La consonne t peut être prononcée [s] lorsqu'elle est suivie de la voyelle i dans les groupes tia, tie et tion.
Règle. Pour obtenir le son [ s ] au lieu du son [ z ] entre 2 voyelles, on double le s (ss). Deux s qui se suivent entre deux voyelles font le son [ s ].
Si la lettre s est en début de mot ou entre deux consonnes ou entre une voyelle et une consonne, on entend le son [s]. Pour obtenir le son [s] entre deux voyelles, il faut doubler le s. Quand la lettre s est entre deux voyelles, on entend le son [z].
Dans les mots qui se terminent par un ‑t précédé d'une voyelle, le -t est généralement muet.
La lettre phénicienne tau signifiait « marque, signe » et elle représentait une croix ×, ou + en protosinaïque . Elle prend la forme d'un T en grec, puis en étrusque, et elle ne change plus guère. Toutefois, il existait une autre lettre t, le thêta. L'origine du signe têt en phénicien est inconnue.
La consonne t peut être prononcée [s] lorsqu'elle est suivie de la voyelle i dans les groupes tia, tie et tion. Souvent, les mots composés avec ces groupes appartiennent à une famille dans laquelle on trouve un t dans d'autres mots.
En conclusion, les consonnes finales muettes ont pour but de conserver le souvenir d'une racine latine et, de manière plus pragmatique, de distinguer des homonymes (exemples : poids et pois, puits et puis, corps et cor…).
La liaison se fait toujours : Entre le déterminant (un, des, les, mon, ton, son, mes, tes, ses, nos, leurs, aux, aucun, tout, quels, quelles, quelques) et le nom. Les (z) ours. Quelques (z) oasis.
Comment expliquer la présence de ce s final muet? Pour expliquer ce s final, on doit remonter à l'ancien français. En ancien français, comme en latin, les noms s'écrivaient différemment selon la fonction qu'ils occupaient dans la phrase. Il s'agissait donc d'une langue à déclinaison.
Pour obtenir le son (ce), on écrit « SS » entre deux voyelles. Mais il y a quelques exceptions qu'il vous faudra découvrir peu à peu, comme : parasol, tournesol, entresol, contresens, contresigné, vraisemblablement, ... Pour obtenir le son (ze), on écrit « S » entre deux voyelles.
Qu'elle est insistante cette tentation d'orthographier «susurrer», avec trois s puisque la norme justement «usuelle» impose qu'un s entre deux voyelles, ici deux u, se prononce z!
S est le symbole chimique du soufre, l'élément chimique, selon la liste des éléments chimiques. En thermodynamique, S désigne l'entropie. s est un type d'orbitale atomique (abréviation de sharp). Les éléments du bloc s du tableau périodique sont ceux dont l'orbitale la plus haute occupée est de type s.
À la deuxième personne du singulier au présent de l'indicatif, le verbe du 1er groupe flotter se conjugue ainsi : tu flottes. Tous les verbes du premier groupe prennent un "s" quand on les conjugue à la deuxième personne du singulier au présent de l'indicatif.
Dans la langue française, en général, il suffit d'ajouter un "-S", aux mots ou adjectifs pour former le pluriel. Mais, bien sûr, cela serait trop simple ! Alors pour corser un peu la chose il y a des exceptions. Mes livres sont excellents.
La liaison est interdite devant les noms d'origine étrangère commençant par la semi-voyelle (aussi appelée semi-consonne) [j] (ces noms commencent généralement par la lettre y) ainsi que devant oui, ouistiti, whisky et devant un, huit, huitième, onze et onzième.
I - Les liaisons
On entend la lettre « t » lorsque un mot se terminant par la consonne «d» ou «t» (« quand », « prend ») est suivi d'un autre commençant par une voyelle : Quand il pleut, on ne sort pas. On remarque alors que la lettre « d » se prononce en fait « t » (on dit que le « d » s'assourdit).
«Ils ont cent-z-euros en poche», «il va-t-à Paris», «ils devraient-z-être heureux», «la loi a été-t-acceptée» entendait-on encore il y a peu à la télévision. Nul besoin de zapper entre les émissions de téléréalité et autres programmes de haute qualité pour trouver ces erreurs de français.
Une lettre muette est une lettre qui fait partie de la graphie d'un mot, mais qui n'est pas prononcée. En français, plusieurs lettres muettes font partie de la graphie des mots.
La raison en est bien sûr étymologique : corps vient du latin corpus, et même si on ne prononce plus la terminaison, notre orthographe garde une trace de l'histoire de ce mot.
Dans un système d'écriture alphabétique, une lettre muette est une lettre qui ne se prononce pas. Les lettres silencieuses sont courantes en français, y compris la dernière lettre de la plupart des mots.
i vous demandez à votre voisin, qui a voyagé, pourquoi les Anglais appellent les Français Frogs, «grenouilles », et, par diminutif, Froggies, « grenouillettes », il vous répondra que c'est parce que nous mangeons les cuisses de ces batraciens des étangs.
On remarque encore une fois que c'est en partie parce qu'elle est suivie d'une consonne. La lettre <t> ne se prononce pas devant les terminaisons en <en> ou <le> dans certains mots (whistle, castle). La lettre <w> est muette devant la lettre <r> (write, wrap) et dans le pronom interrogatif ou relatif who.
garlic n. Le chef cuisine souvent avec une pointe d'ail. The chef often cooks with a hint of garlic.