Le fait que l'amidon utilisé provienne de la nature n'en fait pas un produit naturel (le pétrole aussi est un produit provenant de la nature!). Le PLA se dégrade uniquement en compostage industriel, à une température de plus de 60°C, libérant du CO2.
Le PLA est également biodégradable car compostable.
Une problématique entièrement résolue grâce à l'ajout d'Evanesto®, le premier additif qui permet aux plastiques à forte teneur en PLA d'atteindre la certification OK compost HOME de l'organisme Tüv Austria.
Le principe consiste à récupérer des objets en PLA, de les broyer et de refaire par extrusion du filament utilisable pour imprimer de nouvelles pièces. Si le principe paraît simple, sa réalisation est un peu plus compliquée pour obtenir un fil suffisamment régulier pour être réutilisé en impression 3D.
Le PLA ne présente pas de dangers physiques (c'est-à-dire liées aux propriétés physico-chimiques), toxiques ou écotoxiques au sens règlementaire. Ses chaînes longues en font une macromolécule qui ne répond pas aux critères de classification des substances dangereuses.
Le PLA est un matériau d'impression 3D sans danger pour l'alimentation. Avec le moulage par injection plastique, ce matériau est principalement utilisé pour fabriquer des emballages.
Deux phases sont nécessaires pour la fabrication du PLA: tout d'abord, il faut fermenter le sucre ou l'amidon sous l'effet de bactéries qui synthétisent l'acide lactique; ensuite, l'acide lactique est polymérisé par un nouveau procédé de fermentation, qui lui permet de se transformer en acide polylactique.
Les paramétrages pour imprimer du PET
Imprimé entre 210 et 250°C, le PET et PETG ne se décollera pas énormément du plateau. Il est néanmoins nécessaire d'être équipé d'un plateau chauffant réglé entre 70 et 85°C. Celui-ci permettra d'assurer une bonne adhésion.
Aujourd'hui, pour pouvoir être concrètement compostés, les emballages en PLA doivent être collectés avec les déchets « de cuisine » (biodéchets) auprès des ménages et être envoyés dans un centre de compostage industriel.
La forte croissance de l'impression tridimensionnelle (3D) dans de nombreux secteurs génère des risques professionnels spécifiques eux-mêmes en augmentation : - Risques chimiques : émissions de particules fines, de composés organiques volatils, de gaz nocifs liés aux imprimantes 3D et à leurs différentes technologies.
Le fil PLA permet d'imprimer des objets 3D à une vitesse plus élevé que l'ABS et à une température moins importante. Il commence à se ramollir autour de 50°C, le PLA à une température d'extrusion comprise entre 180°C et 230°C.
Buse de 0,4 mm en standard
Pour la plupart des imprimantes 3D, la buse de 0,4 mm est devenue la norme, car elle est généralement installée en atelier et offre un bon équilibre entre résolution, précision et vitesse d'impression.
Selon le fabricant de notre PLA, les avantages environnementaux de cette matière sont les suivants: 70% en moins de consommation d'énergie fossile pour sa fabrication. 80% en moins de gaz à effet de serre. À base de plantes (renouvelable)
[5] Les plus communs sont le bio PE (polyethylène), le bio PET (polyéthylène téréphtalate) et le PLA (polylactide). Un plastique biosourcé peut ne l'être qu'en partie (avec, par exemple, 30% de plastique biosourcé dans ses « ingrédients »). L'origine de la biomasse est importante.
Le CPLA, acronyme anglais de Cristallised Poly Lactic Acid est un PLA auquel est ajoutée de la chaux au moment de la production. Le matériau obtenu est constitué de PLA à 70 à 80%, et de 20 à 30% de chaux, de sorte qu'il puisse résister à la chaleur jusqu'à 85°C tout en restant 100% biodégradable et compostable.
Le plus gros risque avec une imprimante 3D est le feu électrique: un composant ou un fil commence à chauffer et un plastique autour prend feu. Les composants d'une imprimante chinoise sont souvent construits dans des matériaux qui sont inflammables.
COMPOSTER, C'EST FACILE !
Vous pouvez utiliser du bois qui résistent naturellement au contact avec le sol. Ce sont principalement le châtaignier, le robinier et le chêne. Vous pouvez également acheter du bois traité classe 4 (souvent su sapin autoclavé).
Pour faire un compost dans son jardin sans bac, il vous suffit de préparer un tas, au fond du jardin ni à l'ombre ni au soleil. Le compost doit être fait de tontes, branchages et déchets végétaux. Il est indispensable d'arroser le compost s'il fait sec. Laissez faire la nature et vous obtiendrez du compost.
Le PETG ou polyéthylène téréphtalate glycolisé est un copolyester utilisé en extrusion et principalement en injection pour le conditionnement cosmétique. C'est un polymère amorphe donc transparent. Facilement colorable dans la masse.
Ce matériau résiste à des environnements froids, à des agents chimiques et à une résistance mécanique élevée. L'une des raisons pour lesquelles l'impression 3D utilise le PETG plutôt que le PET est due au problème que ce dernier présente lors de l'échauffement.
Toutes ces qualités font dire que le PETG est le mix parfait entre le PLA et l'ABS, offrant la facilité d'impression de l'un et la résistance de l'autre. L'autre atout du PETG, et non des moindres, est qu'il peut être recyclable à 100 %.
La solution la plus courante et la plus simple pour sécher le filament consiste à le passer directement au four. Il suffit de régler la température juste en dessous de la température de transition vitreuse du plastique et de laisser votre filament sécher entre 4 à 6 heures, le temps que toute l'humidité s'en échappe.
Raft : Ce sont les premières couches déposées sur le plateau, sur lesquelles va se déposer votre impression. Elles sont plus épaisses et permettent une meilleure adhésion de votre pièce au plateau. Une fois l'impression terminée, le raft se retire de votre impression finale.