La couleur rouge/orange est issue de l'échauffement et non de la combustion : tout corps chauffé à une certaine température émet un rayonnement de longueur d'onde directement lié à la température, ici : du rouge/orange. Le corps humain ayant une température de 37°C, émet un rayonnement dans l'infrarouge à 10 µm.
La première raison est scientifique. “Le système visuel est préconçu pour augmenter le contraste entre le rouge et le vert” explique Serge Picaud, directeur de recherches à l'Institut de la Vision. La couleur rouge ressort donc de façon plus intense à nos yeux, en opposition avec le feu vert.
Le rouge est dans la nature un signal d'alerte même dans le monde végétal ou animal. Même un enfant va savoir qu'il faut faire attention. Une couleur très visible qu'on verra mieux et très rapidement et qui a donc logiquement été choisie à l'apparition des feux de signalisation sur la route.
Plus la température est élevée, plus la couleur de la flamme est froide. On a les flammes blanches (comme celles du magnésium), les plus chaudes, puis les bleues (comme celles du gaz), enfin les jaunes et les rouges, les plus froides.
La flamme bleue signifie que la combustion est complète, sans formation de suie. L'anneau, tournant sur lui-même, est stable alors qu'il se forme spontanément à partir d'un tourbillon de feu très turbulent.
Ensuite comment faire pour que le feu change de couleur ? Une fois en contact avec de l'eau salée, cela va permettre au feu d'absorber les raies lumineuses, donc la couleur et de devenir noir !
Malgré l'oxymore à l'alliance des deux mots, les flammes froides sont bel et bien réelles. Bon, le nom est un peu mensonger, car leur température atteint tout de même les 400 degrés, mais elle reste vraiment inférieure à celle des flammes habituelles. Les bougies, par exemple, chauffent entre 800 et 1.400 degrés.
Si tu veux colorer une flamme, il faut y ajouter des chlorures. Avec le chlorure de sodium ou sel de cuisine, la flamme est jaune. Avec le chlorure de cuivre, la flamme est bleue - verte.
De manière générale, la couleur d'un corps incandescent donne une bonne idée de la température du corps : du moins chaud, qui est rouge, au plus chaud, qui est bleu, en passant par le jaune.
Les signaux lumineux verts des feux
Lorsqu'un feu de signalisation passe au vert, il permet aux usagers qui circulent face à lui de passer, et de continuer leur route. Cela veut dire qu'ils peuvent également changer de direction, sauf si le conducteur risque d'être bloqué.
C'est particulièrement le cas pour le rouge, auquel l'œil humain est très sensible et qu'il perçoit de loin. De plus, inconsciemment, le rouge évoque le sang et donc le danger. Le choix du vert s'est, lui, aussi imposé car il est le complément du rouge sur le cercle chromatique et est bien perçu par le cerveau.
Sur les premiers feux, le rouge et le vert étaient disposés côte à côte. En 1920 apparaît le feu tricolore, avec l'orange. Certaines personnes sont daltoniennes, c'est pourquoi le feu rouge est toujours en haut, l'orange au milieu, et le vert en bas.
Le Centre Automatisé de Constatation des Infractions Routières (CACIR de Rennes) analyse et vérifie l'infraction relevée lors du franchissement du feu rouge (et non orange) au moyen des 2 photos.
Un feu de circulation routière, aussi appelé feu tricolore est un dispositif permettant la régulation du trafic routier entre les usagers de la route, les véhicules et les piétons.
Il est possible d'obtenir une flamme verte très facilement, il faut simplement mélanger du sulfate de cuivre avec de l'éthanol (alcool ménagé) .
Il s'agit d'un métal qui peut s'oxyder, comme le fer. L'oxydation se produit au contact de l'oxygène. Une réaction lente lie les atomes du métal à l'oxygène (réaction accélérée dans la liaison de l'oxygène au fer de l'hémoglobine, qui donne sa couleur au sang), qui lui ''emprunte'' des électrons.
Les flammes dites froides se stabilisent autour de 500 °C, contre plus de 3 000 °C pour les feux classiques. Plus sûres, elles sont aussi plus écologiques et plus économes. Les premières applications arrivent sur le marché.
La découverte du feu est un tournant majeur dans l'Histoire de l'humanité. Difficile à dater, elle s'est faite de manière progressive à plusieurs endroits à la fois. On sait qu'Homo erectus le domestiquait vers 400.000 ans avant notre ère, et qu'Homo sapiens a développé son usage.
Il y a ombre quand il y a blocage de la lumière par un objet solide, et dans le cas d'une flamme, il n'y a pas d'objet solide : c'est une source de lumière, qui ne bloque donc pas la lumière, et donc par définition il n'y a pas d'ombre.
La couleur bleue de la base vient du fait que cette partie de la flamme est mieux oxygénée, étant en contact direct avec l'air frais et n'est pas « polluée » par les produits de la combustion. La température y est d'environ 1 200 degrés.
Le bouleau est une autre essence populaire pour le poêle à bois. Le bois s'allume proprement et a donc besoin de peu d'oxygène. De ce fait, le conduit de fumée se salit moins vite.
La flamme est du gaz en combustion, provenant de la décomposition du dioxygène de l'air et du combustible qui forme ainsi du dioxyde de carbone. La combustion forme comme on l'a vu plus haut beaucoup d'énergie et de chaleur. Au niveau moléculaire, à cause de la chaleur, les molécules s'agitent énormément.