Les aéroports canadiens possèdent tous les désignations Y ou CY pour des raisons historiques, le radiophare morse de Kirkland, près de Dorval possède la désignation « UL », c'est donc pour cette raison que le code de l'aéroport international est devenu YUL.
Ce sont trois lettres essentielles à tout bagage qui doit rentrer à Montréal : YUL. Mais d'où viennent ces codes associés aux aéroports ? C'est aux bureaux de l'Association internationale du transport aérien (IATA), à Montréal, que sont déterminés les identifiants de tous les aéroports du globe.
La majorité des grands aéroports canadiens possèdent un système d'identification commençant par un Y. YUL pour Montréal, YYC pour Calgary, etc. À l'origine, ce sont les aéroports canadiens dotés d'un service météorologique qui ont alors reçu l'initiale Y.
Le code OACI des aéroports est un code de classement géographique à quatre lettres attribué à chaque aéroport à travers le monde par l'Organisation de l'aviation civile internationale (OACI, soit ICAO en anglais).
Le projet YQB 2018 réunit plus d'une dizaine de projets de construction et prévoit une place de choix aux technologies d'avant-garde. Parmi les objectifs, celui de doubler la superficie des installations, pour offrir davantage de services, mais aussi de rendre l'expérience des voyageurs plus conviviale.
YUL est un code qui signifie : aéroport international Pierre-Elliott-Trudeau de Montréal au Québec, au Canada, selon la liste des codes AITA des aéroports.
Un code IATA d'aéroport, également connu sous identifiant IATA d'emplacement, code IATA de la station ou tout simplement identifiant de localisation, est un code à trois lettres désignant de nombreux aéroports à travers le monde, défini par l'Association du transport aérien international (IATA).
Il tient son nom de la commune d'Orly dont il occupe une partie du territoire. L'aéroport, ses aérogares et ses pistes sont réparties à cheval entre les départements de l'Essonne et du Val-de-Marne.
Air Canada (code AITA : AC ; code OACI : ACA) est la plus grande compagnie aérienne nationale du Canada. Elle assure des vols intérieurs et internationaux sur les cinq continents depuis ses plates-formes de correspondance à Toronto-Pearson, Montréal-Trudeau, Vancouver et Calgary.
1. L'aéroport International King Fahd. Le plus grand aéroport du monde est incontestablement l'aéroport international King Fahd ! Il gagne ce classement haut la main avec ses 776 km², soit une surface six fois plus grande que le précédent.
Aéroport du Bourget (Seine Saint-Denis).
Champ d'aviation militaire depuis 1914, situé au nord de Paris, l'aéroport du Bourget est le plus ancien de France de cette importance. Les premières lignes nationales et européennes s'y ouvrirent en 1919-20.
L'aéroport le plus grand d'Europe
Le plus grand aéroport européen quant au trafic de voyageurs se situe au Royaume-Uni. Il s'agit de Londres-Heathrow qui comptabilise 80 884 310 visiteurs sur l'année 2019.
C'est une institution spécialisée et autonome des Nations Unies, dont le rôle est d'établir le cadre réglementaire mondial de la sécurité de l'aviation civile internationale.
L'aéroport dispose de deux terminaux pour les passagers : l'aérogare 1, pour les vols nationaux et les Etats-Unis, et l'aérogare 3, pour les vols internationaux.
Le meilleur moyen de se rendre de Toronto Pearson International Airport à Centre-ville de Toronto est en train, dure 41 min et coûte $2 - $13. Sinon, vous pouvez bus, ce qui coûte $6 - $17 et dure 45 min.
Les aéroports canadiens possèdent tous les désignations Y ou CY pour des raisons historiques, le radiophare morse de Kirkland, près de Dorval possède la désignation « UL », c'est donc pour cette raison que le code de l'aéroport international est devenu YUL.
Mirabel devait devenir la « porte d'entrée au Canada » et concentrer toute l'activité de l'aviation civile atterrissant à Montréal. Le projet naît d'estimations trop optimistes de la croissance du trafic aérien. Situé loin du centre-ville, son accès demeure difficile.
En 1851, sir Sandford Fleming assure la postérité au castor à titre de symbole national lorsqu'il choisit de le représenter sur le premier timbre-poste canadien le « Castor de trois pence ».