assassin est un étudiant bosniaque Gavrilo Princip lié aux services secrets serbes. Cet attentat fournit au gouvernement austro-hongrois, un prétexte pour déclarer la guerre à la Serbie dans le but d'éliminer celle-ci de la péninsule des Balkans (28 juillet 1914).
La cause immédiate de la Première Guerre mondiale fut l'assassinat de l'héritier du trône d'Autriche, l'archiduc Franz Ferdinand, le 28 juin 1914 à Sarajevo.
Le 28 juillet 1914, suite au rejet de son ultimatum par le gouvernement serbe de Nikola Pašić, le gouvernement austro-hongrois déclare la guerre à la Serbie. Ses troupes franchissent immédiatement la frontière.
Arrestation de l'assassin Gavrilo Princip après l'attentat contre l'héritier du trône François-Ferdinand et son épouse est un cliché anonyme pris le 28 juin 1914 (la mauvaise qualité de l'image laissant supposer qu'il s'agit en fait d'une reproduction de celui-ci).
C'est donc une question politiquement chargée, aujourd'hui encore.” L'événement déclencheur de la Grande guerre est connu de tous les écoliers : l'assassinat de l'archiduc François Ferdinand, héritier du trône d'Autriche-Hongrie à Sarajevo le 28 juin 1914 par des nationalistes serbes.
Les soldats allemands appelaient aussi les soldats français les « Franzmann » (hommes de France), alors que l'équivalent germanique de poilu est « Der Feldgraue » à cause de la couleur grise de l'uniforme.
Le 28 juin 1914, l'héritier de l'empire austro-hongrois et son épouse sont assassinés à Sarajevo par un terroriste serbe, Gavrilo Princip (19 ans).
Le 3 août 1914, à 18 heures, l'Allemagne déclare la guerre à la France.
La guerre en Bosnie a pour cause la gestion par les pouvoirs politiques en place de la dislocation de la République fédérative socialiste de Yougoslavie, elle-même liée à la chute des régimes communistes en Europe de l'Est en 1989.
Dès le début de la guerre a l'été 1914, une coopération militaire active s'est engagée entre les armées française et serbe, la France envoyant de nombreux spécialistes appuyer l'armée serbe (aviateurs, artilleurs, équipes sanitaires etc.).
L'autorisation de la déclaration de guerre par le Parlement. Le premier alinéa de l'article 35 de la Constitution du 4 octobre 1958 subordonne la déclaration de guerre à l'autorisation du Parlement.
Beaucoup de peuples slaves des Balkans (en Bosnie, en Croatie et en Slovénie), souhaitent s'unir, autour de la Serbie, pour former un royaume des Slaves du Sud, qu'ils appelleraient la Yougoslavie.
Une explication plus simple est que la conquête de la Suisse n'aurait guère apporté d'avantages stratégiques, alors qu'une longue et coûteuse guerre des montagnes aurait pu s'ensuivre. Bien que la Wehrmacht ait simulé des manœuvres contre la Suisse dans ses offensives, elle n'a jamais tenté d'envahir.
L'armée allemande envahit la Pologne le 1er septembre 1939, déclenchant la Seconde Guerre mondiale. En réponse à l'agression allemande, la Grande-Bretagne et la France déclarent la guerre à l'Allemagne nazie.
Alors, pourquoi la défaite allemande ? Parce que le pays ne tient plus : plus assez de fer pour les obus, plus assez de pain pour nourrir la population, plus assez d'hommes pour remplacer ceux qui sont tombés, de main-d'œuvre, d'argent… l'Allemagne est au bout du rouleau.
La bourgeoisie, la classe dominante, tel est le véritable responsable de la guerre mondiale en Allemagne aussi bien qu'en France, en Russie comme en Angleterre, en Europe comme en Amérique. Ce sont les capitalistes de tous les pays qui ont donné le signal du massacre des peuples.
Difficultés économiques et arrivée au pouvoir d'Hitler
Les faiblesses politiques (faiblesse de la République de Weimar) permettent au NSDAP (parti national-socialiste des travailleurs allemands ou nazi) et à son chef Adolf Hitler de prendre le pouvoir légalement le 30 janvier 1933 .
Selon une analyse fort répandue, l'assassinat de l'héritier du trône d'Autriche-Hongrie, le 28 juin 1914, aurait, en déclenchant un « domino d'alliances », provoqué la première guerre mondiale. Cette lecture occulte les causes véritables du conflit, en particulier la logique mortifère des rivalités impériales.
L'Espagne n'avait, selon lui, aucun intérêt majeur à défendre au cœur de l'été 1914. Sa non-participation à un conflit européen était inévitable, voire « parfaite », propos approuvés par les collègues espagnols et français alors présents.
L'entrée en guerre des États-Unis
Au nom des valeurs démocratiques des pères fondateurs américains, c'en est terminé de la neutralité américaine. Les premières unités de ceux que l'on surnomme les "Sammies" ("petits soldats de l'oncle Sam", personnage allégorique des États-Unis) débarquent en France en juin 1917.
Les pays les plus pacifiques
Le pays où il fait le mieux vivre est, encore une fois, l'Islande. Ce pays d'Europe est en première place de l'indice mondial de la paix depuis 2008. Dans les pays le plus pacifiques, on peut également retrouver la Nouvelle-Zélande, le Danemark ainsi que le Portugal.
1 – La Chine
La République Populaire de Chine compte un peu plus de 2,1 millions de militaires d'active, auxquels peuvent s'ajouter 510 000 réservistes. Ses moyens matériels comprennent 5250 chars et véhicules blindés, 3285 aéronefs et 777 navires de guerre dont trois porte-avions ou porte-aéronefs.
Ainsi, selon le think tank Institute for Economics and Peace, auteur du classement depuis dix ans, seuls le Botswana, le Chili, le Costa Rica, le Japon, l'île Maurice, le Panama, le Qatar, la Suisse, l'Uruguay et le Vietnam vivent en totale paix.