Le titre est "le Petit Poucet". L'auteur est (Charles) Perrault. Il s'appelle ainsi car il n'est pas plus grand qu'un pouce. Ce genre d'histoire s'appelle un conte.
C'est l'histoire d'une famille de bûcherons très pauvres. Ils eurent sept enfants dont le dernier qui était si petit qu'on l'appelait le petit Poucet. Un jour, le petit Poucet entendit ses parents dire qu'ils allaient les abandonner dans les bois.
Perrault dans le conte « Le Petit Poucet » propose donc au final une « morale du mérite », par laquelle se trouve récompensé le talent, l'ingéniosité et le travail, contre les défaveurs de la naissance.
Dans le conte picard cité plus haut, le petit Poucet s'appelle Jean l'Espiègle. C'est exactement l'Eulenspiegel du conte wende. On sait qu'Espiègle est la forme française du nom d'Eulenspiegel, le héros d'un livre très populaire en Allemagne à la fin du Moyen âge, et qui a fait aussi l'amusement de nos aïeux.
Heureusement, le plus petit de la fratrie, âgé de sept ans, surnommé Petit Poucet en raison de sa petite taille, espionne la conversation. Prévoyant, il se munit de petits cailloux blancs qu'il laissera tomber un à un derrière afin que lui et ses frères puissent retrouver leur chemin.
SYNTHÈSE : Ce conte met en scène un enfant courageux et exemplaire : Le Petit Poucet. Il a un ennemi (un opposant) : l'ogre. L'ogre est un monstre géant qui mange les enfants. Il se présente comme bête, méchant, cruel, sans pitié, féroce.
La ruse du Petit Poucet
Dans un conte merveilleux, tout finit bien. Les enfants ne sont donc pas mangés par l'ogre. Ils sont sauvés grâce à la ruse de Poucet qui réussit à tromper l'ogre pendant la nuit : il lui fait croire qu'il réussit à assassiner les sept garçons, alors qu'en fait l'ogre tue ses sept filles.
Bottes de sept lieues
"S'étant approché de l'orgre, le Petit Poucet lui tire doucement ses bottes et les mit aussitôt. Les bottes avaient le don de grandir et de rapetisser selon le jambe de celui qui les chaussait, si bien qu'elles lui allèrent aussi bien que si elles avaient été faites pour lui".
Pourquoi le Petit Poucet est-il le souffre-douleur de la famille ? On en profite car il est le plus petit.
Ils virent l'Ogre qui allait de montagne en montagne, et qui traversait des rivières aussi aisément qu'il aurait fait le moindre ruisseau. Le petit Poucet, qui vit un Rocher creux proche le lieu où ils étaient, y fit cacher ses six frères, et s'y fourra aussi, regardant toujours ce que l'Ogre deviendrait.
Dans Le Petit Poucet de Charles Perrault, par exemple, le Petit Poucet s'arrange pour que l'ogre égorge ses propres filles au lieu de le manger lui et ses frères. Le Chat botté, lui, dévore l'ogre après l'avoir incité par la ruse à se changer en souris.
au personnage principal (un enfant de très petite taille) d'un conte de Ch. Perrault intitulé Le Petit Poucet] Enfant (très) jeune et/ou de petite taille.
En orthographe traditionnelle (non réformée), mot invariable : des souffre-douleur. Le nom est employé le plus souvent au masculin, même pour désigner une personne de sexe féminin : elle a été un souffre-douleur muet, jusqu'à ce qu'elle se révolte.
Causes possibles. Peut-être du fait de la frustration d'un groupe d'individus qui a besoin de reconnaissance et qui utilise une personne afin de se faire une réputation au sein d'un établissement scolaire. Ce groupe se sent fort et intelligent en se moquant d'une victime.
Définition de souffre-douleur
Personne qui est en butte aux mauvais traitements, aux tracasseries de son entourage (→ tête* de Turc). Des souffre-douleurs ou des souffre-douleur (invariable).
Le petit Poucet ne s'en chagrina pas beaucoup parce qu'il croyait retrouver aisément son chemin, grâce aux morceaux de pain qu'il avait semés partout où il était passé. Hélas, il fut bien surpris de ne pas en retrouver une seule miette : les oiseaux avaient tout mangé.
lat. Orcus à celle de REW3, 6048 qui fait remonter le mot à Hongrois, à cause des dévastations des Hongrois (Hongres, Oïgours) dans l'Occident au Moyen Âge).
La femelle est la louve, le petit le louveteau. Famille des canidés.)
Géant des contes de fées qui, selon la tradition, se nourrit de la chair fraîche des enfants. 2. Littéraire. Homme méchant, cruel.
ogresse n.f. Femme d'un ogre.
La femme de l'Ogre est également présentée comme Ogresse, mais seul son mariage lui vaut ce statut.
La situation initiale du conte : Le bûcheron travaille au bord de l'eau. L'élément perturbateur : La cognée tombe dans la rivière. Les péripéties qui font progresser l'action : Mercure arrive pour aider le bûcheron et il fait trois tentatives pour le récompenser.
L'origine du mot viendrait du latin Orcus (enfer, dieu de l'enfer), avant de devenir en italien orco pour « ogre ». L'Arioste en 1516 dans son Orlando furioso décrira l'ogre comme un monstre bestial et aveugle qui serait inspiré du cyclope de l'Odyssée.
Comparaison entre le chat botté et le petit poucet tous les deux ont étaient écris par Charles Perrault. Fin du XVème siècle (seigneurs, pauvres paysans, écus…) Fin du XVème siècle (roi, château, princesse, marquis…) Nous avons dans ce conte un ogre qui est un personnage fantastique.