Gardez à l'esprit que l'imparfait est utilisé dans un récit pour y décrire le cadre général et des actions qui ne font pas progresser l'histoire. La durée est souvent complètement indéterminée. Au contraire, le passé simple est utilisé pour raconter l'histoire et les actions uniques qui font progresser le récit.
Temps de la narration, l'imparfait permet de décrire le cadre général de l'histoire, par exemple le décor, les habitudes de personnages, les situations préexistantes au récit. L'imparfait ne fait pas progresser l'histoire, puisque ce n'est pas le temps qui permet de décrire des incidents ou des événements soudains.
L'imparfait et le passé simple sont utilisés dans le récit. => l'imparfait est le temps de la description, on l'emploie pour exprimer une action passée dont la durée est indéterminée. ex: La neige tombait.
Dans un récit au passé, l'imparfait de l'indicatif sert à décrire, qu'il s'agisse d'un tableau, d'une scène ou d'un personnage (portrait). Ainsi, la « première » est décrite comme étant « plus belle que le jour ».
La plupart des récits ont comme temps de narration le passé simple (seulement à l'écrit) ou le passé composé (écrit et oral) ; le passé antérieur, variante du passé simple, peut notamment apparaître dans des subordonnées temporelles. Certains récits ont comme temps de narration le présent.
De l'autre, la narration est l'acte de rapporter de façon détaillée les actions de personnages. L'auteur est amené à produire un texte plus ou moins long, selon le genre qu'il choisit, roman, nouvelle, fable ou épopée2.
Le schéma narratif correspond à l'ensemble des étapes qui structurent une séquence narrative ou un texte narratif. Ainsi, il permet d'analyser un récit ou de l'organiser.
L'imparfait de l'indicatif est un temps du passé. Il est utilisé pour exprimer une habitude, faire une description, pour expliquer une situation, une action en cours dans le passé. Il est aussi utilisé pour faire une hypothèse (irréelle au présent), ainsi que dans certaines formules de politesse.
On distinguera principalement trois valeurs, c'est-à-dire trois emplois de ce temps verbal : l'imparfait descriptif, l'imparfait d'habitude et l'imparfait d'action secondaire.
L'imparfait permet de mettre une ambiance, de créer une atmosphère ou encore de planter un décor. En général, c'est le temps utilisé à l'écrit pour une description. Par exemple : la montagne surplombait la rivière, et donnait une couleur verdâtre à l'eau.
L'imparfait est utilisé pour une description, parler d'une habitude, d'une action en progression dans le passé : Quand il faisait froid il n'oubliait pas de mettre ses gants sur la cheminée. Ici, c'est une habitude.
Mais les temps du passé (au premier rang desquels le passé simple) y restent largement dominants, particulièrement…
Son nom provient du latin imperfectus, signifiant : inachevé, incomplet. L'imparfait est un temps simple du mode indicatif, c'est-à-dire qu'il présente une action réelle et la situe dans le temps. Il existe également un imparfait du subjonctif en français.
En grammaire, l'imparfait est une forme verbale temporelle de passé qui existe dans certaines langues. De la façon la plus générale, il exprime un procès en train d'avoir lieu dans une portion du passé par rapport au moment de la parole ou du récit, sans faire voir sa fin ni souvent son début.
-> L'imparfait duratif pour des actions qui durent : Elle demeurait rue de la Pépinière depuis trois ans. -> l'imparfait d'habitude (ou imparfait itératif) pour des actions qui se répètent : Pendant les vacances, elle se levait à dix heures tous les jours.
L'imparfait exprime un fait réel passé. Il peut aussi traduire l'effort ou le passé épistolaire. Le plus-que-parfait exprime l'antériorité d'une action par rapport à une action passé (exprimée au parfait ou à l'imparfait).
- L'imparfait est un temps passé qu'on utilise souvent dans un conte, un récit pour décrire une personne, un animal ou une chose. - Il indique généralement une action qui a duré ou qui s'est répétée dans le passé, sans limites définies : Je lisais partout où je me trouvais. Tous les verbes ont la même terminaison.
Dans tous les récits, le narrateur, par le fait même qu'il raconte, assume deux fonctions de base : la fonction narrative (il raconte et évoque un monde) et la fonction de régie ou de contrôle (il organise le récit dans lequel il insère et alterne narration, descriptions et paroles des personnages).
Le narrateur est à la 3e personne et peut adopter différents points de vue : – le point de vue interne : l'histoire est vue à travers un personnage ; – le point de vue externe : le lecteur découvre ce qu'aurait pu filmer une caméra ; – le point de vue omniscient : le lecteur découvre tout.