Dans le Mahayana Mahaparinirvana sutra, le Bouddha déclare que « la consommation de viande éteint le germe de la suprême compassion », ajoutant que toutes les sortes de viandes et la consommation de poisson (même d'animaux déjà trouvés morts) est interdite pour ses disciples.
Dans la tradition bouddhiste, pas de viande ! C'est une conséquence du principe de non-violence des bouddhistes, le tout premier principe moral. Il s'agit de ne pas attenter à la vie d'un autre être vivant sensible.
La nourriture consommée par un bouddhiste rigoureux non végétarien est aussi soumise à des restrictions. Pour beaucoup de bouddhistes chinois, la consommation de bœuf, de grands animaux ou d'espèces exotiques est évitée. Ils appliquent aussi la règle de la « viande trois fois pure » mentionnée plus haut.
Le bouddhisme et l'islam la condamnent, parce que l'alcool fait perdre la maîtrise de soi. La tradition sunnite considère que « l'alcool est la mère de tous les vices et c'est le vice le plus honteux » (Sounan Ibn-Majah, Hadith 3371).
Les moines bouddhistes ont depuis longtemps banni la viande, le poisson et tous les ingrédients issus des animaux. Ils considèrent qu'il ne faut pas tuer pour se nourrir. Cela laisse tout de même tous les autres produits issus de la nature à l'exception des alliacés (ail, oignons, etc) considérés comme impurs.
Paul dit à son disciple Timothée : « Cesse de boire uniquement de l'eau, mais prends un peu de vin pour faciliter ta digestion, puisque tu es souvent malade » (1 Timothée 5,23). Seul l'abus qui conduit à l'ivresse est considéré comme un péché.
Pour être considéré comme casher, un juif doit être impliqué dans tout le processus de vinification, depuis la récolte du raisin jusqu'à la fermentation et à la mise en bouteille. Tous les ingrédients doivent être casher, y compris les protéines utilisées pour la clarification et la stabilisation du vin.
Les moines bouddhistes vivent de la charité et font vœu de chasteté. Ils consacrent leur vie à aider les autres et à enseigner les valeurs du bouddhisme. Pour devenir un moine, vous devez bien connaitre les enseignements du bouddhisme, étudier avec un mentor et commencer votre formation dans un monastère.
L'éléphant, le tigre et le singe sont trois animaux vénérés par la culture bouddhiste majoritaire en Thaïlande, puisque 95% de la population y pratique cette religion.
Les lions et tigres sont les rois de la doctrine bouddhique car ils ont réussi à soumettre les êtres avec leur amour, leur compassion et leur sagesse. Les lions et tigres, comme les gardiens des temples, sont représentés par deux à l'entrées des enceintes de temple ou de lieux sacrés.
La roue dharmachakra est le symbole le plus connu du bouddhisme où elle représente, comme dans le jaïnisme, l'enseignement de la doctrine et l'union de toutes choses. Elle peut apparaître comme motif dans l'empreinte de pied Bouddha.
Le premier d'entre eux est de s'abstenir de mentir, ou plutôt, doit-on dire, de tromper. Le bouddha historique lui-même pouvait donner des réponses différentes en fonction de l'interlocuteur auquel il s'adressait.
La divinité du Bouddha
Le Bouddha historique est perçu par l'école Jonangpa du Bouddhisme tibétain comme étant « absolu, omniprésent, connaissance suprême au-delà des limitations de la conscience ordinaire ».
Le vinaya pitaka, en cinq volumes, qui comprend des règles de discipline pour le Sangha bouddhiste ; et L'abhidhamma pitaka, en sept volumes, qui est une systématisation philosophique des enseignements du Bouddha.
Exclusivement manipulé par des juifs pratiquants, un vin casher suit un parcours de production très strict, selon la cacherout, l'ensemble des règles alimentaires juives. Rien d'autre, dans son goût ou sa composition, ne le distingue d'un vin non casher.
Le chabbat (samedi) est le rappel hebdomadaire de cet accomplissement. On s'efforce, pendant le jour du chabbat, d'introduire la présence de Dieu dans ce monde. On s'abstient de toute création, dans le but de réaffirmer que nous ne sommes pas maîtres de notre destin. Quelqu'un d'autre s'en occupe.
Pendant le Shabbat il est interdit de produire ou de transformer de la matière ou de l'énergie. Il est interdit de cuire les aliments. Pour les juifs les plus religieux il est aussi interdit de conduire un véhicule, de faire la cuisine (en général) et même d'allumer l'électricité.
Prévention des troubles cardiovasculaires et coronariens.
On estime que la réduction du risque de maladies coronariennes est de 10 % à 40 %.
12De ce fait, dans la tradition biblique, le vin est symbole de prospérité et d'espoir. Le peuple juif a un seul désir : celui de trouver une terre fertile pour pouvoir, finalement, vivre en paix. Voilà le seul souhait que les Juifs adressent à Yahvé.
4L'ivrognerie, dit Cernay, « est un excès notable dans la qualité ou quantité du boire, par lequel on se prive ordinairement de l'usage de la raison. » Cette définition comprend déjà la principale conséquence peccamineuse de ce péché : la perte de la raison.
un bol pour recueillir sa nourriture (patta) ; un rasoir (vasi) ; une aiguille (nécessaire à couture) pour réparer ses vêtements (suchi) ; un filtre à eau, pour ôter les êtres vivants de son eau afin que ni lui ni eux ne soient blessés (parissavana).
Dans la tradition du bouddhisme, le mariage est une relation entre deux personnes, reconnue et respectée par leur famille et leurs amis. Aussi, pour pouvoir se marier, les époux doivent recevoir la bénédiction de leurs parents respectifs. Aussi, les astres sont consultés.
Le bouddhisme a lui aussi ses dieux. Pourtant, contrairement à l'hindouisme, les bouddhistes ne vénèrent pas ces dieux. L'idée même d'un Dieu créateur est obsolète. Dieu n'est qu'en fait l'ensemble du monde, il n'est en rien créateur ou protecteur des hommes, il représente le tout et le rien, l'universel.