Il peut résulter d'une tumeur donnant comme résultat que le corps produit une plus grande quantité de liquides ou la tumeur peut entraîner une obstruction du passage de liquide à travers le système de lymphe ou d'autres systèmes corporels.
L'ascite se manifeste le plus souvent en présence d'un cancer de l'ovaire, de l'utérus, du col de l'utérus, colorectal, de l'estomac, du pancréas, du sein ou du foie. Un cancer qui se propage au foie peut aussi causer l'ascite.
Certains types de cancer peuvent entraîner un gain de poids. Le cancer de l'ovaire et le cancer colorectal, par exemple, peuvent causer l'accumulation de liquide dans les jambes ou l'abdomen. Ce type d'œdème porte le nom d'ascite.
Cette phase est en général assez facilement identifiable par le médecin, comme par le patient dont l'état général se dégrade brusquement et rapidement : fatigue extrême, manque d'appétit, amaigrissement, douleurs.
le cancer du poumon (1,80 million de décès) ; le cancer colorectal (916 000 décès) ; le cancer du foie (830 000 décès) ; le cancer de l'estomac (769 000 décès) ; et.
En cas de cancer, il peut y avoir une augmentation des dépenses, et une diminution des apports énergétiques, pouvant entraîner une perte de poids.
Les deux premières sont le diabète et les maladies cardiovasculaires, en particulier les maladies coronaires comme l'infarctus. Ensuite, le foie avec la maladie du foie gras ou maladie du soda qui caractérise l'accumulation de graisse à l'intérieur du foie et qui peut évoluer vers la cirrhose et le cancer du foie.
A un stade plus avancé de la maladie, d'autres signes peuvent apparaître : accumulation de liquide faisant gonfler l'abdomen, intensification de la douleur, confusion, tremblements, jaunisse au niveau de la peau et des yeux…
L'appétit est très fréquemment affecté suite au diagnostic du cancer et à ses traitements. Identifier les raisons permet de trouver des solutions pour conserver une alimentation équilibrée. La maladie et ses traitements peuvent provoquer une diminution voire une perte de l'appétit.
Le ventre gonflé est un phénomène physiologique qui correspond à la déglutition de l'air dans l'oesophage et l'estomac. Le plus souvent, c'est le résultat d'une mauvaise alimentation, de difficultés digestives ou d'une mauvaise répartition des repas (pas de petit-déjeuner, ou encore diner trop lourd).
Le ventre gonflé est souvent le symptôme de fluctuations hormonales (les cycles menstruels, l'ovulation, la ménopause…). La baisse en œstrogène provoque fréquemment une gêne et des ballonnements. D'autres types de troubles gynécologiques peuvent également être en cause.
On peut avoir un ventre ballonné à cause d'une alimentation trop riche en aliments fermentescibles (fruit, légumes) ou à cause d'une sensibilité particulière à certains aliments (parfois même selon leur mode de cuisson). Il est possible également que cela soit dû à une consommation excessive en boissons gazeuses.
Habituellement, le cancer du côlon évolue silencieusement, parfois des années durant, avant de provoquer le moindre symptôme. Lorsque les symptômes apparaissent, il s'agit essentiellement de douleurs abdominales, d'une modification du transit intestinal et de la présence de sang dans les selles.
Un cancer est généralisé quand, depuis la tumeur initiale, il s'est propagé dans d'autres parties du corps, pour créer de nouvelles tumeurs appelées métastases. On dit alors que le cancer est de stade 4 : le pronostic vital est engagé.
Le liquide en lui-même (ascite) n'est pas dangereux, mais une infection d'ascite risque de provoquer des complications graves comme une infection généralisée ou des troubles cardiaques. Un volume important d'ascite entraîne également une sensation de lourdeur dans le ventre et des difficultés à respirer.
Il peut résulter d'une tumeur donnant comme résultat que le corps produit une plus grande quantité de liquides ou la tumeur peut entraîner une obstruction du passage de liquide à travers le système de lymphe ou d'autres systèmes corporels.
Le cancer du pancréas, ce tueur invisible.
Les patients ayant 3 métastases hépatiques ou moins ont une survie de 45% à 5 ans (selon des recherches du Centre Hépato-Biliaire Paul Brousse de 2018). Les patients ayant eu une résection d'au moins 4 métastases ont une survie de 30% à 5 ans, toujours selon le Centre Hépato-Biliaire Paul Brousse.
La fatigue liée au cancer est plus intense et plus difficile à gérer que les autres types de fatigue. Elle est souvent liée à la maladie elle-même et/ou aux effets secondaires des traitements. Des solutions existent pour la réduire permettant d'améliorer le bien-être physique et la qualité de vie.
Radiothérapie : l'exposition à des rayons
La radiothérapie est l'un des traitements les plus fréquemment employés dans la prise en charge des cancers. Plus de la moitié des personnes atteintes d'un cancer reçoivent ce type de traitement. Le principe : il consiste à exposer les cellules cancéreuses à des rayons.
On dit d'un cancer qu'il est avancé lorsque la guérison est peu probable. Dans un tel cas, les soins seront axés différemment, non seulement au niveau physique mais aussi sur le plan affectif ou pratique.