Des emplois peu qualitatifs : le marché du travail est dominé par le travail informel. L'essor de l'emploi non agricole est limité alors que, dans le secteur des services, les emplois se concentrent dans des prestations peu qualifiées.
Il n'est plus à rappeler que le secteur du travail a été fortement influencé par la fermeture des frontières, mais aussi par le confinement, ainsi que la mauvaise campagne agricole, les principales actuelles causes de chômage au Maroc.
Ces inégalités liées à l'éducation se prolongent sur le marché du travail, avec quatre caractéristiques fortes : un chômage élevé des jeunes (42,8 % des 15-24 ans en 2017) ; le problème des « NEET », ces jeunes qui ne sont ni étudiants, ni employés, ni stagiaires (29,3 % des 15-24 ans, soit 2 millions) ; l'exclusion ...
Le nombre total de chômeurs en 2021 a atteint environ 1 508 000, contre 1 429 000 en 2020. Le taux de chômage des femmes a atteint 16,8%, alors qu'il atteignait 10,9% chez les hommes. Le chômage est resté plus répandu chez les titulaires d'un diplôme universitaire avec 19,6%.
La figure ci-dessous indique qu'un point additionnel de croissance engendre en moyenne une diminution du taux de chômage d'environ 0,15%. Il s'agit toutefois, d'un lien peu significatif qui reste bien inférieur à la moyenne des pays du G-20, mais comparable à celui constaté parmi les pays voisins.
Une autre de ses recommandations est le soutien aux petites entreprises à travers le parrainage, l'essaimage, la sous-traitance et le partenariat, ainsi que la facilitation du financement. L'objectif est d'encourager l'auto-emploi.
En moyenne, le salaire moyen au Maroc est de 375.98 €. Cette donnée est issue de la moyenne des salaires moyens renseignés par les internautes habitant dans le pays. La différence avec le salaire moyen en France est de 83%.
Globalement, on peut distinguer 3 majeures causes du chômage : Un marché du travail insuffisamment flexible et un coût du travail trop élevé Une demande et une activité économique insuffisantes. Une offre et une demande de travail en inadéquation.
Les communes urbaines les plus riches se concentrent dans les provinces de Rabat et Casablanca. Le podium est occupé par la commune de Touarga (Rabat), d'Agdal Riyad (Rabat) et Mechouar (Casablanca). Elles sont suivies d'Agdal (Fès), Mâarif (Casablanca) et Hassan (Rabat).
Dans son étude sur la pauvreté au Maroc, la Banque mondiale (1994, 33) précise que "le sous-emploi est la principale cause de la pauvreté" et que "le chômage est étroitement lié à la pauvreté".
Les réserves d'or du royaume du Maroc sont estimées à 22,12 tonnes métriques, alors qu'elles sont de 174 tonnes métriques pour l'Algérie, qui occupe la tête du classement au plan continental.
La première conséquence du chômage est la perte du pouvoir d'achat et l'endettement des ménages. En se retrouvant au chômage, le salarié perd 25 % de son revenu, qui décroît en fonction de sa durée. En fin de droit, le chômeur ne perçoit plus que le RSA (revenue de solidarité active).
Manque d'expérience, formation inadaptée, informations insuffisantes… L'origine des difficultés à trouver un premier job sont nombreuses. Voici celles que les jeunes diplômés citent le plus souvent.
Le patronat (CNPF) et plusieurs syndicats (CFTC, CGC et CGT-FO) signent la première convention d'assurance chômage après une négociation engagée en octobre 1958, sous l'impulsion du Général de Gaulle. Ils donnent naissance à un régime, alors conçu pour être complémentaire des aides publiques existantes.
De plus la destruction d'emploi peut nuire à l'activité économique étant donné que les individus n'ont plus de revenus suffisant pour consommer comme auparavant cela fait baisser la production et peut donc entrainer une destruction d'emploi, ainsi cela entraîne un cycle s'en fin.
Vivre au Maroc est le rêve de beaucoup d'Européens. Entre le faible coût de la vie, le climat chaud et sec et la douceur de vivre locale, le pays accueille de plus en plus d'expatriés.
Le marché de l'emploi au Maroc est un sujet relativement complexe. Bien que beaucoup d'offres soient réservées uniquement aux Marocains, le faible coût de la main d'œuvre amène de plus en plus de grandes entreprises internationales à s'implanter dans le pays.
Parmi les secteurs les mieux payés au Maroc, on peut citer la finance, les ingénieurs, mais aussi les emplois du secteur bancaire. Les secteurs du digital, du marketing et de la communication recrutent régulièrement.
les insuffisances de l'enseignement professionnel, trop difficile d'accès pour les jeunes non qualifiés; la faiblesse de l'accompagnement vers l'emploi des jeunes les moins qualifiés. Pour trouver un emploi ou une formation, un jeune sans qualification a besoin d'être financé, suivi et conseillé de façon intensive.
Le taux de chômage est ainsi passé de 12,8% à 11,2% au niveau national, de 18,2% à 15,5% en milieu urbain et de 4,8% à 4,2% en milieu rural. Il est plus élevé parmi les jeunes âgés de 15 à 24 ans (30,2%), les diplômés (18%) et les femmes (15,1%).
Les politiques de lutte contre ce type de chômage cherchent à favoriser la loi de l'offre et de la demande sur le marché du travail et à en réduire les rigidités qui empêchent la fixation d'un équilibre entre offreurs, demandeurs et salaires.