Mais pourquoi monter si haut ? Pour s'éloigner des reliefs, passer au-dessus des nuages et éviter les turbulences ? Oui, mais essentiellement plutôt pour des raisons de densité de l'air. Plus on monte en altitude, moins l'air en effet oppose de résistance à l'avion et plus les moteurs sont efficaces.
La turbulence, c'est un mouvement, un remous de l'air. Lorsqu'elle se produit à de très hautes altitudes, elle est souvent due à un phénomène météorologique qui créé des différentiels de pression. Le flux de l'air est modifié et l'avion, qui suit ce dernier, peut, dès lors, connaître quelques perturbations.
Le [L'océan] Pacifique est le plus grand et le plus profond des océans. Si un avion rencontre un problème alors qu'il le survole, les pilotes auront du mal à s'en sortir sans aucun endroit pour atterrir.
Pluie, vent et turbulences
Aujourd'hui, en ce qui concerne les vols, la pluie n'est pas la meilleure des conditions météorologiques pour un vol, mais il est très peu probable qu'elle provoque une annulation ; il faudrait qu'il s'agisse d'une véritable tempête.
Ainsi, les cumulonimbus sont réputés extrêmement dangereux pour la navigation aérienne et il est recommandé de les éviter autant que possible. Ils peuvent être extrêmement sournois et un pilote inattentif peut se retrouver dans une situation très dangereuse tout en volant dans un air absolument calme en apparence.
La foudre est un phénomène impressionnant, mais ne présente pas de dangers réels pour les passagers. En effet, le fuselage métallique de l'avion est conducteur et fait office de cage de Faraday, la foudre passe sur la surface de l'avion sans pénétrer à l'intérieur, la décharge étant évacuée par l'arrière.
Nous ne devons pas avoir peur des turbulences, car les avions sont conçus pour résister aux turbulences les plus agressives. Les pilotes, en plus d'être parfaitement préparés à faire face à ces adversités, ont des astuces pour gérer les turbulences. La réduction de la vitesse et le changement d'altitude en font partie.
Actuellement, les passagers n'ont pas le droit d'emporter des bouteilles de plus de 100 millilitres dans leurs bagages à main. Liquides, gels et aérosols peuvent en effet servir à la fabrication d'explosifs lors du vol.
L'aéroport de Courchevel, en France
C'est plus précisément à Courchevel que vous frôlerez la crise de panique. L'aéroport est situé tout près de la station de ski et sa piste d'atterrissage comporte plusieurs facteurs à risque : elle est courte, pentue, cabossée et glissante.
Le décollage et l'atterrissage sont largement considérés comme les moments les plus dangereux d'un vol.
Le texte, très partagé sur les réseaux sociaux, affirme qu'aucun avion ou oiseau ne peut survoler la Kaaba, dans la grande mosquée de La Mecque, à cause d'un phénomène géophysique. Nous avons vérifié dans [à vrai dire].
Il s'agit de l'Iran (Iran Air, Iran Aseman Airlines), de la Corée du Nord (Air Koryo, etc.). Cinq autres sont concernés : l'Irak (Iraqi Airways), le Nigeria (Med-View Airlines), le Suriname (Blue Wing Airlines), le Venezuela (Avior Airlines) et le Zimbabwe (Air Zimbabwe).
Explication: en réalité, les avions volent bien en ligne droite, mais en suivant la courbe de la terre. C'est la projection de la terre, ronde, sur une carte plane qui donne l'impression de ne pas prendre la trajectoire la plus courte.
Les turbulences sont-elles dangereuses ? Bien qu'inconfortables, les turbulences ne sont pas dangereuses. Il s'agit d'un phénomène normal, et même naturel, qui ne menace pas la sécurité des passagers.
Les éclairages des avions sont abaissés lors des décollages et des atterrissages ainsi que la nuit. La raison en est toute simple, à savoir, le fait d'habituer les yeux des passagers et des membres du personnel à l'obscurité.
On diminue les lumières pour des raisons de sécurité
La conséquence d'un accident lors de ces phases du vol est souvent une évacuation de l'avion dans des conditions qui peuvent être plus ou moins compliquées, laquelle évacuation doit prendre moins de 90 secondes.
Contrairement à la partie avant citée plus haut, l'arrière de l'appareil est probablement le pire endroit pour s'asseoir, plus encore si vous n'appréciez pas le bruit ou les turbulences. Loin du centre de portance et de gravité de l'avion, ces dernières sont fortement ressenties à cet endroit-là.
Aeroflot, compagnie aérienne russe, a connu 127 crashs entre 1950 et 2008 selon les chiffres d'Airdisaster.com. Elle est donc la compagnie qui a connu le plus de crashs de ses appareils. Dans le bas du classement, arrivent ensuite Air France, United Airlines, Indian Airlines et American Airlines.
1. Malaysia Airlines. Seule la divinité sait pourquoi Malaysia Airlines a connu une telle série de mauvais événements dans l'histoire de l'aviation.
La matière atterrit quant à elle dans une cuve. Une fois l'avion au sol, la cuve est vidangée, nettoyée et désinfectée, pour être parée à reprendre du service." Toutefois, des fuites dans le système de gestion des déchets peuvent survenir de manière très occasionnelle.
Les objets suivants sont interdits en cabine : Objets coupants, tranchants ou pointus, tels que tournevis, ciseaux, couteau (si la lame dépasse 6 cm) Autres objets pouvant blesser, tels que bâton de marche, skate-board. Armes (y compris jouets ou imitations d'armes)
Un avion ne peut pas tomber comme une pierre. S'il perdait ses moteurs, ou s'il était en panne d'essence, il pourrait planer plus d'une demi-heure sur plusieurs centaines de kilomètres !
Cette fois-ci, quelle que soit l'orientation du vent, celui-ci peut être dangereux pour l'aviation. En effet, même de face il peut créer ce que l'on appelle des «trous d'air» pouvant faire chuter un avion de plusieurs dizaines de mètres en très peu de temps.
Choisir sa place en fonction de sa peur en avion
Si vous voulez ressentir le moins possible les mouvements et les turbulences de l'avion, la meilleure place sera au milieu de l'appareil au niveau des ailes. Cependant, cette place est la plus exposée en cas d'accident puisqu'elle se trouve au niveau des réservoirs.