Les principaux facteurs de conséquences sont : L'utilisation de produits synthétiques comme l'acrylique, le nylon et le polyester, qui sont fabriqués à partir de combustibles fossiles. L'utilisation d'eau dans le processus de fabrication, souvent dans des régions où l'eau est rare.
Derrière ce mot barbare se cache une réalité plutôt simple : lors du lavage de vos vêtements, des fibres se détachent à cause des frottements. Des fibres trop petites pour être filtrées, qui se retrouvent donc dans les eaux usées, et continuent leur voyage jusqu'aux fleuves pour terminer dans les océans.
L'industrie textile reste l'une des plus polluantes, l'impact de l'industrie textile sur l'environnement est responsable de 17 à 20% de la pollution de l'eau dans le monde. De plus, une énorme quantité d'eau est consommée lors de la production du textile en commençant par la culture du coton, très gourmande en eau.
e.s lavent, épurent et blanchissent leurs fibres avec du chlore. Ces opérations permettent de générer un produit appelé dioxine. Son impact écologique est très négatif et contribue à polluer les sols et les nappes phréatiques. Pour la teinture du coton, ils utilisent des métaux lourds tels que le plomb et le chrome.
Nylon, polyester et élasthanne sont des matières synthétiques produites à partir de pétrole, des procédés industriels extrêmement polluants.
Pour éviter le gaspillage et réduire les déchets textiles, rien de mieux que de réutiliser, revendre ou échanger nos vêtements que nous ne portons plus. En gros, la mode seconde main. La réutilisation est une bonne solution pour lutter contre la surproduction et la surconsommation de produits de mode.
D'autre part, l'industrie textile participe à l'émission d'une quantité importante de gaz à effet de serre. Ce secteur représente 10 % de l'ensemble des gaz à effets de serre émis au cours d'une année soit près de 1,2 milliard de tonnes de gaz. Cela contribue au réchauffement climatique et à la fonte glaciaire.
Les bouteilles en verre
Si elles n'occupent que le bas du Top 10 avec une huitième position, les bouteilles en verre font partie des déchets les plus préoccupants. En effet, elles remportent la palme du temps de dégradation le plus long de ce classement. 4 000 années sont nécessaires pour qu'elles disparaissent !
Les sacs à usage unique, les bouteilles, les contenants et les emballages alimentaires sont les quatre articles les plus répandus qui polluent les mers. En tout, 10 objets représentent les 3/4 des déchets plastiques retrouvés et sont – sans surprise – des objets de notre consommation quotidienne.
L'impact environnemental de Shein
Elle encourage à la surconsommation. Le prix étant tellement bas, on induit le consommateur à penser qu'il peut s'acheter de nouveaux vêtements tous les jours sans qu'il n'y ait aucune conséquence.
Le chanvre est la matière naturelle la plus écologique sur le marché du textile. Elle ne pollue ni lors de sa culture, ni lors de sa transformation en tissu. Comme une mauvaise herbe, le chanvre ne nécessite pas d'irrigation, il résiste aux insectes et aux maladies et se développe très rapidement.
« Dans le plan de relance, l'industrie textile peut trouver des mesures qui lui seront bénéfiques dans les axes traitant de la numérisation, de la Transition Ecologique et Energétique (TEE) ou de la relocalisation ». Plusieurs chapitres à appliquer à la filière, plusieurs moyens de la faire évoluer.
En résumé, l'industrie de la mode : Émet, selon différentes sources, entre 2% et 10% des émissions mondiales de CO2 (un gaz à effet de serre qui aggrave le changement climatique) Pollue l'environnement → la teinture des textiles est la 2e plus grosse source de pollution de l'eau au monde.
L'industrie textile pollue...
Cela est dû principalement aux processus de fabrication et notamment aux teintures évacuées par les usines, qui se déversent régulièrement dans l'eau, formant alors de répugnantes mares de peintures où nulle vie ne survit à l'asphyxie.
Climat et environnement : des victimes de la mode
Selon l'Ademe, en 2050, le secteur textile émettrait même 26 % des émissions globales de gaz à effet de serre si les tendances actuelles de consommation se poursuivaient.
Depuis 2006, la Chine a dépassé les États-Unis pour les émissions de gaz à effet de serre. Les émissions de dioxyde de carbone de la Chine sont de 1,8 milliard de tonnes par année, contre 1,59 milliard de tonnes pour les États-Unis, 432 millions de tonnes pour la Russie et 430 millions de tonnes pour l'Inde.
Selon une étude du WWF, le sucre est l'une des cultures les plus nocives pour la planète. En détruisant des habitats riches en vie animale, végétale et en insectes, le sucre serait la plantation qui détruit le plus de biodiversité dans le monde.
Conséquence : chaque année, des millions de tonnes de dioxyde de soufre sont rejetées dans l'atmosphère par Norilsk Nickel, l'une des plus importantes usines métallurgiques de Russie.
C'est certainement celle produite par les déchets de l'industrie nucléaire. Ces déchets sont produits par les centrales nucléaires qui fournissent la plus grande partie de notre électricité.
Les éléments les plus pollueurs sur la planète
En effet, les gaz émis par les voitures, les déchets quotidiens, les fumées des usines ainsi que les déchets dans les égouts et ceux abandonnés en pleine nature, constituent les principales causes de la pollution.
En première position se place le Qatar, dont le taux de dioxyde de carbone émis par habitant s'élève à près de 37 tonnes .
Le polyester est fabriqué au moyen de substances chimiques toxiques, et cause la pollution de l'air, des sols et des eaux. Dans nos machines à laver, le polyester diffuse des micro-particules de plastique, qui finissent dans les cours d'eau et océans, et polluent les écosystèmes marins.
Les différents types de pollution industrielle
Cette pollution est provoquée par les rejets dans le sol et dans l'eau de déchets industriels, notamment les produits pétroliers, les eaux usées, les détergents et les déchets radioactifs.
En 2018, la production d'électricité reste le premier secteur émetteur de CO2 dans le monde, avec 41 % du total des émissions dues à la combustion d'énergie. Elle est suivie par les transports (25 %) et l'industrie (18 %, y compris la construction).