"Dans le bouddhisme, les cheveux sont un masque. Et les raser permet de se montrer tel que l'on est à la face du monde. C'est également un signe de renoncement au monde matériel."
Signe particulier des moines chrétiens du Moyen Age, la tonsure, qui consiste à se raser une partie des cheveux au sommet du crâne, est née au IIe siècle. Il s'agit d'abord d'un signe de renonciation à la séduction, les cheveux étant traditionnellement associés au charme depuis l'Ancien Testament.
Lorsque le Bouddha Gautama a renoncé à sa vie de prince et donc à ses richesses, il s'est entièrement rasé la tête pour symboliser son détachement. C'est donc un évènement qui a marqué sa vie. D'ailleurs, c'est peu après s'être coupé les cheveux que Bouddha est devenu sage, en méditant sous l'arbre de la Bodhi.
L'orange a été choisi principalement en raison de la teinture disponible à l'époque. La tradition est restée et l'orange est aujourd'hui la couleur de prédilection des adeptes du bouddhisme Theravada en Asie du Sud-Est, par opposition à la couleur marron des moines tibétains.
On y trouve des légumes racine, des herbes, plantes et champignons sauvages à profusion. Les moines bouddhistes ont depuis longtemps banni la viande, le poisson et tous les ingrédients issus des animaux. Ils considèrent qu'il ne faut pas tuer pour se nourrir.
La vie des femmes dans l'ère culturelle bouddhiste traditionnelle est généralement divisée en trois temps : celui de l'enfance, celui de l'épouse, et celui de la mère de famille. Aux seuils de ces trois temps se trouvent la naissance, le mariage et la maternité.
Le premier d'entre eux est de s'abstenir de mentir, ou plutôt, doit-on dire, de tromper. Le bouddha historique lui-même pouvait donner des réponses différentes en fonction de l'interlocuteur auquel il s'adressait.
un bol pour recueillir sa nourriture (patta) ; un rasoir (vasi) ; une aiguille (nécessaire à couture) pour réparer ses vêtements (suchi) ; un filtre à eau, pour ôter les êtres vivants de son eau afin que ni lui ni eux ne soient blessés (parissavana).
Voici les différents éléments du visage qui permettent d'identifier la tête du Bouddha : L'Ushnisha : il s'agit du chignon présent sur la tête de la divinité bouddhiste. Le troisième œil qui est un point de poil présent entre les sourcils, sur le front.
Les statues de Bouddha sont généralement représentées avec des cheveux courts et bouclés, afin de montrer que le prince Siddhartha avait coupé son chignon pour renoncer à son statut de prince et à son passé privilégié.
Dans le bouddhisme oriental et en Asie orientale, les grandes oreilles sont considérées comme de bons augures, car elles sont synonymes de sagesse et de compassion. C'est peut-être l'une des raisons pour lesquelles le Bouddha est représenté avec de longues oreilles, car il est l'illuminé, le compatissant.
Son utilité principale est de protéger le porteur des intempéries (vent, pluie, froid) et chez les moines d'encourager l'isolement méditatif.
La tonsure est une pratique adoptée par certaines Églises, consistant à raser une partie des cheveux d'un clerc. Signe de renonciation au monde, elle est aussi, avec la prise d'habit et le changement de nom, un élément d'un rituel de mort et de renaissance qui efface les péchés antérieurs.
L'origine de la tonsure est assez imprécise, mais chez les Romains le crâne rasé était un signe de soumission, d'esclavage. La tonsure indique que le clerc devient " le bien propre de l'Églises " et qu'il doit être entièrement soumis à l'évêque qui la lui a conférée.
La sexualité est pour le bouddhiste un danger propre à plonger les êtres dans les affres de la passion et de la souffrance. Le bouddhisme n'impose pas de règles à la société humaine, ne cherchant nullement à légiférer ou à instituer une morale collective.
Par exemple, tourner le dos à une statue de Bouddha, c'est considéré comme étant particulièrement irrespectueux. En conséquence : pas de selfie devant l'Éveillé, ni même de photo de vous tout sourire devant la statue prise par votre ami, sinon il peut y avoir sanction.
Le bouddhisme et l'islam la condamnent, parce que l'alcool fait perdre la maîtrise de soi. La tradition sunnite considère que « l'alcool est la mère de tous les vices et c'est le vice le plus honteux » (Sounan Ibn-Majah, Hadith 3371).
évitez de mettre la statue dans les pièces d'eau : salle de bain, w.c qui sont des lieux de nudité. évitez également les chambres à coucher, lieu de nudité. Selon la culture bouddhique et chinoise, dormir avec avec une statue telle qu'elle soit, tournée vers le lit est synonyme de malchance.
Quelles que soient les religions, les statues à l'effigie des divinités sont souvent réputées pour porter bonheur. Le bouddhisme ne déroge pas à cette règle. Pour les pratiquants de cette religion et de cette philosophie de vie, il est évident qu'une statue Bouddha délivre des ondes positives et apporte de la chance.
Dans la tradition bouddhiste, pas de viande ! C'est une conséquence du principe de non-violence des bouddhistes, le tout premier principe moral. Il s'agit de ne pas attenter à la vie d'un autre être vivant sensible.
Bouddhisme. Dans toutes les formes du bouddhisme, aussi bien Hinayana et Mahayana que Vajrayana, le moine fait vœu de célibat et de chasteté.
Avant tout, Bouddha était un homme, une personne physique, vivant dans une communauté et ayant eu une famille. Ce n'est qu'après avoir été éveillé qu'il a perdu l'aspect ordinaire d'un être humain, c'est-à-dire qu'il était un homme éveillé et un homme qui avait reçu une divinité finale.
Dans la plupart des pays d'Asie, les robes safran des moine bouddhistes sont depuis des siècles réservées aux hommes. Autrefois pourtant, le statut de moine était ouvert aux deux sexes : les hommes devenaient bhikkhus et les femmes bhikkhunnis.